La grippe H1N1 de 2009 et le COVID-19 quand l’histoire se répète....
La grippe H1N1 de 2009 a entraîné 18311 morts au total dans le monde alors que la grippe saisonnière entraîne chaque année entre 250 et 500 mille morts. Pour ce qui concerne la France, le bilan est de 1334 cas graves et de 312 décès.
Neil FERGUSON, épidémiologiste et spécialiste en biologie mathématiques, de l'Impérial Collège de LONDRES, prédisait avec ses modèles mathématiques que la grippe H1N1 pourrait toucher 1/3 de la population mondiale. Toujours selon FERGUSON, le virus H1N1 était aussi virulent que le virus asiatique de 1957 qui avait causé 2 millions de morts en 1957 dans le monde.
Neil FERGUSON a également produit des perspectives alarmistes concernant la présente pandémie du COVID 19 : il a estimé que le COVID 19 risquait de causer 2,2 millions de décès aux Etats-Unis et 510 000 au Royaume-Uni. Il a également prédit que la Suède qui n'a pas confiné le pays déplorerait en juin 2020 un nombre de 100 000 morts. A noter que le nombres de décès du COVID en Suède est au 02/05/2021 de 14 048.
On constate donc que les prévisions de FERGUSON sont fausses, mais elles ont pourtant été prises en considértion par les gouvernements pour mettre en place les confinements, avec les conséquences dramatiques sur le plan économique et social que l'on sait.
L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a déclaré la situation de pandémie le 11 juin 2009. Pour faire face à la pandémie du virus H1N1, l'Union Européenne a mis en place une stratégie de vaccination.
EXTRAITS DU MAGAZINE L'EXPRESS DU 09 JUIN 2009
L'Europe et sa stratégie de vaccination contre la grippe A (H1N1)
Dans sa lutte contre la propagation du virus A (H1N1), l'Europe a appelé ce mardi à la mise en place d'une stratégie commune de vaccination. L'objectif traiter en priorité les personnes les plus fragiles.
La Commissaire européenne à la Santé Androulla VASSILIOU a prôné ce mardi une stratégie commune de vaccination contre la grippe A (H1N1), consistant en particulier à choisir des groupes prioritaires dans la population européenne : "Je crois que c'est très important que les Etats membres se mettent d'accord sur les modalités de production, de disponibilité et de distribution des vaccins" a-t-elle dit à son arrivée à une réunion des ministres européens de la Santé à LUXEMBOURG. "Si nous avons besoin d'un vaccin à l'automne, et si la disponibilité du vaccin n'est pas suffisante pour tous, alors nous devons établir des groupes prioritaires de personnes à vacciner en premier, comme les personnnes âgées ou les handicapés", a-t-elle noté "Nous n'aurons pas dès le premier jour des quantités énormes de vaccins disponibles" a prévenu la Commissaire.
Pour la Ministre allemande de la Santé Ulla SCHMIDT, " l'Europe doit avoir une analyse commune sur la dangerosité de la grippe porcine" et " les moyens de protéger les citoyennes et les citoyens" européens. Il faut d'abord décider quel vaccin doit être produit, a-t-elle noté en dressant une liste de questions à résoudre : "qui doit être vacciné, qui sont les groupes à risque, pour quel pourcentage de la population doit-on avoir des stocks, et comment peut-on aussi protéger les pays pauvres ? " Mme SCHMIDT a jugé que les discussions au niveau européen étaient importantes, sinon nous risquons d'être le terrain de jeu de l'industrie pharmaceutique".
L'OMS a fourni trois souches du virus pouvant servir à mettre au point des vaccins contre le virus grippal A (H1N1), d'origine porcine, aviaire et humaine.
Vaccin d'ici fin juin
L'industrie pharmaceutique devrait être en mesure de commencer la production d'un vaccin contre la grippe porcine d'ici fin juin-début juillet . La production de 4,9 milliards de doses en un an devrait être possible, selon des projections de l'OMS. Cependant, les experts hésitent toujours à donner leur feu vert à la production de vaccins contre la grippe porcine car elle pourrait se faire au détriment de la fabrication de vaccin contre la grippe saisonnière. L'Organisation ignore en outre s'il faudra une ou deux doses pour obtenir l'immunité contre le virus mutant, tout comme le coût du futur vaccin."
