Un nouveau fond pour les énergies des vagues au Royaume-Uni

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A chaque « grand » pays son énergie renouvelable de spécialité : les britanniques comptent, à juste titre, tirer parti de leur insularité pour développer les énergies marines

On voit peu à peu certains pays se spécialiser sur les énergies propres, comme la Chine dans l’éolien. Le Royaume-Uni semble en tout cas bien décidé à exploiter les eaux qui l’entourent. Une bonne idée, pour une île, et qui se concrétise rapidement comme nous l’avions vu à plusieurs reprises, avec la technologie des hydroliennes par exemple. Cette fois-ci, c’est l’énergie des vagues qui est à l’honneur avec un fonds de 36 millions de dollars consacré à des projets sur cette énergie (si elle ne vous dit rien, voir nos bilans sur les énergies des vagues).

Cleantechnica précise que le Marine Renewables Proving Fund est une partie du plan britannique de développement des énergies renouvelables, annoncé en Juillet. Le Royaume-Uni est leader, et assez nettement, dans le secteur des énergies marines, comme le note James Murray, de Business Green « un quart des technologies de l’énergie des vagues est déjà développé au Royaume-Uni, et le secteur des énergies marines pourrait représenter plus 2 milliards de livres par an et 16 000 emplois d’ici 2050 ».

Ce financement « extra » mettra à l’eau (littéralement) plusieurs projets qui restaient au stade de l’étude.

TechnoPropres

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7 réactions à cet article

plancherDesVaches 3 novembre 2009 16:45

Si ça diminue la hauteur des vagues des surfeurs de la cote sud-ouest, ils risquent de faire la gueule...

Et puis, ça va faire moins de touristes pour notre sarko national. Faut pas l’oublier, lui.

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- ZEN 3 novembre 2009 17:12
  
  On attend les résultats
  ça risque de faire des vagues...
  
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  - ZEN 3 novembre 2009 17:14
    
    Le plancherDesVaches pourait produire une énergie bon marché si on exploitait judicieusement le méthane qu’il dégage...
    
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    - plancherDesVaches 4 novembre 2009 15:59
      
      Je ne méthane pas de ta réaction, Zen.
      
      C’est juste le tuyau placé à l’endroit judicieux qui aurait tendance à me gêner.
      
      Sinon, avec le recul (comment veux-tu comment veux-tu que je t’en...), quelque chose me gène néanmoins pour marcher. Enfin, pas seulement moi, mais un monde qui se grille lui-même et que des gens comme cet « auteur » utilisent à des fins de bénéfices personnels... ??????
      
      Enfoirés d’écolos.
      
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      - ZEN 4 novembre 2009 16:03
        
        Je ne méthane pas de ta réaction, Zen.
        Excellent !
        Je la retiens
        
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        Alain-Goethe 4 novembre 2009 16:15
        
        Très bon dialogue entre Zen et Plancher des vaches.
        
        Quand je bossais chez l’ancêtre d’Areva, un collègue du Sud Ouest (un type extra) était atterré par la « masse de papiers ».
        
        Il me disait :
        
        « Si on mettait à pédaler tous ces gens qui travaillent dans les tours construites par l’EPAD à La Défense, qu’est ce qu’on fabriquerait comme électricité ! »
        
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        Corentin Barroux 9 novembre 2009 11:46
        
        A vérifier, mais il me semble que les Anglais n’ont rien inventé : j’avais entendu parler d’une technologie similaire mise au point par Israël... Et en France aussi nous avons des spécialistes des énergies marines ! (voir l’exemple de l’IFREMER et des pôles de compétitivité...). Merci pour l’illustration en tous les cas, je comprends mieux le principe sur le plan technique, maintenant !
        
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