Bonjour, Vous dîtes : "l’exemple de la voiture ne marche pas. lorsque vous vous mettez au volant, vous prenez le risque d’un accident, mais vous n’avez pas pris le « volant » d’avoir une centrale nucléaire qui vous pete sous le nez."
Vous jouez sur les mots. Le fond de l’exemple tient très bien, mais vous retenez la grossièreté de la comparaison par ce que représente chez vous cette catastrophe que serait l’utilisation du nucléaire. La voiture = moyen de remplir un besoin essentiel de notre économie : transport (à comparer avec)—> électricité La voiture fonctionnant avec de l’essence = matière utilisée pour assurer la réalisation du besoin (à comparer avec) —> utilisation du nucléaire. Mon point de vue : vous voulez faire disparaître le besoin (le transport —> l’électricité) dont a besoin notre pays en supprimant le nucléaire (comme l’essence pour les voitures).
Votre comparaison, elle, est mauvaise : vous comparez l’étendue des conséquences (alors qu’à l’échelle, une voiture ne se compare pas à une centrale !)plutôt que le principe qui sous-tend mon argument.
Le principe est : peut-on utiliser un outil ou une matière potentiellement dangereux(se) ? Et cela, vous n’y répondez pas sur le fond.
Vous dîtes : "démocratiquement, nous sommes dans un pays ou pres de 80% des citoyens sont pour une sortie du nucléaire, mais le chef de l’état en a décidé autrement, il refuse meme un référendum."
Euhh...Les Français sont majoritairement pour un comportement plus écolo (voiture écolo, déchets écolos etc), mais quend il s’agit d’agir, il n’y a plus personne. Non ? De même, je vous retourne la question - qui d’ailleurs n’a pas de lien avec l’argument, et n’ajoute pas à votre exemple pour justfier que mon argument n’est pas valable - : si les Français étaient pour le nucléaire, abandonneriez-vous votre opinion sur le sujet ? Oui, la démocratie, c’est la volonté du peuple. je ne dirai pas le contraire. Encore faut-il que nous vivions dans une vraie démocratie.
Concernant votre position sur l’Allemagne, je n’ai qu’une seule chose à dire : nous verrons bien si oui ou non elle s’en sortira sans nous. Parce que vraiment, l’économie citoyenne, je n’y crois pas. La seule façon de procéder est clairement - hélas - la contrainte financière, seule à même à activer nos concitoyens. Rendez-vous, donc, dans les trois ans à venir ;)
Bien à vous.
Bonjour, Le risque zéro n’existe avec aucune chose. Si vous prenez votre voiture, vous pouvez ne pas revenir chez vous. Vous l’interdit-on pour autant ? Si vous faîtes usage d’un couteau de cuisine, vous pouvez blesser quelqu’un ou vous-même. Vous en interdisons-nous l’usage ? SI vous buvez du vin, faîtes-le avec modération. Vous en interdisons-nous l’usage ? Si vous jouez au savant chimiste et que des « accidents arrivent » et vous blessent, vous en interdisons-nous l’usage ?
Beaucoup de choses autorisées sont nocives pour la santé, mais nous ne pouvons pas nous en passer. En France - et je précise bien dans le contexte culturel et géographique français - , le nucléaire est « L »’énergie qui fait tourner, avec le pétrole, notre économie. Malgré tous es désastres liés au dégazages et autres accidents liés à l’or noir, nous utilisons encore cette matière première.
Je ne dis pas que nous ne sortirons jamais du nucléaire. J’espère qu’on trouvera un moyen d’en limiter les risques ou de trouver des alternatives VIABLES. Autant retourner au champs ! L’Allemagne a choisi de sortir du nucléaire. A quel prix ? En polluant plus ? Parions qu’elle viendra toquer à la porte de son allié français pour le peu d’électricité qu’elle fournira.
Il y a des choses, en toute objectivité, dont nous avons besoin pour subsister. Loin de penser que notre espèce construit ce monde, je pense toutefois qu’il faut investir dans le nucléaire pour limiter au maximum les risques. La question est : veut-on investir ?
Quant aux dispositifs alternatifs, investissons également. Je suis par exemple pour la voiture électrique, et cette alternative est viable. Avec le nucléaire, c’est impossible. Il faut absolument, et en premier lieu, investir pour rénover ou assurer la sécurité dans nos centrales actuelles. Simplement en sortir à court terme est impossible. Nous en avons besoin.
C’est pourquoi si le risque zéro n’existe pas, sortir purement de ce système sur un accident émotionnel n’est pas non plus la solution.
Bien à vous.
Bonjour,
Je suis contre ce genre de provocation haineuses et débile - la haine est débile de toute façon - de ces jeunes extrémistes. Tout extrémisme de ce genre est digne de...rien. Vaut mieux leur tourner le dos.