FIN DE L'ARTICLE DE L'EXPRESS
L'article joint du magazine l'EXPRESS est d'une actualité extraordinaire ! Il suffirait simplement de changer les noms des intervenants, les discours sont identiques à ceux d'aujourd'hui pour le COVID 19. C'est à dire que le virus est une menace planétaire que seule la vaccination peut vaincre...
Ce qui frappe aussi c'est le matraquage médiatique produit pour la grippe H1N1 qui visait comme actuellement à terroriser la population....
La grippe H1N1 n'a causé en FRANCE la mort que de 312 personnes ! Cela alors que environ 6 millions de français ont été vaccinés contre ce virus... Des doutes sont apparus sur l'action de l'OMS et le Conseil de l'Europe a demandé des explications à cette organisation.
EXTRAIT D'UN ARTICLE DU JOURNAL LE MONDE DU 27/01201
L'OMS sommée de s'expliquer sur la grippe A (H1N1)
Le Conseil de l'Europe s'interroge sur l'influence de l'industrie pharmaceutique dans la gestion de la pandémie. L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a-t-elle surestimé le risque représenté par la grippe A (H1N1) sous la pression de l'industrie pharmaceutique ?
Invitée à répondre à cette question lors d'une audition publique mardi 26 janvier, par l'Assemblée Parlementaire du Conseil de l'Europe (APCE), l'agence Onusienne s'est défendue d'avoir été influencée par les laboratoires quand elle a déclaré en juin l'état de pandémie de grippe A (H1N1).
A l'origine de cette audition, les inquiétudes de l'épidémiologiste allemand Wolfgang WODARD, ancien président de la sous-commission de la Santé de l'APCE qui accuse l'OMS d'avoir exagéré la menace de la grippe "sous la pression des laboratoires". Une hypothèse qu'étaie l'enquête publique publiée ce même mardi par le quotidien LE PARISIEN qui affirme que "les liens d'intérêts entre six experts de l'OMS et des firmes pharmaceutiques sont avérés."
Le fait que des experts siégeant dans des comités de santé publique nationaux ou internationaux soient partiellement financés dans leurs recherches par des laboratoires privés n'a rien de nouveau ni d'exceptionnel. Ces collaborations sont généralement déclarées. Les experts concernés assurent qu'elles n'entravent en rien leur indépendance d'esprit.
Très critiquée sur sa gestion de la crise de la grippe A (H1N1), et plus encore depuis que s'éloigne le risque d'une pandémie ravageuse, l'OMS ne s'en retrouve pas moins sur la sellette. Interrogé par le Conseil de l'Europe - organisation qui a pour mission de "favoriser en Europe un espace démocratique et juridique commun" - le docteur Keiji FUKUDA, conseiller auprès du directeur général de l'OMS sur les pandémies, a affirmé que les mesures demandées par son organisation "n'ont pas été indûment influencées par l'industrie pharmaceutique". Cette industrie, "a-t-il déclaré, "dispose d'une expérience et d'un point de vue qui lui sont propres, et nous tenons à bénéficier de tous "les points de vue pour formuler les directives les plus pertinentes possibles. Mais nous avons tout fait pour mettre en "place un système solide afin d'empêcher les conflits d'intérêt" a-t-il ajouté.
FIN DE L'EXTRAIT DU JOURNALE LE MONDE
Le Sénat a établi un rapport très critique à l'égard de la gestion de la crise sanitaire de 2009....
