@Ar zen, Je ferai une version 2 du schéma où l’UPR sera plus à gauche que François Asselineau car la base est plus
démocratique que le patron. Et si l’UPR était aux commandes du pays,
j’ai plus de doute sur la fibre démocratique d’Asselineau (revoir le
débat Chouard/Asselineau sur le tirage au sort,
voir comment Asselineau a géré des crises internes avec des militants
importants) que sur celle des militants UPR dont la deuxième figure
dissidente préférée est Étienne Chouard (à en croire un sondage que j’ai réalisé il y a deux ans portant sur 200 militants UPR pris au hasard sur facebook). Et du coup l’UPR a même hauteur
que Asselineau.
Aussi, il
est logique pour un citoyen averti de se méfier d’une mesure d’un
parti, et de davantage se fier aux discours (un politicien a plus à
perdre sur un discours que sur une mesure non-appliquée et jamais revendiquée à l’oral). L’UPR et Asselineau parlent peu du RIC.
Concernant Frédéric Lordon je vous transmet une correspondance courriel à un de ses lecteurs de blog qu’on m’a rapporté à l’époque, datant de juin 2014 (libre à vous de me croire ou pas, sinon se référer à l’ouvrage la Malfaçon) dénigrant la solution de l’article 50 et souscrivant à une sortie unilatérale de l’UE :
« C’est une chose de se soustraire aux principes ineptes de l’euro. Mais rester dans l’UE nous maintiendrait sous la férule du droit de la concurrence, dont il faut nous affranchir également.
Et il n’y a aucun article à invoquer : la sortie de l’UE serait un pur acte de souveraineté, comme tel unilatéral. »
Franck Lepage pour Arrêt sur images :
« Je suis pour la désintégration de l’Union Européenne ; [...] détruisons l’Union Européenne ».
Pour Sapir tout son blog est anti-UE, il faut retrouver les passages.