Concernant la « flotilleé pour Gaza, je pense qu’elle ne servira à rien. A mettre la lumière et pointer le doigt sur Israel, encore. C’est de l’argent bien inutile de la part de nos contribuables. Toutes ces actions de boycott, de soutien à des associations de ce genre sont inutile à long terme. Les coups médiatiques se heurtent inexorablement à la mémoire des citoyens.
Israel arrêtera ces bâteaux, confisquera les biens, en rendra une partie aux Palestiniens. Si les gens de ce bateau n’attaquent pas les soldats venant les arrêter, alors il n’y aura pas - ouf ! - de bain de sang.
J’espère que cela se terminera comme la majorité des autres bateaux de la précédente flotille : dans le calme.
Il est illusoire de croire que ce genre d’actions embellissent la cause palestinienne. Il n’y a pas de »cause« palestinienne. Etre 100% pro-palestinien ou pro-israelien, c’est être naif, aveugle, de mauvaise foi et/ou raciste.
Et utiliser ce genre de communication (qui coûte cher) est vraiment dommage, et pour la paix que l’on croit défendre, et pour la réconciliation entre les deux »ennemis".
Bien à vous.
Bonjour,
Le nucléaire n’est pas mauvais en soi. C’est la façon dont on le traite qui le rend ainsi (analogie à Shakespeare, Acte, II, Scène 2).
L’article est fidèle à ce sujet : c’est l’irresponsabilité des dirigeants concernant la sécurisation liée à l’utilisation de centrales nucléaire qui peut être dangereuse (très...), non le nucléaire.
Pensons à investir pour remédier à ces problèmes, plutôt que d’y faire une croix dessus.
Bonjour,
Vous prenez deux exemples et les montez en porte-drapeau de vos convictions. Quand bien mêmes ces « incidents » n’auraient pas eu lieu, votre avis -peut-être- n’aurait pas bougé pour autant.
Vous ne répondez pas à ma réflexion. Et si l’on remédiait aux problèmes liés au nucléaire, plutôt qu’au nucléaire ?
Bonjour,
Merci à vous également.
Effectivement, peut-être que nous en resterons sur nos positions, mais que nous avons été capables d’accepter que celle de l’Autre puisse exister, sans heurts.
Bien à vous.
Bonsoir,
Bonne fête de la musique.
Les asiatiques (je me permets de faire ce raccourci par fainéantise intellectuelle vous me le pardonnerez) n’ont pas à râler de leur situation. Ils ont été accueillis dans un pays qui leur donne des droits et devoirs comme aux autres, qui est développé, qui partage des principes similaires aux leurs. Ils ne se plaignent pas car ils sont reconnaissants et intégrés. Ils ne renient pas leurs origines mais acceptent très bien la culture occidentale.
Ils ont toujours été tournés vers l’évolution (pour les communautés du sud est asiatique issus de l’ancienne Indochine).
Ils ont fait table rase du passé sanglant et voient aujourd’hui la France comme leur patrie.
Le communautarisme existe, en tant que solidarité, mais il n’a pas une image si négative.
Je suis également d’accord avec le dernier message de notre confrère asiatique.
Bonne soirée
Les Français d’origine asiatique, qui ont -il faut le dire - bonne réputation vis à vis de la communauté d’origine magrhébine, en viennent à défiler contre l’insécurité !
Il doit y avoir un réel problème, pour que cette communauté d’ordinaire silencieuse et intégrée - bien qu’on lui reproche tout de même un certain communautarisme - descende dans les rues.
L’existence d’une impunité - on se dit que les « yeux bridés » sont non violent, ne se vengent pas, se laissent faire - est réelle.
Le problème des Français d’origine asiatique est après tout le même problème que les autres Français. Preuve qu’ils sot intégrés !
Bonjour,
Article très intéressante.
Je me pose une question : elle était jeune, mais restait-elle vierge ? OU dumoins avant la naissance de Jésus ?
Je reste heureux de constater que ces éléments soient discutés sans heurts violents. Ouf !
PS/ Excusez toutes ces fautes d’orthographe :)
Bonjour,
Le probème du nucléiaire se résume selon moi à deux questions :
- comment éviter le risque de dérapage dans les centrales ?
- comment se débarasser de façon « verte » des déchets ?
Nous sommes dans une zone peu sismique, excepté certaines zones qui n’atteindront pas le niveau de Fukushima.
A priori, ce qu’il faut, c’est renforcer -oui, il faut investir- la protection contre ces risques. Il ne faut pas arrêter les centrales, il faut les rénover vraiment et renforcer les mesures de sécurités.
Par exemple, si la capacité de résistance est assurée pour un risque sismique de 5 sur l’Echelle de Richter, alors il faut les augmenter à 9. De même, si la capacité de résistance de la coque des centrales est d’un avion en feu arrivant à 200 km/h, alors il faut la renforcer pour qu’elle résite à conq avions contenant autant de bombes.
Tout cela, ce sont des chiffres évidemment donnés en gros.
Ensuite, pour le second problème, je pense qu’il faut trouver une solution, et vite. Puisqu’on investit dans le durable, autant penser la conciliation avec les déchets, car en soi, l’électricité n’est pas polluante, ce sont les déchets produits. Comme toute entreprise, comme pour l’industrie automobile, il faut y penser, et investir, pas arrêter du jour au lendemain les choses. Cela paraît évident pour l’auto, pas pour le nucléo.
Quant aux incidents, ils ont été relatés, et les experts les connaissent. Je ne dirai pas que rien ne nous est cachés, et que TEPCO par exemple a été totalement transparent, mais quelle industrie prolifique et potentiellement dangereuse l’est ?
Les Allemands ont décidé la solution de la non solution dans le nucléaire. Moi j’y vois si on y pense mieux, et vite.
Du reste, je demeure d’accord sur les dangers que vous citez, bien que je les vois comme « solutionables » - oui, le terme m’a plus sur le coup-.
Bonne journée.
Bonjour,
Vous dîtes
"Tout d’abord sachez que je vous remercie pour votre respect à mon
égard, et tiens également à m’excuser si mon message vous a paru quelque
peu virulent."
C’est normal ! Il est vrai qu’aujourd’hui même cette évidence perd de son évidence.
Vous dîtes :
"Ce qu’il y a c’est que j’avoue avoir peur en voyant toute cette haine dans certains commentaires. C’est vraiment dommage car aujourd’hui nous pouvons nous comprendre les uns les autres si nous acceptons le dialogue."
J’avoue que ça aussi c’est normal. Et je sais trop que les mots peuvent blesser plus qu’autre chose. Quelques fois il faut l’avouer, derrière toute la mascrade de politesse, il y a la haine. Il est normal que vous doutiez de moi aussi au final.
Faites vous votre avis, c’est important.
Vous dîtes :
"Vous savez je comprends tout à fait votre point de vue concernant les points négatifs que vous citez. Il en serait certainement de même pour moi si je n’étais pas musulman. Cependant, j’insiste sur le fait qu’il faut creuser jusqu’au fond des choses."
Ok.
Vous dîtes :
"Il est vrai que selon la religion musulmane une femme ne peut pas tout faire comme elle le veut. Mais les hommes non plus. Les hommes et les femmes sont complémentaires, il sont partenaires. Il n’y a pas de supériorité de l’un par rapport à l’autre à proprement parlé. Mais ce qu’il faut garder à l’esprit, c’est qu’en islam, ce qui vous apparait comme étant liberticide pour la femme n’est là que pour la protéger.«
Vous mettez le doigt sur un point important. L’islam n’est pas vraiment une religion égalitaire. Elle est une religion qui se veut équitable.
Les croyants ne sont égaux que sur le plan de la piété, de la fidélité à Dieu. Sur le plan de la vie sociale, économique, familiale etc, chacun a des droits, et des devoirs. Les hommes ont des droits sur les femmes, mais ils ont en retour également plus de devoirs.
Le problème, c’est qu’aujourd’hui les femmes désirent avoir les mêmes droits et devoirs. Parce qu’elles le peuvent. Et les cantonner sur un plan statique ne favorise pas, vous conviendrez, l’évolution des mentalités.
La religion chrétienne a connu cette période de transition. Et les femmes, il n’y a pas longtemps, avaient aussi peu de droits, l’homme restant »le chef du foyer« , le protecteur, et le »boss« .
Vous dîtes :
»Il faut essayer d’analyser tout cela en gardant ce principe à l’esprit pour essayer de comprendre pourquoi il y a ces règles.
C’est une question de point de vue. Par exemple, de mon point de vue, l’image de la femme dans notre société se dégrade de plus en plus. Je travail auprès des adolescents, et je peux vous dire que beaucoup de ces jeunes garçons ont une de ces manières de parler des filles... C’est simple ils n’en parlent que comme des objets sexuels jetables. Je prends un autre exemple, cette fois assez extrême, le nombre de viols en moyenne par jour aux Etats-Unis qui est faramineux.«
Ca, c’est une image qu’en donne beaucoup de détracteurs. La femme occidentale n’est pas nue. Elle n’est pas sous dix kilos de tissus ou sans un gramme non plus. D’ailleurs, il existe bel et bien une infraction pour atteinte à la pudeur.
Si les garçons ont une mauvaise iage des filles, ce n’est pas parce qu’elles s’habillent »légèrement« , mais parce qu’ils ne les connaissent que par rapport à la barrière culturelle qui leur a imposés une sexualité basée sur les magazines de beauté et les films pornographiques ou de charme. Un homme a qui on a incluqué : respecte la femme comme tu respectes ta mère - s’il la respecte - n’a en géénral aucun problème avec ça.
INversement, quand vous allez dans une cité, et que les jeunes sifflent une demoiselle, habitués à voir des femmes »habillées« - c’est-à-dire culturellement »habillées« , est-ce la faute des femmes ou de leur conception de la »femme respectable« .
Vous dîtes :
»
Attention je ne dis pas que c’est la faute des femmes ! Mais simplement que sans comportements préventifs, on en arrive à ces drames là. Parce que les être humains sont capables du pire, il faut se protéger. Les femmes doivent donc faire attention. Elles doivent être protégées pour éviter d’être bafouées.«
Je comprends ce point de vue. Le problème vient avant tout de l’image que renvoie la société de la femme. Par exemple, j’ai une amie qui est d’origine algérienne. Lorsqu’elle va »au bled« , elle va dans son village. Les femmes y sont voilées. UNe fois, elle a vu des hommes insulter une feme juste parce qu’elle était seule ! Comme quoi, le respect ne vient pas uniquement de l’habit, mais de ce que l’on pense de ce qui est »respectable".
vous dîtes :
"C’est bien beau de crier à la liberté totale, et si on était dans un monde parfait ok, mais ce n’est pas le cas. Par exemple un enfant, on ne va pas le laisser traverser une route tout seul, parce qu’on sait que c’est très dangereux pour lui. Il en est de même en Islam pour les femmes."
Faux. Je pense que sans idéaux, on n’atteindra jamais l’idéal. C’est baisser ses bras. Dans ce cas, autant ne pas criminaliser les délits et crimes, puisqu’ils sont inhérents à la nature humaine !
Toutes les règles sont des conventions sociales pour bien vivre. L’égalité aussi est un idéal. Elle peut être atteinte pour qui veut. Par exemple, dans l’administration publique, à statut égal, salaire égal, homme ou femme. Pourquoi dans le privé ce n’est pas le cas ? Parce que les chefs d’entreprises ont une autre culture. C’est possible pour qui veut.
Vous dîtes :
"Ce qui pour certains est considérés comme de l’oppression est une mesure de protection pour l’autre.Malheureusement je n’ai pas les compétences requises ni les connaissances nécessaires pour vous démontrer cela. Mais si vous voulez je peux vous envoyer le lien d’une vidéo d’une conférence expliquant cela bien mieux que moi.«
Je suis d’accord sur ce point. Il y a »protéger« et »protéger bon gré mal gré« . Pour protéger son enfant, on peut le mettre dans une cole particulier, l’y pensant mieux, on peut le materner, le pensant heureux, on peut aller jusqu’à »lenfermer chez soi", pur l’éduquer loin de tout danger. Mais la vie, c’est la vie. Elle est injuste parfois. ALors la conception de l’oppression peut se rapprocher de la protection. Le problème, c’est la généralisation de cette conception. Et c’est encore une fois baisser les bras. C’est avoir une vision trop pessimiste de son environnement.
Vous dîtes enfin :
« Mais sachez que je comprends et respecte votre point de vue »
Je vous remercie.
Bien à vous.
Bonjour,
Vous dîtes « Je viens de voir votre message et c’est pourquoi je n’y répond que maintenant. »
Ce n’est pas grave, vous avez quand même le droit de respirer :)
Vous dîtes :
"Le verset que vous citez concerne les dettes et les transactions commerciales. C’est dans ce seul cas qu’il faut le témoignage de 2 femmes pour un homme. Il me semble (mais je me trompe peut-être) que vous faites la même erreur que bon nombre d’extrémistes qui ne s’en tiennent qu’à une lecture superflue."
Oui, ce verset concerne les transactions commerciales. Ai-je dit le contraire ?
Non, je ne fais partie de ceux qui affirment que la femme vaut deux fois moins qu’un homme dans tous les cas.
Vous dîtes :
"Déjà cela ne permets pas de dire que l’homme est supérieur à la femme. Car il est bien dit qu’il faut soit le témoignage de 2 hommes, soit le témoignage d’un homme et 2 femmes. Mais pas le témoignage d’un homme seul.«
Vous aurez beau triturer le calcul, cela ne change rien : le témoignage de la femme dans les affaires de dettes et autres transactions de ce genre vaut deux fois moins que celui d’un homme, parce qu’elle serait de nature à »oublier". Il faut deux hommes pour un tel témoignage. D’ailleurs, dans la tradition biblique, il faut toujours deux témoins.
Mais vous savez bien - j’espère que vous ne sera pas de mauvaise foi !- qu’il ne faut pas un homme et une femmes, deux hommes ou deux femmes, mais il faut bien deux hommes, ou un homme ET deux femmes. Quel que soit le calcul que vous proposerez, la voix d’un homme = celle de deux femmes dans ce cas précis.
Vous dîtes :
« De plus, dans certaines traduction il est bien spécifié »de peur qu’elles oublient un détail« et non »oublient" tout court. D’ailleurs, il me semble qu’en arabe le terme se rapproche du sens « d’erreur » ou de « se tromper ».«
Vous aurez beau une nouvelle prétendre le contraire, il reste le fait : une femme est considérée comme plus apte »à oublier un détail« . L’homme est considéré comme plus droit sur ses épaules, moins »enclin« à oublier, même un détail. Il ne fait pas l’objet d’une telle injonction. Il n’est pas écrit : ...et deux hommes, de peur que si l’un oublie, l’autre lui rappelle... comme pour la femme.
Vous dîtes »
Il ne faut pas oublier qu’à l’époque la très grande majorité des femmes, hormis celles issues de milieux sociaux élevés, n’avaient ni éducation, ni une bonne connaissance des transactions commerciales. De plus, tjs à cette époque, il était très facile d’intimider une femme pour faire pression sur elle.
Euh... Les hommes n’avaient pas plus d’éducation. Il y avait quelques hommes ’affaires bédouiins. Mais la plupart étaient aussi ignorants. Ils étaient aux « champs » comme les femmes. Khadija, femme de Mahomet, était une femme d’affaires !
Si on suppose qu’une femme peut être « dans la lune », alors il n’est pas farfelu que l’homme puisse l’être. Et dans ce cas, édicter cette règle lèse les femmes « droites » dans leur tête et leur mémoire, et privilégie les hommes « dans la lune ». Injuste, hein ?
Cependant, il reste le seul argument valable. Le problème, c’est que le verset à valeur règlementaire et universelle. Donc pour une évolution aujourd’hui..C’est aux musulmans de changer le Coran et de s’adapter, pour rendre à la femme ce qu’elle mérite de droit.
Vous dîtes : "J’ai l’impression que faites d’un cas une généralité avec en plus une interprétation des choses qui est très dangereuse. C’est ainsi que bcp de personnes tombent dans ce que l’on appelle extrémisme.«
Vous vous trompez sur mon compte. NOn, hélas pour vous, je ne fais pas partie - je ne pense pas, bon dieu ! - de ceux qui tombent dans l’extrémisme. Le verset sur les transactions financières sont à portée générale, universelle. Il y a des versets contextuels, mais celui-ci est de portée générale. Je n’ai pas fait de ce cas une généralité. Je n’ai jamais dit que la voix d’une femme vaut deux fois moins que celle qu’un homme tout court. Et vous pourrez vérifier.Ce n’est tout de même pas ma faute si le Coran affirme cette règle générale !
Je note tout de même que vous concédez que le témoignage de la femme dans le cas des dettes est équilvalent à la moitié de celui d’un homme parce qu’elle »oublie« , et non pas parce qu’elle serait »sujette à des pressions" : ) C’est déjà ça de gagné dans le débat.
Vous dîtes :
"Effectivement n’importe quel macho imbécile peut se servir de ce genre de choses pour dire que la femme est bête et inférieure. Sauf que si on lit tout le Coran avec la bonne interprétation si on étudie la jurisprudence islamique, on peut voir qu’il y a des cas où le témoignage d’une femme à le même poids que celui d’un homme, et que même dans certains cas où les femmes sont plus compétentes leur témoignage à plus de valeur que celui des hommes."
Moi je me base d’abord sur le Coran. Sur ce cas précis, la voix d’une femme a deux fois moins de valeur que celui d’un homme seul. Vous en conviendrez, au moins, avec honnêteté ?
Vous dîtes : "En Islam, et dans toute religion monothéiste (je connais très mal les religions polythéiste donc je ne me prononce pour elles), les êtres humains ne se distinguent les uns autres que par leur foi. Une femme pieuse à un rang plus élevé auprès de Dieu qu’un homme même s’il est pieux mais moins que la femme en question.«
Ce comportement est typique des »savants« islamiques. Au lieu de dire : voici comment on doit comprendre le Coran de façon objective. Ils vont dire par avance dans leur tête : Le Coran est parfait, donc s’il y a des problèmes, c’est la faute de notre compréhension. Ce que vous dîtes, c’est que sans prononcer »ok, la voix de la femme a dans certains cas moins de valeur que celle d’un homme« , vous affirmez par avance : »de toute façon, dans l’islam, la femme est bien lotie".
Mais je n’ai jamais dit le contraire ! La femme musulmane a certainement quelque avantage en son temps, mais il faut reconnaitre au Coran qu’il a aussi été inégalitaire.
Vous dîtes :
"Mais encore une fois je comprends tout à fait votre point de vue. Je tente simplement ici d’essayer d’expliquer le point de vue de l’Islam, sans pour autant prétendre que j’ai raison et que vous avez tort. Je souhaite juste que nous nous comprenions.
Merci en tout cas pour vos échanges avec moi."
Vous expliquez l’islam avec vos mots, avec votre culture. Il est vrai que mon esprit critique - si dumoins il existe - est propice à mettre des mots sur des choses. Vous, je pense en tant que musulman,défendez l’islam. Moi je pense qu’on rendrait plus service à l’islam en acceptant ses travers et ses qualités. Je trouve du coup que vous ne cherchez pas à voir les travers de votre religion, peut-être de peur de connaître une dissonance cognitive.
Je suis aussi heureux de pouvoir échanger avec vous sans dérapage.
Bonsoir Cyprienne,
Je suis d’accord avec la tonalité de
l’article : il existe un parti pris pour la femme en tant que victime,
et l’homme en tant que bourreau.
Cependant, le reste de votre message mérite, je pense, quelques clarifications, si vous le permettez.
Voici ce que vous dîtes : « Il faudrait que les hommes soient de glace mais en même temps qu’ils soient réactifs à nos signaux...
Il faudrait qu’ils soient moins machos mais en même temps plus virils....
Il faudrait qu’ils s’occupent des taches ménagères mais en même temps qu’ils nous tiennent la porte... »
Je
ne crois pas que les hommes doivent être de glace. Ils doivent accepter
la beauté féminine s’ils sont hétéros et séduits, ce qui est tout a
fait compatible avec la réactivité des « signaux » dont vous parlez. Je
sais reconnaître dans la rue une femme qui « veut », sans que je ne la
considère comme une « salope », ou que je vois en son comportement un
« appel au viol ».
Concernant la virilité, c’est certainement votre acception qui vous pousse à la lier au machisme. Un homme viril, pour moi, c’est un homme fort. Un homme macho, lui, n’est pas forcément fort. Il peut même être menu. Il veut juste dominer. Un homme viril saura être fort sans se faire dominer, ni sans avoir besoin de dominer.
Enfin, concernant l’homme qui s’occupe des tâches ménagères et qui tient la porte, permettez-moi d’y voit une dissonance cognitive qui vient de votre propre vision de l’homme. Pourquoi un homme qui est « galant » ne serait-il pas investi dans le foyer ? L’homme galant n’est-il que celui qui rapporte le pain à la maison ? UN homme romantique, qui apporte des fleurs est-il incapable de passer l’aspirateur ?
Vous parler de contradictions. Mais c’est vous qui les voyez comme contradictions. Je pense qu’en cela l’article de l’auteur est très révélateur de nos esprits embrigadés. Peut-être que les médias, les films, le porno, les magazines etc - et accessoirement nos ancêtres- ont motivé ce que nous sommes aujourd’hui. Cependant, je suis tout à fait d’accord avec l’auteur, quand il défend l’idée selon laquelle cette vision de la femme - en tant que morceau de viande - est une chaire que nous pouvons posséder bon gré mal gré (d’où la « talibanisation » des esprits).
Bien sûr, ne nous sommes pas des talibans ! Nous ne lapidons pas les
femmes contrevenantes, non obéissantes etc. Mais en participant, même
inconsciemment, à cette façon de penser : "si elle s’habille comme une
pute« - qu’est-ce qu’une pute ? - alors elle doit être traitée comme une pute - qu’est ce que »traiter une pute" ?-
En
pensant ainsi, c’est imposer à la femme un comportement, un choix
dichotomique. Soit elle est pieuse - limite virginale -, soit elle est
salope - et non respectable.
On en pense pas qu’une femme peut avoir
conscience de sa sexualité, de son potentiel de séduction, comme tout
être humain. Mais accepter de séduire, et se laisser séduire, ce n’est
pas appeler au viol ! Voilà la lie de la « talibanisation ».
OUi, quand on voit une belle femme, alors notre pénis s’érige fièrement. Elle est « bonne », mais je veux l’avoir, sans la violer. Je veux l’aimer, même une nuit, sans lui manquer de respect. Elle est vulgaire ? J’aime la vulgarité ! Elle est timide ? J’aime sa timidité ! On veut lui faire l’amour, on est séduits. Mais si on pense : elle est « bonne », alors elle mérite que le lui donne ce qu’elle mérité, c’est une autre façon de penser !
Les femmes ont le droit de « chercher » à séduire, ce sont des êtres humains, hey ! Mais aujourd’hui, il semble qu’on leur ôte ce droit. Car en pensant : « elles l’ont cherché », c’est les culpabiliser.
Oui, elles cherchent, mais elles nous cherchent, nous, mâles qui doivent leur être dignes ! NOn pas le violeur, criminel exécrable.
Par contre, l’auteur ne devrait pas mettre dans le même pot : femmes et enfants, et hommes. C’est continuer inconsciemment de victimiser les mêmes victimes, faibles, et diaboliser, responsabiliser les hommes.
J’ai lu qu’un internaute a dit que les mères frappaient plus leurs enfants que les pères. Si cette étude est vraie, pourrait-on penser que le temps que les mères passent avec leur bambin est plus « propice » à ce genre de violence que le temps que passe le père européen ?
Je ne dédouane pas ces violences, bien évidemment. Il serait naif de croire que la femme est dénuée de tout vice ! Elle est un homme !