EXTRAIT DE L'ARTICLE PARU SUR LE SITE DU SENAT LE 07/082020 (qui fait un retour sur la grippe H1N1)
Interrogé par le journal l'HUMANITE quelques jours après la remise du rapport de la commission d'enquête (du SENAT) François AUTAIN, Sénateur Communiste (à l'époque en 2010) estimait que le Gouvernement n'avait pas su résister "à la pression des laboratoires - le nombre de vaccins est sans commune mesure avec le besoin effectif : on a commandé 94 millions de doses et seulement 7,8 millions ont été utilisées....Le Laboratoire GSK auquel le Gouvernement a commandé des vaccins dès le mois de mai, lui a lancé un ultimatum en donnant une échéance à la commande sous peine de ne pas les livrer. Le Gouvernement ,a donc cédé au chantage de l'industrie pharmaceutique en affirmant que dans ce climat d'incertitude, il ne pouvait pas faire autrement. C'est d'autant plus surprenant que d'autres pays soumis à ces mêmes pressions tels l'Allemagne ou l'Espagne, y sont parvenus. C'était donc possible," déplorait-il.
Le Sénateur appelait aussi à " se questionner sur les pratiques de la vaccination ....puisqu'elle n'a fait que renforcer une désaffection de la population à ce sujet " notait-il.
FIN DE L'ARTICLE DU SENAT
Environ 6 millions de français ont été vaccinés contre la grippe H1N1 qui n'a tué que 312 personnes en FRANCE ! Parmi les personnes vaccinées, 200 d'entre elles ont développé une grave maladie neurologique : la narcolepsie-cataplexie qui se caractérise par une somnolence en journée avec des accès de sommeil incontrôlables, et qui peut entraîner des pertes soudaines de tonus musculaire avec chutes.
Lorsque l'on considère le peu de décès dû au virus H1N1 et les moyens démesurés pour la vaccination qui ont été utilisé, on ne comprend pas comment cela a été possible...
Avec le virus COVID 19 qui nous concerne aujourd'hui, la problématique est différente, car le pays compte plus de 100 000 décès attribué au COVID 19. Ce qui surprend c'est que nous retrouvons au niveau du Gouvernement la même volonté de vacciner la population française, alors qu'il existe des médicaments efficaces comme l'hydroxychloroquine, l'ivermectine, l'azithromycine et d'autres.
Miser la stratégie sanitaire uniquement sur la vaccination en demandant aux personnes malades de rester chez elles, est impardonnable quand on sait que les traitements doivent être administrés au plus tôt pour être efficace. Cela revient à dire que le Gouvernement est responsable d'une grande partie des décès du COVID 19 qui n'ont pas été soignés.
De plus, l'insistance avec laquelle le Gouvernement via les médias veut conduire les français à la vaccination est suspecte et insupportable. Chaque individu à le droit d'accepeter ou non un traitement et de plus rappelons que les vaccins proposés ASTRAZENECA, MODERNA et PFIZER sont toujours en phase d'expérimentation.
Par ailleurs, vu le nombre d'effets indésirables et de dégâts causé par les vaccins anti-covid, on a sûrement le droit de s'interroger plutôt que d'accepter d'être des cobayes pour laboratoire. Des scientifiques de renom comme la généticienne et chercheur Alexandra HENRION-CAUDE et le Professeur Luc MONTAGNIER virologue et prix nobel de médecine, ont mis en garde sur les dangers des vaccins nouvelles technologie qui sont susceptibles de causer plus de maux que de remède aux malades du COVID 19.
Cerise sur le gâteau pour les complotistes, on découvre des cas de corruption aux plus hauts sommets :
1 Georg NUSSLEN vice président de la CDU a reçu une commission occulte de 650000 euros d'un producteur de masques allemand et Nikolas LOBEL spécialiste santé auprès de Mme MERKEL 250000 euros d'une entreprise chinoise....
2 Stella Kirikádes, la commissaire à la santé qui a signé les contrats de vaccination tardifs de l'UE, a été mêlée à un scandale de corruption inacceptable. Beaucoup sont déjà certains qu'elle a été soudoyée par les fabricants de vaccins.
De manière inattendue, exactement 4 millions d'euros, sont apparus dans le compte conjoint de cette commissaire européenne avec son mari. La presse chypriote parle déjà de corruption passive.
On peut imaginer dans un futur proche, la révélation de nouvelles affaires impliquant des élus ou des personnalités dans cette bizzarre "pandémie" de coronavirus COVID 19....
15 réactions à cet article
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON