C’est assez clair, en fait, mais à l’écrit le sens est difficilement palpable.
La mesure (et donc la qualification/compétition) n’existe effectivement pas dans une relation proche comme celle du « parent/enfant », notamment chez la mère. La compétition peut effectivement provenir d’une peur de mal faire que l’on a en soi et que l’on transmet, mais ce n’est pas mon cas, j’ai appris à ne plus tenir compte du jugement, même si ce n’est pas évident en soi.
C’est une très bonne idée, hélas je n’ai pas eu la chance d’avoir cette possibilité étant enfant.
Il faut effectivement leur montrer que l’on s’intéresse à leurs centres d’intérêts et à leurs talents. Cela doit être passionnant surtout par rapport à l’imagination qu’ils ont.
Excellent article que j’ajoute à mes « must-read ». C’est exactement le sentiment que mon entourage et moi-même a, n’étant pourtant pas au RSA.
Courage !
Arrêtons de mélanger une fois encore les histoires d’Israël avec les musulmans. On parle d’une affaire qui s’est déroulée en France et suite à une parution centrée sur l’islam.
Point du tout. Seulement des raccourcis vont être vite pris. C’est tellement plus simple.
C’est pour cela, justement, que je dis que les musulmans vont encore devoir travailler dur pour que l’amalgame ne soit pas fait !
Je pense sincèrement que le prochain Charlie risque d’être gratiné lui aussi.
Action commerciale peut être, mais ces pieds mis dans le plat vont avoir quelques répercussions, à mon humble opinion :)
C’est tout de même impressionnant de voir la dictature franco-allemande gesticuler parce que les Grecs osent la vraie démocratie dans une Europe qui verrouille de plus en plus le libre arbitre. Un baroud d’honneur de Papandréou ?
Personnellement (et j’insiste là-dessus), je suis heureux de voir que les spéculateurs de tout poil se mettent à baliser. A force de jouer avec le feu, on se brûle.
Même si les grecs ont auparavant fait du n’importe quoi (aidés par des financiers) pour rentrer le système euro, j’ai presque envie de penser « c’est bien fait ! ». Un peu réducteur certes, mais tellement vrai.
Bon courage, Papandréou, pour le G20 (si tu es encore là). Un déni de démocratie se prépare encore une fois sous nos yeux. Grecs, soyez forts pour lutter contre la perte de vos droits !
http://t.co/luPLXIXm (article proposé sur Agoravox, en attente de validation)
N’étant pas un fin économiste, je voudrais vraiment savoir ce qui empêche la Grèce de finir en faillite tel que l’a fait l’Argentine.
Effectivement, les années qui ont suivi cette annonce ont été difficiles mais il semblerait que l’économie argentine se soit relevée. Des évènements graves se sont produits lors de l’annonce de cette cessation de paiement mais est-ce vraiment plus grave que ce qui se passe actuellement en Grèce ?
Depuis la mi- 2003 la croissance économique a été élevée (dévaluation => exportations en hausse) . La pauvreté a été divisée par deux en 4 ans. Même si le dossier n’est pas encore clos (le gouvernement peine à obtenir des prêts à taux intéressants, voire même des prêts « tout court », ce qui limite l’évolution du niveau de vie), les bases ont été quelque peu assainies, même s’il reste encore des incertitudes.
N’oublions pas que l’absence de prêts signifie aussi absence de dettes. Que les créanciers s’asseyent sur 50% de la dette Grecque c’est déjà la moitié du parcours de l’Argentine....
Cela va-t-il se passer comme pour le passage en farce du traité européen. Référundum. Non, mais oui quand même à la fin.
La Grèce, berceau de la démocratie moderne doit écouter la voix du peuple !
Tout d’abord merci pour vos remarques et commentaires.
Comme vous le dites, le monde ne cesse de s’effondrer sur lui-même et particulièrement le monde privilégié, qui n’a que son propre confort en tête.
Alors que si chacun y mettait du sien, ne serait-ce qu’un seul petit pourcent de son temps, la plupart des problèmes seraient depuis bien longtemps éradiqués.
Comme l’a dit à juste titre Bobby sur le rapport entre le budget d’armement et la faim dans le monde, les priorités des uns et des autres sont très éloignées et on arrive à des situations inacceptables.
En voyant par exemple la médiatisation des problèmes de famine dans la corne de l’Afrique - récurrents depuis nombre années - je me dis qu’il y a quelque chose qui tourne pas rond.
Avec la richesse produite et notre niveau de vie, deux sentiments m’envahissent : la honte, tout d’abord. La honte de voir que nous avons tout et eux rien. La honte pour ceux qui s’enrichissent sans cesse alors qu’une toute petite fractions résoudrait ce problème.
Le deuxième sentiment c’est la culpabilité. Je suis coupable comme mes pairs de ne pas faire plus et de ne pas m’indigner avec force vacarme contre cette situation. Coupable de ne pas pouvoir donner plus que ce soit du temps ou de l’argent.
Pis encore, j’ai le sentiment d’appartenir à une autre époque et de ne pas être à place ici. Je ne comprends pas mes contemporains. Pour la plupart (j’insiste bien là dessus, nous ne sommes pas tous pareils), aucun ne lèvera le petit doigt, trop enfermé dans sa petite bulle. En plus c’est les vacances, les pauvres attendront, non ?
Voilà ce qui m’envahit : la honte, la culpabilité et surtout l’incompréhension de notre monde.
Suis-je à enfermer ? Non car je suis intimement persuadé de ne pas être le seul...
Le toujours mieux est une valeur très subjective.
L’éducation des nouvelles générations, pour ma part, j’y crois de moins en moins.
Peut-être que je me trompe mais quand je vois la génération qui me suit, j’ai du mal à croire que l’on aura une majorité correcte et une minorité de petits « cons » alors que pour le moment il n’y a qu’une minorité de couillons qui (hélas) occulte le reste et tend à prendre tout l’espace.
J’ai testé FB pendant quelques mois puis tout arrêté. Puis j’ai fait un test en me « googlant » et en utilisant 123people.com. Plus rien de visible.
Cela ne signifie pas que les serveurs n’ont rien gardé mais que tout du moins le peu de données que j’y avais mis a été retiré de la circulation.
Je reste néanmoins très méfiant, que ce soit sur Google+, Face etc. et je pense aux plus jeunes qui y mettent n’importe quoi, et ceci avec un profil ouvert, c.à.d. qui partage les données avec tout le monde.
C’est un outil très utilisé des RH pour effectuer quelques vérifications peu couteuses sur un candidat et je pense que beaucoup s’en mordront les doigts plus tard, lorsqu’on leur ressortira quelques « dossiers »...
Quoiqu’il en soit, ceux qui ont connu « l’age d’or » sont vraiment pessimistes sur l’avenir d’Internet et d’une certaine manière ceci est compréhensible : filtrage, « radars » Hadopi, internet à deux vitesse avec priorité à certains flux plutôt que d’autres (dans un langage plus technique, QoS - Quality of Service). Cela nécessiterait un article vraiment exhaustif sur le sujet !
Vous avez donc fait partie des véritables early-adopters de la connexion. Le RTC en 1993 (en France) n’était vraiment qu’une affaire professionnelle et vraiment très peu de particuliers disposaient d’une connexion. Idem pour l’ADSL en 2000, vous aviez un véritable privilège, pour l’époque où le 56K (voire même le 33) était majoritaire :)
Merci pour vos commentaires constructifs.
J’ai choisi volontairement de simplifier l’article pour éviter les considérations que le néophyte ne retiendra pas et orienté la description par rapport aux versions que l’on voit citées dans nombre de revues et sites liés à l’informatique (le très médiatisé « 2.0 », par exemple).
Le WWW n’est effectivement que l’un des services (majeurs, tout de même) d’Internet mais je ne voulais pas brosser là un portrait exhaustif du sujet, tant il est vaste. De plus, certains articles de Wikipédia - parmi tant d’autres - traitent du sujet forcément mieux et de manière plus détaillée.
Tout à fait, c’est juste un raccourci pour éviter les répétitions.
A mon humble avis, le Cloud n’est qu’en fait une appellation qui fait le buzz.
Le fait de placer ses données en ligne n’est pas nouveau en soi. Ce qui change la donne c’est que les logiciels deviennent de plus en plus des applications web en ligne.
J’aurai pu effectivement évoquer le Cloud mais je lui aurai alors associé le SaaS (Software as a Service) qui lui est étroitement lié, en effet. Mais est-ce vraiment le Web 3.0 puisqu’on y est déjà ?
De là à dire que cette évolution fera de l’Internet un minitel 2.0, je ne suis pas en accord avec vous. Le minitel n’a pas autant percé chez le particulier qu’Internet à cause de son coût et de son utilité réelle, entre-autres.
Mon analyse aurait du effectivement inclure les professionnels mais je m’adressais ici aux particuliers, donc j’ai choisi de traiter la partie les concernant.
Par rapport à votre remarque, vous avez dit juste en parlant du déclin du réel Internet libre mais comme je l’ai dit plus haut, ceci fera l’objet d’une prochaine analyse
Petite coquille : il fallait lire « je n’ai pas eu de quotas de téléchargement » à la place de « quotas horaires ».
Bonjour,
tout à fait, je n’ai pas évoqué le FTP qui fait partie pourtant des services des plus anciens et utilisés d’échange de fichiers. J’ai abordé l’histoire de manière à autoriser le néophyte à lire mon article sans devoir se référer sans cesse à un lexique et une terminologie relativement compliquée.
L’ADSL a convaincu le particulier bien plus que le 56K par la facilité de connexion et surtout l’absence de quota horaire. En France, je n’ai pas eu de quota horaire avec mon premier abonnement 128Kbit mais il est vrai que les tous premiers abos l’avaient.
Quant à RNIS, je l’ai laissé volontairement de côté car il n’a pas énormément percé dans les foyers : le coût restait tout de même élevé, surtout quand on souhaitait doubler le débit en passant de 64K à 128K.
« J’ai vécu » internet depuis 1997 seulement, mais j’aurai bien voulu l’avoir à la maison avant, en tout cas :)
Pour la version « 3 » du web, j’aurai pu également parler de filtrage par DPI (sur le contenu et non plus sur les emplacements, mais je pense que vous savez de quoi je parle ;) ), j’aurai pu également parler de l’Hadopi mais là n’était pas mon propos. Cela dit, je garde ces sujets sous le coude car je les développerai plus tard.
Merci, en tout cas, pour vos remarques constructives et pertinentes.
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