Je pense que les musulmans, puisque l’on parle d’islam, sont plus
« conditionnés » pour frapper leurs femmes, le Coran autorisant de frapper
toute femme non obéissante, même sous conditions. Il est peu acceptable
pour nous, de culture judéo-chrétienne-romano-etcetc , avec toute
l’Histoire que nous avons, qu’une femme, même désobéissante, soit
frappée pour quelque motif, par un pieux mari qui voit en elle une
mauvaise femme.
Oui, la condition de la femme en islam est meilleure,
etc etc. En son temps, oui. Et encore, certaines tribus d’Arabie
étaient plus avancées que l’Islam, quand on sait qu’il faut le
témoignage de deux femmes pour compenser celui d’un seul concernant les
questions de dettes et d’affaires. Quoi ? Les Grecs, ces machos,
avaient-ils tort quand ils pensaient que la femme devait rester au
foyer, maitresse de maison, savante gardienne de l’économie ménagère ?
Vraiment, il faut être honnête sur ce point. Là n’est pas le procès de
l’islam, mais en terme de condition de la femme, c’est vraiment être de
mauvaise foi que de dire que la femme « occidentale » a à envier la femme
musulmane non occidentale. Au moins, « nous », l’égalité stricte est
prônée sur les écrits fondamentaux...
Revenons à notre « affaire ». Je pense que les hommes doivent penser autrement la femme. Oui, elle est la source de jouissance. La source d’affection. Mais elle n’est pas un morceau de jambon qui mérite d’être avalé sans son consentement. Elle est un jambon, à la limite - c’est de l’humour ! - mais qui dit « oui » distinctement ! Bon Dieu !
Et qu’on ne dise pas : elle porte un string, bla bla. Car la
perception de la nudité est intrinsèque à la culture qui la porte. Il
est justement, puisqu’on est dans ce type de comparaison, étrange que la
femme qui porte un string qui dépasse de deux centimètre de son
pantalon en Occident soit confrontée à la même pensée dégueulasse du
taliban qui voit une femme avec deux kilos de tissus étouffants sur ses
épaules.
Le point commun ? La couleur bleue du string et de la
burqa ? NOn, c’est la pensée malsaine qui sème dans les esprits.
Qu’importe qu’un violeur soit musulman ou non, c’est le fait qu’il soit
conditionné à ôter le droit de dire oui ou non à une femme qu’il juge
immritante de ce droit qui compte. Nous n’avons hélas pas les
statistiques des pays dits musulmans sur le nombre de viols commis - et
qui je pense, sont certainement plus étouffés que dans le monde
occidental - . Cependant, c’est notre pensée qu’il faut travailler.
Comment autrement expliquer que des hommes puissent marcher sans
problèmes auprès de femmes en string, de femmes en deux pièces - parfois
une ! - à la plage, quand d’autres y voient justement "un appel au
viol" ?
Vous n’y voyez pas la culture ? Moi je trouve que c’est tellement gros qu’on en oublie. Oui, mesdames, déshabillez-vous, si vous le voulez. Vous êtes belles. Vous n’avez pas à subir le joug de certains de nos confrères.
Quant à la comparaison fallacieuse sur la rollex et le Bronx, cela ne justifie en rien les efforts qui doivent être faits pour que l’association Bronx-Rollex-vol cesse d’exister. Car en laissant ce genre de tryptique germer dans les esprits, on vient à justifier l’agression de ceux qui ont réussi leur vie - ou qui tentent de montrer qu’ils ont réussi - . L’agression ne se justifiera jamais. Car c’est penser même de façon inconsciente : quel c*on ! Et pourquoi il a montré sa M*ercedes celui-là ?? Au lieu de penser le pauvre. C’est abusé, on n’a pas le droit de rouler tranquille dans ce pays.
Et ’ce n’est pas en abandonnant le terrain (le "arrêtez votre utopisme"), que cela va arranger les choses pour que cela rentre dans le bon ordre.
Il est regrettable que la pensée même « elles ont cherché le viol » fasse encore partie des esprits. Et oui, ce policier Canadien n’était pas à sa place, et je dirai même, que sa place en tant que tenant des forces de l’ordre aurait du le pousser à travailler pour le bon ordre des choses.
Amicalement,
Bonne soirée
Re-bonsoir,
Concernant votre précision :
"Soit dit en passant, sachez que si le témoignage de la femme à moins de
valeur, c’est parce qu’elle est plus à même de subir des pressions
l’obligeant à faire un faux témoignage, c’est tout. Ce n’est pas parce
que sa parole vaut moins que celle d’un homme.«
C’est vous qui le dîtes. Le Coran est clair : » de peur que si l’une oublie...« - et ce n’est pas hors de son contexte. QUiconque pourra vérifier.
Quelques »érudits« musulmans préfèrent comme explication la situation psychologique des femmes pendant leurs menstrues, l’accouchement, leur connaissance du monde des affaires et contrats etc. Ce sont des argument ad hoc comme les autres.
UNe femme serait plus susceptible d’oublier qu’un homme.
Mais concernant votre argument, même avec cet argument, cela n’enlève en rien le fait que le témoignage de la femme est à prendre avec précaution, hein ? Vous serez d’accord si je le formule ainsi ? UNe femme est plus sujette à des oublis, ou plus sujette à des »pressions" extérieures que l’homme... C’est bien connu.
Bien à vous.
Je vais me coucher. A bientôt, certainement.
Bonsoir,
Excusez-moi, j’ai mal exprimé mes intentions également.
Quand je dis : véracité, je pense à la farouche volonté de dépeindre l’islam comme uniquement gentil, ou uniquement mauvais, d’où mon expression « véracité ou non ». Quand je parlais de la supériorité de l’islam, je pensais à l’ensemble des propos qui vont tenter de prouver que la religion musulmane est supérieure à telle religion ou culture - et vice versa bien sûr.
Je n’ai choisi votre message que concernant le passage sur le respect envers les mères.
Vous savez que la conditions féminine en islam n’est pas égale à la condition masculine. J’espère que vous le nierez pas. De toute façon, je suis d’accord avec vous : chacun peut accéder au message coranique et s’en faire un avis.
Concernant votre foi, je ne l’attaque pas. Enfin, pas plus que je pense qu’elle devrait. Du reste, nous pourrions en discuter dans le cas contraire, si je vous ai vexé.
Concernant votre éducation, vous le dîtes-vous même, vous la considérez comme musulmane, quand d’autres se prétendraient de la même trempe mais dans un mauvais sentier.
Je ne sais ce qu’est être musulman - qui le peut vraiment aujourd’hui ?- . Je préfèrerai sur ce point que nul ne juge qui est musulman ou pas.
Je décrie certains pendants de l’islam, pas tous. J’essaie d’être honnête et de rendre à César ce qui appartient à César.
Enfin, concernant les messages haineux dont font preuves certains compatriotes et autres, il est vrai que l’islam est un bouc émissaire facile pour son époque, comme l’ont été les juifs, les arméniens, les italiens, polonais, immigrés en général et autres.
Je m’excuse de ces propos de leur part, car les médias donnent il est vrai souvent une image qui outrepasse la réalité islamique.
Ce que je dis, c’est que vous avez tenté de dépeindre un islam aussi « positif », réaction « naturelle » auquel mon esprit -peut être- critique aussi naturel a tenté d’équilibrer - je l’espère de façon objective - en dépeignant côtés positifs et négatifs.
Bien à vous.
Le Cavaliere est perdu, ce n’est qu’une question de temps. C’est toujours une question de temps. Il a bien profité. Il saura bien s’en sortir. Il en va de son intérêt, bien évidemment.
Je vous le dis, avant même de lancer une guerre, les « conseillers » ont déjà tout pensé pur qu’au final, celle -ci « rapporte ». Qu’importe qu’elle soit juste, ou « satisfaisante » pour l’idéal démocratique.
Une défaite ?
Je crois que les Etats-Unis ne perdent pas la guerre. Ils la gagnent - et largement (la seule exception est le Viet nâm, dont ils ont tiré les leçons) - car la véritable guerre n’est pas médiatique. Les médias ne font qu’influencer l’opinion, dont la mémoire vacille aussi vite et brusquement que le temps d’un mandat présidentiel US.
S’ils perdent la bataille médiatique, ils gagnent toujours les insidieuses et sombres batailles de couloir : armes, présence géopolitique, tests de nouvelles armes, fichage d’éléments, prise de contact avec les futures « éminences ». Il faut accepter hélas que le pouvoir des Etats Unis réside dans sa capacité de persuasion diplomatique (grâce à sa persuasion militaire et économique). Ils mettent en place des pions - qui parfois trahissent mais périssent un jour où l’autre sans constituer de réelles menaces - et les sacrifient à leur gré.
Ce sont de très bons joueurs d’échecs. Vous verrez : ils vont quitter l’Afghanistan, en ayant laissé de sacrés dégâts derrière eux, obligeant les talibans même à négocier avec les Etats-UNis. Les femmes seront de nouveau maltraitées. L’opinion occidentale se dira : et puis tant pis, on aura tenté. Qu’ils évoluent eux-mêmes. ON pensera la terre talibane, mais elle sera sous le joug insidieux des Etats-UNis. L’élite afghane criera au secours, et sera à la tête du pays, aux côtés des talibans. Le peuple ? Qui ose dire que les guerres ont pour but de sauver un peuple ? Non, toute guerre a pour but la domination.
Qui croit en cet idéal se leurre, car aucune guerre est éthique. Et c’est avoir réussi à nous faire croire que la guerre à l’Etats-UNienne est plus clean et éthique que celle à la Talibane qui est une autre victoire de nos chers alliés transatlantiques.
Le seul concurrent, c’est la Chine. Et c’est certainement la bataille qui risque de voir qui jouera le Roi, ou la Reine dans l’échéquier.
Pauvre Grèce, obligée de subir la sempiternelle soif des gouvernants corruptibles et corrompus.
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