Chère Dolorès, je vous trouve assez drôle à vous énerver ainsi, toute seule.
En premier lieu, parce que vos réactions montrent que vous n’avez pas lu, ou pire, que vous ne ovulez pas comprendre mon article qui veut défendre la République et les langues régionales. Car je suis convaincu que les deux vont parfaiement ensemble et se renforcent même.
Ensuite parce que ma seule arrogance est detenter de répondre, calmement, à l’ensemble des commentaires publiés ici. Même quand ces commentaires me semblent éloignés de l’objet premier de mon article.
Et pour l’arrogance, excusez-moi, mais vous semblez bon professeur. Le 24 juin, vous étiez "gacée d’entendre parler de "langues régionnales" alors qu’il serait plus juste de parler de dialectes ou de patois." Désolé, non ! Les linguistes ne raisonnnent pas comme vous. Vous récidivez le 26 du même mois avant d’avancer cette fois cette nouvelle idée qu’avec les langues régionales, on (qui ?) "voudrait diviser pour régner." En passant, vous crachez sur "les politiques" qui "ont pris soin de proceder par étapes pour amener des Français à partager leur point de vue, et ils sont assez retors pour dissimuler leur but et ne pas l’avouer." Après, ce sont les pleurs pour nos "pauvres enfants livrés en patûre sur l’autel des particularismes régionaux !"
Et vous vous dites "écoeurée de voir que sous la pédagogie se cachent des objectifs politiques : diviser pour mieux régner."
Je vous laisse à vos fantasmes. Ce n’est pas mon sujet. Je pense, avec un certain nombre d’autres gens, que le bilinguisme précoce est une chance pour nos enfants. Je vois, souvent en Bretagne, des enfants en Bretagne qui ont la chance d’en bénéficier en Bretagne. Leurs parents ne sont ni autonomistes, ni moins républicains que vous ou moi. J’aimerai que cet enseignement se généralise parce que j’en vois, j’en vis l’intérêt... et je partage donc l’avis d’un certain nombre de linguistes qui écrivent que le biinguisme français-langue régionale semble plus profitable que s’il est pratiqué avec une langue étrangère, en particulier l’anglais. Notamment pour des raisons d’environnement, et de richesse culturelle.
Vous avez un autre point de vue. C’est votre droit. Comme c’est le mien de penser que vous êtes dans l’erreur. J’ai déjà expliqué en quoi vos arguments ne me semblaient pas convainquants. Appelez cela être buté si ça vous fait plaisir. Pour ma part, j’appelle cela défendre une conviction. Et sur le terrain de l’arrogance, j’ai l’impression que la mienne est plus modeste que la vôtre.
Cela ne m’empêche pas de vous saluer, selon l’usage.
PLF.
Désolé, Madame, mais je pense que vous vous trompez.
Il n’y a rien de choquant à ce que, pour certains postes, une compétence en breton soit demandée et parfois même impérative pour occuper un emploi. Expliquez moi comment un journaliste écrira son article dans un journal édité en breton s’il ne parle pas le breton ? Expliquez comment former des adultes ou des enfants au breton si l’enseignant, le formateur ne parle pas breton ? Expliquez moi comment travailler, dans une médiathèque, sur des livres édités en breton, si on ne parle pas breton ? Comment être correcteur d’un livre édité en breton si on ne parle pas la langue ? Comment animer une émission de radio ou de télévision en breton ? Doubler une série télé ou un dessin animé ?... Dois-je prolonger la liste ?
Allez à l’APEC ou consultez l’Express ou les Echos... Combien d’annonces ou l’anglais est exigé ? Ou l’allemand ? Ou souvent aujourd’hui le chinois ? Le coréen ?
Dans le premier cas, ce serait du communautarisme qu’il faudrait combattre ? Dans l’autre, l’effet d’une mondialisatiojn qu’il faudrait accepter ?
Non, désolé ! Vous vous trompez de combat.
En premier lieu, et c’est pour cela que mon article parle de l’Europe, je sui profondément attaché à la démocratisation politique de l’Europe qui ne se fera pas dans le cadre des Etats tels qu’ils sont organisés aujourd’hui, et particulièrement en France avec une centralisation des pouvoirs dépasséi. Il y a de nombreux acquis (liés aux Lumières) dans notre République qu’il conviendrait de défendre et d’exporter dans le reste de l’Europe. Nos politiques sont beaucoup trop frileux sur ce point. Il faut aussi profiter des acquis des autres pays qui peuvent, qui doivent nous servir d’exemples.
Ensuite, demander pour un emploi une compétence particulière en langue est, dans les exemples que je viens de citer, une exigence incontournable. Le communautarisme n’a rien à voir là dedans. Vous pouvez apprendre le breton sans vivre en Bretagne. Il faudrait d’ailleurs évelopper son enseignement hors de Bretagne, et en premier lieu en région parisienne. Une fois de plus, sur ce terrain, ce sont les écoles DIwan qui, à Paris (c’est bien hors de Bretagne ?) montrent la voie. Sans compter que l’enseignement par correspondance fonctionne aussi très bien. Pas d’exigence de territoire. Pas d’exigence de sang. Pas de ghetto. Suis-je clair ?
Et ce qui est vrai pour le breton l’est aussi bien-sûr pour les autres langues.
Enfin, dans cette période où le ministère de l’éducation nous ramène à une école du B.A. BA de l’ancien temps sans tenir compte de toutes les avancées pédagogiques, au mépris de l’avis des enseignants-mêmes, et par pur opportunisme électoraliste destiné à satisfaire une minorité droitière, pour ne pas dire plus, j’affirme une nouvelle fois, et je suis loin d’être isolé sur cette idée, que le bilinguisme, et surtout le bilinguisme précoce permet d’nanvisager l’éducation de nos enfants d’une façon beaucoup plus ouverte, beaucoup plus riche d’avenir pour nos enfants. Que ce bilinguisme les ouvre au monde et les prépare au mieux à cette société multiculturelle et inévitablement multilingue dans laquelle ils vivront demain (qui soit dit en passant est loin d’être rose !).
Les langues régionales et toutes les langues minoritaires participent de cet avenir. Le français, lui même langue minoritaire dans le monde, subira le même sort que les autres.
Lions-nous, au lieu de nous diviser. Et pour cela, reconnaissons à chacun la liberté de ses choix et de ses paroles. Quelle que soit la langue qu’il parle ou a envie de parler.
Cordialement,
PLF
Cher Monsieur, vous vous trompez.
Le bilinguisme scolaire, ce ne sont pas des cours en plus. C’est apprendre plusieurs langues. C’est surtout apprendre EN plusieurs langues. Les enfants bilingues français-breton, par exemple, selon les écoles, ont des cours d’histoire, de sciences, de musique... en breton. Et c’est bien là qu’est la différence, surtout si ces enfants commencent dès la maternelle.
Ce n’est pas non plus facteur de coût. Les enfants bilingues ne sont pas des enfants en plus. C’est la manière d’approcher leur enseignement qui est différente, l’organisation pédagogique de l’école qui est différente. Leurs professeurs ont compétence dans leu matière propre... mais ils ont aussi compétence dans une autre langue.
Cela ne coûte pas plus cher qu’un enseignement monolingue. Cela ne demande pas plus d’enseignants. Ca demande simplement de penser l’enseignement de façon différente.
Cordialement.
Pourquoi pas accepter votre conclusion car effectivement, de la même façon qu’il y a des exceptions à toute rêgle, le bilinguisme scolaire peut, ou pourrait ne pas convenir à certains enfants, dans certaines situations.
Il n’en reste pas moins que l’apport des neuro-sciences ces 20 dernières années (voir les ouvrages de Gilbert Dalgalian, et en particulier son dernier livre) expliquent comment se fait l’acquisition des langues dans le cerveau. Et le bilinguisme précoce, loin de générer une "charge de travail" supplémentaire à l’enfant, construit son patrimoine neuronal d’une façon différente que pour un enfant monolingue. Dès lors, ses acquisitions dans la petite enfance lui permettront d’acquérir ensuite d’autres langages avec beaucoup plus d’efficacité et beaucoup plus de facilité. Accessoirement, cela lui permettra aussi d’être beaucoup plus à l’aise avec les mathématiques qui, soulignons le en passant, est aussi un langage.
Mais cette construction neurobale est achevé à sept ans. D’où l’intérêt du bilinguisme précoce dès la maternelle.
PLF
Je partage votre point de vue et j’y suis conforté par le fait que j’ai vécu dans une grande part des régions françaises et 15 ans à Paris.
C’est un autre débat. Il me semble avoir écrit dans mon article que la question de la Constitution ne me semblait pas la question essentielle. Constitution ou non, le sujet qui m’intéresse est celui de la pratique de l’enseignement bilingue dans l’éducation, et particulièrement du bilinguisme précoce. En langues régionales et aussi en langue minoritaire. Ce qui, inévitablement, obligerait à repenser les pratiques pédagoqiques et à réorienter certains moyens. Ce débat, qui est un débat de société, est autrement plus profond que la question de la reconnaissance, ou non, des langues régionales dans la Constitution française.
Quelle que soit les choix finaux de nos parlementaires, la question restera entière.
EN réponse à vos deux premiers paragraphes, le bilinguisme scolaire précoce est la réponse à vos objections. Oui, on apprend toujours mieux dans sa langue maternelle. C’est bien pour cette raison qu’il faudrait enseigner en créole dès la maternelle dans les DOM, en passant progressivement au français.
Pour les linguistes, tout se joue aveant 7 ans (voir notamment les ouvrages de Gilbert Dalgalian sur ce sujet). Même sans connaître l’apport des sciences cognitives, il suffit d’aller dans une maternelle bilingue et de se méler aux enfants. Ils passent spontanément d’une langue à l’autre selon leur interlocuteur. Et ils progressent au même rythme dans les deux langues. Certains, qui ont des difficultés avec le français, n’en ont pas dans l’autre langue. Ou l’inverse. Mieux, certains troubles du langage, qui nécessiterait l’intervention d’un orthophniste ou d’un psychologue, parfois n’apparaissent pas dans l’autre langue... et disparaissent spontanément dans les mois ou les années qui suivent au fur et à mesure que l’enfant progresse dans les deux langues.
ENcore une fois, l’enseignement bilingue précoce, c’est non seulement apprendre deux langues, c’est aussi apprendre DANS deux langues.
une fois le cerveau formé, il sera disponible pour en apprendre d’autres plus tard, et avec beaucoup plus de disponibilité et de facilité.
Des couillons, pour reprendre votre mot, il y en a partout ! la Bretagne n’y échappe pas. La France non plus...
mais je crois que nous nous éloignons un peu de notre sujet !
Vous êtes amusant ! Car personne n’empêche, ni n’empêchera vos enfants d’apprendre les langues que vous citez.
Ce n’est pas le cas aujourd’hui pour les langues régionales ou minoritaires de France. ET c’est anormal.
EN outre, il est probable que vos enfants apprendront les langues étrangères dans les conditions actuellement proposées par l’éducation nationale, qui sont réellement désastreuses.
l’ensiegnement bilingue précoce est une solution pour, non seulement apprendre d’autres langues, mais aussi apprendre d’autres matières dans d’autres langues. Comprenez bien la différence.
Le breton n’est pas plus difficile à appréhender que l’anglais. Apprendre ou connaître le breton, c’est aussi plus facilement appréhender l’anglais.
ET quand vous venez en Bretagne, ou quand vous allez en Corse, il y a (de plus en plus) de panneaux bilingues. Ils vous aident à comprendre le sens du nom des lieux. C’est plutôt facile.
ET dans bilingue, il y a 2 langues : le français n’est pas oublié. Vous ne serez donc pas dépaysé.
Toutes les langues sont utiles parce qu’elles portent une histoire et un regard différent sur le monde.
L’anglais,, vu de France, n’est qu’utilitariste. Et si on l’apprend pour cette seule raison, on passera nécessairement de toute la richesse dela littérature et de la civilisation anglaise.
Et en raisonnant de cette façon, étrange paradoxe, je ne donne pas cher du français dans le siècle.
un des meilleurs lieux pour confirmer ce que vous dites sur le français, notre langue véhiculaire, c’est d’aller à un congrès regroupant des défenseurs des langues régionales. Chacun parle dans sa langue et ourtant, pour se faire comprendre de tous, chacun utilise alors le français, notre langue commune.
Encore une fois, défendre les langues régionales, ce n’est pas vouloir supprimer le français. Ca le renforce au contraire comme notre langue commune. Connaître les langues régionales aussi à mieux comprendre comment le français s’est construit... et comment l’histoire s’est faite.
Où avez vous lu, dans mes propos, ce qui semble soudain tant vous énerver ? A Paris, comme dans toutes les autres grandes villes de France, comme dans toutes les régions, l y a des bretons, des corses, des basques, des alsaciens à Paris. En densité plus ou moins importante selon les cas, selon les lieux. Ils sont tous français, comme moi, comme vous.
Idem pour des populations dont les langue maternelles sont le kabyle, le turc, le chinois... et qui sont aussi françaises comme vous. Comme moi. Et que trop souvent, vous, moi et d’autres nous ignorons, quand on ne les rejette pas.
On parle alors de communautarisme, à tort. C’est en reconnaissant toutes les diversités, en reconnaissant les spécificités, dont l’originalité linguistique, que nous ferons évoluer notre maison commune et nous nous retrouverons tous demain. Différents, mais ensemble.
bonsoir,
la situation belge et la situation française ne sont pas comparables. La Belgique est un état créé de toutes pièces pour des raisons géopolitiques de lutte entre les français et les anglais pour la maîtrise de l’estuaire de l’Escault pour des raisons de controle du commerce par mer. Sur ce territoire, il y a trois communautés linguistique distinctes et la question de la capitale, Brussels, est quasi insoluble.
Ce que vous dites sur les indépendantistes corses s’est posé aussi en Bretagne il ya longtemps. Ces minorités agissantes, demeurent des minorités. Demander la reconaissance et l’enseignement des langues régionales, ce n’est pas nier le français, bien au contraire (voir mes autres commentaires)
D’accord avec vous pour que le corse soit enseigné à Brest et que le breton soit enseigné en Corse s’il y a une demande parentale suffisante.
Comme je l’ai déjà dit dans plusieurs commentaires, généraliser l’offre d’un enseignement bilingue français-langue régionale ou minoritaire ne signifie pas rendre obligatoire et enseignement.
Et sur le repli "communautarisme" qui semble vous effrayer, c’est la reconnaissance de la diversité , notamment linguistiique, qui facilitera l’intégration de tous dans notre communauté et qui enrichira cette communauté qui, nécessairement, se transformera ?
N’est pas finalement cela qui effraie ceux qui prennent appui sur ce communautarisme pour refuser les langues régionales et/ou minoritaires ? Reconnaître et intégrer cette diversité, c’est INEVITABLEMENT modifier la vision que nous avons de notre maison commune. N’y-a-t-il pas là, au final, un refus de l’autre au profit du dominant ? N’est-ce- pas une forme de racisme ? Et enfin, et surtout, un refus de regarder et d’accepter le monde tel qu’il est ? Les hommes tels qu’ils sont ?
J’ai l’impression qu’en posant la question, la réponse vient toute seule...
la vie est affairede choix, non ? De choix libre ?
Vous vous déplacez, c’est votre choix.... Peut -être que vos enfants apprendront plusieurs langues. régionales (les enfants, surtout en bas âge, apprennent très vite). peut-être (probalement) que vous ne leur ferez pas bénéficier de cet enseignement. Ce sera votre choix... et vos enfants viveront d’autres choses, tout aussi positives.
Mais vos arguments n’empêchent en rien qu’un enseigenemnt en langues régionales puisse être proposé partout où des parents le demandent.
Erreur d’appréciation. Des bretons, des catalans, des basques, des alsaciens, il y en a partout... et en particulier en région parisienne. Et je n’oublie pas non plus les autres langues minoritaires, issues de l’immigration, parlées par des gens qui sont français comme vous et moi.
L’enseignement de toutes ces langues, dans le cadre du bilinguisme scolaire français-langue régionale ou langue de l’immigration, c’est au contraire une formidable reconnaissance de la diversité culturelle (et linguistique) de notre pays. C’est aussi un formidable outil d’intégration entre des gens qui, dans leur différences enfin reconnues, partagent une valeur commune, et combien riche, le français.
Quant à la formation des enseignants, elle se fait déjà dans les IUFM avec une option langue régionale. Il suffit juste de généraliser et d’amplifier cette pratique.
Défense du français, notre langue commune, et défense des langues régionales et minoritaires, vont de pair. C’est le même combat.
PLF
Figurez-vous que moi aussi. Ce qui me fait m’intéresser aux langues d’Alsace, de Provence, du payas catalan, ou à l’occitan, sans oublier la Bretagne... parce que j’ai vécu dans tous ces lieux (sans oublier Paris !).
Merci de votre message.
De vos propos, je retiens surtout que par deux fois, vous vous déclarez favorable à l’enseignement des langues régionales et non à l’obligation de cet enseignement. Je crois que vous avez raison.
Obligatoire, l’enseignement des langues régionales ? Non, bien sûr. mais qu’il soit systématiquement proposé, oui. Et qu’il soit donné partout où les parents des enfants concernés le demande. Et surtout, pour commencer, dès la maternelle dans le cadre du bilinguisme précoce.
Si l’état et les services de l’éducation acceptait simplement de suivre cette ligne, nous progresserions déjà beaucoup. Car contrairement à ce que vous croyez, faute sans doute d’information sur le sujet, de nombreuses classes bilingues n’ouvrent pas par volonté de l’administration, alors que la demande parentale existe. Où les moyens mis à disposition de l’enseignement bilingue, surtout en nombre de postes accordés, ne sont pas suffisant.
Pour la prochaine rentrée et pour la seule Bretagne, des demandes d’ouverture dans les écoles publiques de Guichen, Plougonvelin, Bannalec, Saint-Etienne de Montluc ont été formulées. le nombre d’enfants est suffisant et conforme aux circulaires de l’éducation nationale et l’administration refuse d’ouvrir les classes. a Lorient, dans ses prévisions officielles présentées au dernier Conseil Académique des Langues régionales de Bretagne, l’inspecteur d’académie du Morbihan annonçait 51 élèves sur le groupe scolaire Merville de Lorient. Il ne propose qu’un enseignant en face, pour des enfants sur 6 niveaux. C’était le 4 juin dernier. Comment voulez-vous que cela fonctionne ?
Cordialement,
PLF
Il est exact que l’échantillon est réduit dans le document cité. Pour la raison simple qu’il y a encore peu d’enfants à poursuivre leur scolarité jusqu’au bac dans le cadre de l’enseignement bilingue. Ce commentaire n’enlève rien à la validité de votre critique ou de vos doutes...
Je pense que ce sujet est suffisamment important pour mériter une analyse plus détaillée que quelques échanges en commentaire à la suite de cet article, dont c’est loin d’être le sujet central.
Comme je l’ai déjà écrit à un autre commentateur, j’y reviendrai dans un autre papier ultérieurement. Il y a des éléments intéressants, avec des échantillons beaucoup plus importants, sur les évaluations de fin de cycle en primaire.
Et aussi des comparaisons entre les différents systèmes d’eneignement bilingues (immersion, parité horaire... qui sont intéressantes à regarder. J’y reviendrai.
Cordialement.
PLF
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