Sarkozy était libéral ? Vous devez faire erreur, le libéralisme n’est pas reparu depuis la IIIe république en France. Les libéraux pensent, à raison, que Sarkozy est social-démocrate.
Faudra m’expliquer tout de même en quoi Spartacus est un assisté ...
D’un certain point de vue, n’est-ce-pas le but de l’école de mettre l’enfant au centre de l’enseignement ?
J’adhère totalement à votre critique de la focalisation excessive sur les enfants en difficulté, de toutes façons tant que l’école sera publique ce sera soit l’œuf soit la poule : cela mène toujours vers un nivellement par le bas.
Encore un qui a mal dormi ... Vos billets sur l’éducation sont bien plus intéressants.
Le libéral s’en fout que le scénario d’un film soit bon ou mauvais. Si il le trouve mauvais, il n’achète pas, point. Si tout le monde fait comme lui, alors les scénaristes devront bien s’améliorer. Or aujourd’hui les gens aiment les films français : les scénaristes doivent écrire des choses pas mal tout de même.
Citer un libéral minarchiste pour critiquer le libéralisme, il faut le faire. Vous devriez plus vous renseigner sur les théories économiques de l’époque et sur ce que Jefferson dit à coté de ceci ...
Mon cher Gabriel, que c’est bon de vous entendre parler du socialisme.
"Quant à vos exemples de pays libéraux, citons les USA endetté jusqu‘au cou et sous perfusion chinoise, l’Angleterre ou pour vivre décemment il faut faire 2 ou 3 boulots, et les nouveaux convertis comme l’Italie, L’Espagne, le Portugal ect…«
Au niveau des USA vous avez 100 ans de retard : depuis Roosevelt, les USA sont au même niveau que le Venezuela dans les dépense publiques. L’Angleterre, pour vivre décemment, 2 ou 3 boulots ? Je veux voir vos sources ! Quant à tous les autres pays européens, il s’agit de social-démocraties, et là est le problème.
»En effet que de beaux exemples. Pour
terminer Monsieur le darou qui faites dans l’excessif avec votre comparaison
par l’absurde sachez qu’entre la NZ et la Corée du Nord il y a une marge à
trouver qui se nomme équilibre, un vocable qui semble inconnu aux personnes de
votre monde.«
»Cette obsession de l’équilibre, cette révulsion de la pensée complète, du songe commun, c’est là que ce trouve l’idée même du radicalisme. Qu’es-ce qu’un équilibre ? Qui peut le trouver ? Ne serait-ce pas plutôt ces concessions faites au bien commun qui nous mènent vers le plus horrible des extrémismes ?« Moi
»Nous ne devons pas parler des mêmes libéraux. Vous savez ceux qui par la spéculation ont mis les états à genoux et entraînent leurs citoyens dans la précarité et la pauvreté. Evidement que le darou n’a pas mentionné les US, le seul pays libéral qui l’a mentionner est la NZ qu’il a comparé à la Corée du Nord (Bonjour la caricature !)«
BLOCK !
»Moi je vous ai cité d’autres pays libéraux
souvent montrés en exemple par les amis du système devant lequel vous vous
agenouillez. Savoir lire est une étape, comprendre ce que l’on lit en est une
autre nettement supérieure et, enfin ne pas déformer les propos de l’auteur en
est le stade final."
Vous avez raison Kamarade ! Ces malotrus, ces déviants, ces aberrants, qui ne savent pas même comprendre la pensée miracle véhiculée par le socialisme ! Vite, brûlons-les ! Ces hérétiques, ces handicapés !
Et ainsi s’achèvent les libertés ...
Vous avez des affinités libérales monsieur BELLOY ?
Grosse faute à la fin, pardon :
« tout simplement, des génies, on n’en croise pas à tous les coins de rue. »
"La théorie libérale, aujourd’hui néolibérale, repose sur un pilier qu’elle croit solidement fondé : la concurrence est mère de toutes les vertus.«
C’est quoi un néolibéral ? À la limite j’aurais compris un »néo-classique« , mais néolibéral je ne vois que de quel genre d’idées il peut s’agir ...
Citez des noms. (Et non Milton Friedman n’est pas »néolibéral« , il est libéral point.)
»D’après ces idélologues, la concurrence entre agents, qu’il s’agisse d’entreprises ou d’êtres humains, mène au meilleur des mondes.«
»idélologues« . Je ne relève pas (lolol quand même !)
La concurrence dans le cadre de la liberté ne mène pas au meilleur des mondes. Il mène au moins pire : celui où l’holisme est oublié et où l’individu en lui-même est reconnu.
»libre et non faussée«
Ça c’est néo-classique, et donc ça ne concerne pas tout les libéraux. C’est comme si je vous disait que le culte d’un dictateur désigne toutes les formes de communisme.
»dérégulée«
Vous confondez avec déréglementer, ce n’est pas la même chose.
»On pourrait facilement prouver qu’en théorie, la concurrence n’est qu’un moment dans l’histoire d’un marché. Quelle que soit la « niche » envisagée, la concurrence débridée comme toute fuite en avant, ne peut que déboucher sur une stabilisation monopolistique : une fois que le plus puissant a dévoré tous les autres.«
Expliquez-moi comment une entreprise puissante peut »dévorer« une autre entreprise ? Si le propriétaire de cette entreprise ne veut pas vendre, que peut faire l’autre entreprise ? Elle l’a là où je pense.
»C’est ce qui se passe dans absolument toutes les industries de biens ou de service, quoi qu’en pensent nos économistes stipendiés.«
BLOCK !
»Mais, plutôt que de me risquer à donner des cours d’économie théorique, je voudrais vous exposer un cas particulier que je connais bien : le marché du scénario en France.«
Pas assez visiblement.
»Il se trouve que la profession de scénariste a tout, absolument tout, pour ravir les disciple de Ricardo ou de Hayek«
Vous faites un grand écart là : bien que Ricardo soit par certain considéré (je pense personnellement à tord.) comme l’un des penseurs de base de l’économie classique, il bien plus près de vos idées (marxisme je pense ?) que de celles de Hayek qui est un autrichien.
»Donc suivant la sainte théorie développée par nos chers économistes
libéraux, de cette concurrence totale devrait surgir le meilleur. Les
meilleurs scénaristes pour écrire les meilleurs scénarios.«
Vous raisonnez avec une enclume sur la tête. Les libéraux se foutent complètement de savoir si les scénarios des scénaristes seront, ce que l’on veut c’est avant tout qu’il puissent bien gagner leur vie, comme tout le monde. Ce débat est idiot. Savoir un syndicaliste sera plus doué qu’un non-syndicaliste est complètement imbécile.
»Or bizarrement, c’est exactement le contrairre qui se produit. Il suffit
d’aller voir quelques films français pour s’apercevoir que ce qui rend
les films aussi mauvais n’est pas la réalisation ou le jeu des
comédiens, mais l’écriture. C’est assez étrange, n’est ce pas ?«
Il y a de très bon films français, qui brillent par leur écriture. Certains sont plutôt vieux (les oiseaux du paradis, que j’adore.), d’autres plutôt récents (les émotifs anonymes (avec un très bon scénario) ; de rouilles et d’os ; Gainsbourg ; Mesrine ; la cité de la peur (culte), etc ...)
Dire que les scénaristes sont nuls revient d’autre part à dire que les écrivains français étaient sous la tutelle d’un organe central lors de leur écrits. Balzac, Flaubert, Zola, Hugo, Molière, Racine, Voltaire, Condorcet, Constant, etc...
Aucun d’entre eux n’a jamais reçu aucun ordre de la part de qui que ce soit. Bizarrement depuis la seconde guerre mondiale, moment où l’état à décidé de prendre en coupe réglée les artistes, les œuvres se font plus rares ...
»Eh bien pas du tout. Il existe aux USA un syndicat monopolistique et redoutable : la WGA. Ce syndicat, non content de protéger les droits des scénaristes, exerce de fait un pouvoir absolu sur l’écriture des films. Tout scénariste se doit d’y adhérer sous peine de se voir interdire de travailler.«
Ce que vous venez de faire se nomme une aporie. Les scénaristes Américains sont bons. Or les scénaristes américains sont inscrits à la WGA. Donc la WGA est bonne.
Socrate est mortel. Un chat est mortel. Donc Socrate est un chat ?
De plus c’est complètement totalitaire votre histoire. Et si je veux me séparer de cette institution afin d’écrire librement, je ne peux pas ? La liberté d’expression, ce n’est plus ce que c’était.
»A force de fragiliser une profession qui demande un long apprentissage,
un exercice quotidien, une rigueur absolue et une inventivité de tous
les instants, nous en sommes arrivés à ne plus savoir ce qu’est
réellement un scénario. Plus personne, et surtout pas parmi les
« décideurs » ne sait juger un scénario à la lecture. Normal pour une
profession tellement concurrentielle qu’elle a fini par disparaître.
Puisque tout le monde sait écrire un scénario, personne n’est à même de
donner un avis...«
Tout le monde ne »sait" (apprend-t-on à écrire des livres ? Telle est la question.) pas écrire un scénario, vous le dites vous-même en haut. La preuve, il y a plein de mauvais écrivains en France. Ou peut-être par-ce-que, tout simplement, des gens, on n’en croise pas à tout les coins de rue.
M’enfin bref ....
Dans un système libéral, il y a toujours un alternative à une entente : si les producteurs de pétrole s’entendent entre eux, alors un agent peut en profiter pour arriver sur le marché en cassant les prix. Et devenir très vite très riche en envoyant aux oubliettes l’entente des autres acteurs.
"C’est vrai sur le papier, Spartacus. Sauf que dans la pratique, s’agissant des grandes entreprises du CAC40, la consanguinité est telle dans les CA qu’il faut vraiment une très grosse boulette pour ces messieurs se fassent débarquer."
Et alors ? Si ces Messieurs font des conneries, dans un système libéral, c’est l’entreprise qui paye. Je ne vois pas, où est le problème ?
Et alors ? C’est les actionnaires qui raquent, vous devriez être content non ?
J’ajouterais de plus que le libéralisme à déjà été testé et marche parfaitement bien. Son seul problème est qu’il se corrompt « vite » (plus ou moins 60 ans en Amériques, 30-40 ans en belgique, 20 ans durant l’empire, 5-10 ans durant le règne de Louis XVI, etc ...) et dérive très vite en social-démocratie. En clair pour que le libéralisme vive, il faut que les gens le défendent. Cela s’oppose à la « révolution permanente » marxiste qui défini l’utopie communiste comme devant tenir via « une dictature du prolétariat ».
Mais foufouille que pouvons nous faire pour vous ? Vous énoncez des bêtises comme des vérités, on vous dit que c’est des bêtises mais vous persistez ...
Rien que votre message auquel je répond est une connerie. Les libéraux prêchent l’isonomie. Donc autrement dit pas les droits des riches ou les droits des pauvres : ils prêchent l’intérêt général.
Mouarfff ... Le mot libéral qui vient de libéralité ! J’en avais entendu beaucoup des comme ça mais là c’est le pompon !
Et puis bien sûr comme l’on a pas d’argument à opposer, on dit que le libéralisme (de liber -> gratuit qui dérive en libertatem -> liberté.) vient de libéralité (liberalitas en latin). On dit aussi qu’une philosophie qui prône la liberté pour tous est contre la liberté (logique voyez-vous !) et que le libéralisme est présent en grande quantité aujourd’hui, alors que même les antilibéraux s’accordent dire que la social-démocratie est le modèle quasi-universel aujourd’hui. Bref de la propagande ...
Merci pour cet article Monsieur Le parisien libéral. Pour tous ceux qui ne sont pas obtus dans leurs idées je conseille fortement de lire souvent le site contrepoints (qui je crois est mentionné dan l’article.) qui fait vraiment de bon articles de fonds qui peuvent même être lus par des conservateurs modérés ou sociaux-libéraux.
A bon entendeur.
@ROBERT GIL
C’est culotté de votre part de dire ça, vous qui faites tant de copier-coller de vos tracts pro-communistes sur chacun des articles de ce site pour expliquer majoritairement des choses fausses.
@Spartacus.
Attention : le libéralisme est une philosophie du droit et est lui même divisé en plusieurs courants politiques : certains de gauche (Alain), d’autres de droite (HHH), d’autres au centre, d’autres inclassables (moi par exemple ).
D’ailleurs historiquement la gauche est libérale.
Dommage que n’ayez pas laissé le texte sur votre image de présentation, tout de même. Car tout de suite le sens change.
"Les études scientifiques sont absolument sans appels, il ne reste plus
que ce gros sybarite d’Allègre pour hoqueter des arguties rémunérées, la
terre s’enflamme, la terre se brule, la terre se crame, et ce sont les
Hommes qui en portent la grande responsabilité !"
MouAHAHAHA !
Je me suis arrêté ici. Si la suite de votre article est comme ça, je me demande comment votre conscience vous l’a laissé écrire ...
Ah mais oui vous êtes socialiste. Tous s’explique.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération