Sarkozysme actif : un enfant de 8 ans « serré » par les gendarmes
Suspecté de chahut pendant la récréation un écolier de huit ans a été « serré » par les forces de l’ordre avant d’être « cuisiné » dans les locaux de la Gendarmerie.
La politique de répression frénétique du régime sarkozyste continue de porter ses fruits. Samedi 30 mai à Courdimanche, dans le Val-d’Oise, c’est un écolier de huit ans qui a été "serré" par les forces de l’ordre avant d’être "cuisiné" dans les locaux de la Gendarmerie. Après la pittoresque affaire des deux enfants de six et dix ans raflés pour un vol de vélo (lire ici) le feu du ciel sécuritaire a encore frappé.
UNE PROCÉDURE "NORMALE"...
L’audition du jeune garçon, rejoint par son père durant l’interrogatoire, a duré une vingtaine de minutes. Le "suspect" s’est rapidement mis à table et a reconnu avoir échangé un ou deux coups de pieds avec l’un de ses camarades de classe pendant la récréation. Puis d’avouer, qu’une fois le jeu terminé, ils s’étaient tout naturellement réconciliés.
Interrogé par Le Parisien sur la nécessité d’envoyer une estafette pour "cueillir" un écolier de huit ans, la gendarmerie invoque une "procédure normale" faisant suite à un signalement de la mère de l’enfant (sauvagement) agressé.
"C’est une procédure démesurée" et cela "aurait dû se régler entre adultes", a déclaré le père de l’enfant "coffré" par les gendarmes.
INSÉCURITÉ ÉTATIQUE
Il est vrai que depuis des lustres, quand des "bagarres" éclataient dans les cours de récréation, on prenait soin de "châtier" les fautifs par des punitions, ou en les mettant au coin. Aujourd’hui, sous Sarko Ier, le gouvernement encourage la police à lancer des dragonnades dans les écoles pour palier à la suppression de dizaines de milliers de postes d’enseignants et d’encadrants .
On ne peut pas, au nom de l’idéologie ultra-libérale, baisser d’un coté les impôts des ultra-riches et conserver, de l’autre, un service public fiable et efficient. La mise en place du capitalisme sauvage voulue par Sarko et l’UMP passe invariablement par la destruction du modèle républicain Français, quitte à sombrer dans le ridicule et la répression aveugle, quitte à risquer une révolution.
L’insécurité existe, mais elle est aussi le fait de l’État.
Peachy Carnehan www.nordenstar.com
43 réactions à cet article
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N’en rajoutez pas non plus sur ces « questions ethnique » qui sont une invention des médias et associations anti-racistes.
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"Qui, aujourd’hui, enverrait son enfant autochtone dans une école de la République où il risque d’être malmené en tant qu’ethniquement minoritaire ?" : C’est ça, les Caucasiens sont minoritaires en France, maintenant. N’importe quoi...
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abdelkader17 1er juin 2009 12:54@ Abgeschiedenheit
Notre fasciste de service est à l’affut du moindre fait divers,surement un nostalgique du temps ou les mots d’ordre étaient travail, famille, patrie.
Le péril allogène se précise prenez donc un billet pour la lune. -
Cette prise position est plutôt confuse et fait apparaître des éléments qui ne sont pas dans les données proposées.
Que vient faire l’ethnie minoritaire ? Personne ne sait commernt s’appelaient les enfants ? Quelle est leur origine ?
Il serait préférable de se concentrer sur la congruence de la démarche gendarmesque avec la loi. Or, elle est parfaitement normale, et ne date pas de la présidence de M. Sarkozy. Quand j’étais jeune, il y ,a très longtemps, la chose arrivait aussi ; il suffisait d’un parent un peu niais ou appâté par d’éventuels dommmages-intérêts pour enclencher la procédure, pourvu qu’il trouve un policier un peu zélé.
Un peu de bon sens fait dire que cette procédure est inutile et a sans doute surpris les enfants eux-mêmes, mais c’est la faute du parent un peu crétin qui a ainsi enlevé à l’enfant une possibilité de se construire dialectiquement, en l’incitant à croire que tout se règle par les services publics et sociaux. C’est misérablement humain.
Mais, de grâce, ne mettez pas ça à la charge du régime actuel, c’est ridicule et intellectuellement faux. -
Tous ces « évènements », relèvent d’une stratégie générale, très bien décortiquée ici :
http://www.legrandsoir.info/IMG/pdf/IS_M.pdf
A lire et faire suivre...
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A Alpo47 :
Encore un article qui appel à l’insurrection ? C’est une mode ou quoi ?
Y’a vraiment des gens qui n’ont pas digéré les élections de 2007...
Extrait de ce « manifeste » courageusement signé par un « comité invisible » :
« Si ce système ne s’effondre pas de lui-même, alors il faudra l’y aider. Nous allons le
faire. Nous sommes nombreux. Nous sommes des millions. Des millions de fois plus
nombreux que notre ennemi. Il a déjà peur de nous. Il tremble de terreur car il sait que son
pouvoir est fragile et ne repose que sur le bluff et le crédit que nous lui accordons. Toute sa
force ne repose que sur des représentations auxquelles nous avons crues. Cessons d’y croire et le réel apparaîtra : nous sommes plus forts que lui. C’est à lui d’obéir, pas à nous.
Le roi est nu. En outre, son propre pouvoir le fait souffrir car il sait bien au fond de lui
qu’il repose sur le mensonge. Inconsciemment, il nous demande de le frapper pour le ramener à la raison. Ne nous privons pas. Il nous remerciera à la fin. » -
Mouais, je ne vois pas trop ce qu’apporte cet article satirique...
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pallier(v. tr.)
Verbe + à + comp
répondre à une difficulté
pallier(v. tr.)rendre atténué
faire devenir plus claire une couleur
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- Mais mon adjudant, cet enfant va tout juste à l’école primaire !?
- Elémentaire, mon chér Watson !
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@ Abgeschiedenheit
Vous avez raison qu’une fois sur 3.
Pour pallier il y a bien 2 L mais peut s’employer avec la préposition « à » suivant le sens.
Pour vos vieilles récriminations, je vous signale que la presse trop heureuse de vous soutenir à bien donné les prénoms des deux petits Floiracais qui pour votre malheur ont été déclarés innocents.
VOTRE leitmotiv imbécile qui consiste à assimiler un prénom à une image est des plus archaïque aujourd’hui où un gosse peut aussi bien s’appeler Zorro, Karl, Cheng ou Karim en étant tout ce qu’il y a de plus Français.
D’autre part si vous considérez qu’il est bien pensant et politiquement correct de dénoncer la crapulerie gouvernementale, vous devez bien admettre qu’il est mal pensant et incorrect de la défendre, ce qui pour le moins est dans l’ordre logique des choses.
Choisissez donc votre camp au lieu de chinoiser, vous vous rendez bien compte que l’UMP est tellement proche de vos idéaux barbares qu’il vous est difficile de la combattre sans verser dans le lieu commun et passéïste.-
@ Peachy Carnehan
Merci pour cette piqure de rappel.
Nous sommes bien loin de la république des lumières, l’obscurantisme Sarkoziste persiste dans la destruction du tissu national et dans l’élimination des valeurs qui firent de la France un pays progressiste.-
@ peachy
Entendons nous bien, je fais partie de ceux qui denoncent volontiers la derive securitaire de ce gouvernement de laquais.
Il n’empeche qu’a lire votre titre les gamins en question ont ete kidnappes par les cognes et serieusement secoues.
Suite au depot de plainte d’une conasse de mere, la police n’a fait que son boulot, et ce en presence d’un parent.
Je me souviens avoir pris vers 12 ou 13 ans une serieuse taloche de pandore au futile pretexte que j’avais attache son velo gendarmesque avec une chaine a une grille histoire de l’emmerder.
Il me semble qu’il n’avait pas tord.
Alors comme un vrai journaleux vous faites un journalisme de merde qui n’apporte aucune information et qui ne fait qu’essayer piteusement de jouer sur l’emotion au service de je ne sais qui ou quoi.
Vous etes mur pour un job chez Sarko.
Je ne vous salue que du bout des doigts
Iren-Nao-
Des gens qui se précipitent au commissariat pour un oui ou pour un non, ça a toujours existé. Avant, on les renvoyait chez eux en disant que ça ne relevait pas de la police. Maintenant, on saute sur l’occasion pour améliorer les statistiques de faits élucidés, histoire d’avoir une bonne prime.
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<i>« Suspecté de chahut »</i>
Je crois savoir qu’il est impliqué dans une <b>bagarre</b>...
Chahut à la place bagarre, c’est intentionnel cette confusion ?
J’espère que vous ne vous faites pas « chahuter » trop souvent par vos collaborateurs Monsieur le rédacteur en chef.-
Une bagarre de gamins de 8 ans, ça ne doit pas avoir grand-chose à voir avec de l’Ultimate Fight, quand même, hein...
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Ah bon. Vous y étiez ?
Plus constructivement, tout ça n’est que le résultat de la perte généralisée d’autorité de l’institution scolaire (les profs ont scié cette branche sur laquelle repose une partie de leur travail) d’une part et des parents d’autre part.
Ainsi dans l’école fréquentée par des enfants de ma famille, si les élèves cumulent trois avertissements pour mauvaises conduites c’est Monsieur le Maire qui convoque les parents pour un entretien...
Dans le genre « c’était mieux de mon temps », quand j’étais écolier, j’ai été puni une fois, avec des lignes à faire, je n’ai pas fait les lignes... je me suis pris la baffe de ma vie de la part du directeur... Zéro récidive. Mon dieu quel facho, quel nazi ce dirlo !!!
(Ps : je suis personnellement contre les giffles et ne pratique pas.) -
Non, je n’y étais pas, mais tous les articles indiquent que les deux enfants ne sont plus fâchés, on peut donc facilement imaginer qu’aucun des deux n’a cassés bras et jambes à l’autre. Vous pourriez peut-être essayer d’en lire un ?
Ces événements sont la conséquence de la réduction de personnel encadrant les élèves, et de la politique du chiffre à laquelle on contraint la police.
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Oui d’autres enfants plus grands dans différentes affaires récentes ont refusé de porter plainte contre leurs agresseurs....
Certainement qu’ils avaient fini copains comme cochons à la fin de leur « chahut ». -
Bonjour M. Peachy,
Votre article n’est qu’un tissu d’exagération et d’amalgame, et donc de désinformation flagrante. D’abord, l’enfant n’a pas été « serré » ni même « cuisiné » (pourquoi pas « torturé » pendant que vous y êtes ?), mais convoqué et auditonné selon la loi réplublicaine. Ensuite, que je sache, les forces de l’ordre ne sont intervenues spontanément, et encore moins sur ordre du « régime », comme vous le sous-entendez de votre plume trop indignée pour être tout à fait sincère (’’Aujourd’hui, sous Sarko Ier, le gouvernement encourage la police à lancer des dragonnades dans les écoles’’). Elles sont intervenues parce que la mère d’un enfant houspillé pendant une récréation a porté plainte.
Après, les gendarmes n’ont fait que leur métier, je dirais même leur devoir, c’est à dire d’appliquer la procédure (et plutôt bien, comme le reconnaissent la plupart des commentateurs qui notent que lesdits gendarmes ont eu soin d’entendre l’enfant avec son père, c’est à dire de replacer la responsabilité à sa juste place : sur l’autorité parentale). Sous un gouvernement de gauche, ou de centre, ou d’ailleurs, dans les mêmes circonstances, la loi aurait été appliquée similairement. Sarko n’y est pour rien, en déplaise à ses contempteurs hystériques.
Le fonds du problème, donc, c’est cette mère qui, incapable de régler un problème somme toute bénin et vieux comme le monde (une bagarre de cours d’école), incapable aussi de se tourner avec confiance vers l’administration de l’école, à laquelle elle ne faisait donc manifestement pas confiance pour régler ce problème « en interne » (et on le comprend, puisqu’un professeur ou un surveillant qui réprimande un gamin prend maintenant le risque de se faire attaquer en justice, voire de se faire casser la gueule ou poignarder par un parent ou un « grand frère »...), va voir les gendarmes pour porter plaine ! C’est ça qui est choquant, perturbant, cette démission des parents et de l’école, cette perte de confiance dans l’autorité parentale et scolaire, qui fait que l’on va se retourner, en désespoir de cause, vers cette autorité de substitution que représente l’ « Etat » pour châtier ces sales gosses irrespectueux que sont devenus les « enfants de la république ».
Cette dérive vers le « tout judiciaire », excusez moi, mais elle ne date pas de l’élection de Nicolas Sarkosy ! C’est une tendance de fonds que l’on voit apparaître progressivement depuis déjà plusieurs décennies. Je me souviens quand j’étais au lycée, on avait enlevé des panneaux de basket parce que si un enfant grimpait dessus et se blessait, et que les parents portaient plainte, le principal, mais aussi le maire, pouvaient finir en prison !! Je me souviens aussi que les sorties scolaires avaient été fortement réduite après une histoire ou un enfant avait été écrasé par une voiture en sortant d’un musée avec sa classe, bien sûr les parents avaient porté plainte contre le professeur... Et tout cela date d’il y a plus de 15 ans, hein, en pleine fin de règne Miterrandienne, pas de mai 2007 !
Alors, quand je lis ces propos de la Secrétaire Générale de la FCPE (fédération connue pour être le plus souvent en phase avec les syndicats enseignants, bref, « de gauche »), dans un article du Point :
"Deux gosses de 8 ans qui se battent, il y en a toujours eu, mais le fait que la mère ait porté plainte, c’est la conséquence directe du discours sécuritaire du gouvernement depuis quelques mois et surtout depuis une quinzaine de jours«
Je crois réver ! Ainsi, prenez une brave ménagère qui éduque son fils depuis une dizaine d’année (et peut-être d’autres enfants avant) avec responsabilité et autorité, une »bonne mère« , quoi, irréprochable sous tous les aspects ; faite-là lire les journaux et regarder la télé pendant 15 jours, et la voici lobotomisée, manipulée, conditionnée, transformée en mère irresponsable, indigne et incapable de gérer les tracas de sa progéniture ? Vous prenenz vraiment les gens pour des cons ou quoi ? Vous y croyez vraiment, vous, M. Peachy, à cette fable de la »bonne mère« transformée suffisamment en 2 semaines d’exposition médiatique pour en arriver à une conduite aussi pathétique que d’aller porter plaine pour une querelle de garnements ?
Sarkosy est sans doute à l’image de son temps ; il incarne et personnifie à merveille les outrances de notre époque ; il fait donc un bouc émissaire idéal ; la haine que vous lui portez est à ce titre rassurante, parce qu’elle témoigne de l’horreur que nous commençons à avoir de ce monde dans lequel nous vivons. Mais il n’est qu’un symptôme, en aucun cas la »racine du mal" ; lui jeter la pierre ne doit pas nous dispenser de nous regarder en face dans le miroir. Je suggère donc à l’auteur, plutôt que de déposer une énième petite crotte antisarkosyste sur ce forum de discussion, de réfléchir objectivement sur les causes profondes de cette tendance lourde de nos sociétés vers le tout-sécuritaire et la déresponsabilisation des autorités traditionnelles (parents, écoles). Vous risquez de découvrir qu’elle ne date pas d’hier, ni même d’avant-hier.
Tout le reste n’est que basse récupération politicienne.
Nicopol,
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En d’autres termes, vous trouvez normal qu’on puisse « convoquer et auditionner » des mômes de 8 ans, et même en l’absence de leurs parents. Rien à ajouter, si ce n’est que si la loi permet ça, il faut la changer !!!
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"En d’autres termes, vous trouvez normal qu’on puisse « convoquer et auditionner » des mômes de 8 ans, et même en l’absence de leurs parents. Rien à ajouter, si ce n’est que si la loi permet ça, il faut la changer !!!"
Je n’ai JAMAIS dit ça, sous quelques termes que ce soit. Relisez avant de vous enflammer.J’ai dit :
(1) il est normal que des fonctionnaires, et même des militaires, appliquent la loi. C’est leur métier.
(2) il n’est pas normal que des parents en soient réduits à en recourir aux forces de l’ordre pour régler un problème avant tout d’ordre éducatif.
(3) le fait que la législation française prévoit une telle procédure en cas de dépôt de plainte contre un enfant peut tout à fait être critiqué, discuté dans un cadre démocratique et le cas échéant amendé par nos représentants à l’Assemblée nationale. Je vous suggère donc de contacter votre député dans ce sens.
(4) tirer parti de cet incident absurde pour tirer à boulet rouge sur Sarkosy s’apparente à de la récupération politicienne, pire, de la désinformation.
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Les termes employés dans ce papier sont excessifs.
Néanmoins c’est proprement scandaleux d’interroger un enfant pour une bagarre d’école.
La procédure a bon dos, elle n’interdit pas l’appréciation du gendarme.
Dans le cas présent le gendarme se serait honoré de courir un blâme pour faute professionnelle.
La phrase finale : « L’insécurité existe, mais elle est aussi le fait de l’État » ne me paraît pas convenable ; il serait plus juste de dire que « l’insécurité existe principalement à cause des carences de l’état ».
Les insécurités qui touchent le plus de monde sont l’absence de travail et l’absence de logement.
Enfin le peuple de france a voulu ce président, eh bien qu’il endure.-
article sans intérêt ,tout juste bon pour alimenter des ragots entre mesdames Michu ,Tartemuche et Courtemiche genre « si c’est t’y pas malheureux ma pauv ’dame d’envoyer des Gendarmes quand des gosses se chamaillent !... »
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Au-delà de votre mise en scène sans intérêt et qui ne réfute rien, si, c’est malheureux.
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votre sectarisme vous rend aveugle Sampiéro ,je n’ai jamais émis cette idée ...
étant gamin et même maintenant ,j’ai le coup de poing facile ,et j’aurais certainement été mille fois à la Gendarmerie !-
Et donc, peut-on enfin connaitre votre avis sur le fond du sujet ?
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il y a eu un dépot de plainte de la part de la mère d’un des gosses ,la procédure est donc d’interpeller celui qui est incriminé .....
les gamins ont été entendus un vingtaine de minutes ,et chacun est reparti de son côtè ,mais il y a eu la couverture médiatique ,pensez donc ,l’intervention des Gendarmes pour un ou deux coups de savate ....quelle aubaine pour les journaux qui n’ont rien à se mettre sous la dent !....
étant gamin ,avec un pote on a fait l’école buissonnière pendant trois jours ,les Gendarmes nous ont embarqués au poste ,et rammenés à l’école ,on s’est pris un branlée par le directeur et par les parents ,ça n’a pas fait la manchette des journaux pour autant .....
tiens au fait c’est curieux ,la semaine dernière ,il y a encore un autre gamin venu avec un couteau de 30 cms de long pour tuer la prof ,avec laquelle il avait eu une altercation la veille ....personne n’en a parlé !...
ah oui c’est vrai ,le pauvre ,il n’avait que ça comme taille crayon !je parierai que c’est encore de la faute du gouvernement ! qu’est ce qu’on attend pour fournir un budget pour des tailles crayons aux écoliers ?
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vous êtes malsain Sampiéro ,vous détournez le sens d’un post pour lui faire dire le contraire de son sens à votre avantage !
arrêtez un peu avec votre prétendu humanisme ,avec moi ,le cinoche que vous faites ne prend pas ...
je vous laisse à votre connerie !
il fait beau ,je vais me ballader !-
C’est pourtant un fait que ce que vous dites est l’opposé exact de ce que disent les ministres. Il n’y a là aucun « détournement ». Comment l’expliquez-vous ?
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abdelkader17 1er juin 2009 15:43Il faudrait remercier les Alain Bauer ou l’extrémiste Xavier Raufer de la faire la promotion de l’idéologie du tout sécuritaire, Sampiero, la racaille en col blanc ça n’intéresse personne, ça dévaluerait d’un coup la place prépondérante et la portée du voyou de banlieue de les esprits de « nos chers humanistes »
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viking 1er juin 2009 16:10Quand un type comme Noop qui a cru pouvoir vous éblouir avec sa lumineuse intelligence en vous posant cette question pour semer le doute dans vos cervelles « Vous y étiez ? » La moindre des réponses adéquats pour le mettre dans la situation de l’arroseur arrosé, aurait été de lui répondre « Bougre d’âne ! Et toi, tu y étais ? ».
C’est ainsi que vous auriez pu lui faire savoir qu’avec son air de prétentieux, il est comme tout le monde. Il parle sans savoir.
Tu parles si les bagarres d’enfants sont de la compétence de la police.
C’est incroyable comme les Français peuvent supporter les égarements d’un Sarkozy qui veut criminaliser chaque français pour mieux installer un état hyper-répressif à la manière d’un Pétain la pétoche.
Il faut destituer Sarkozy. C’est possible et en plus c’est facile à concevoir… à réaliser, ce n’est pas gagner d’avance mais néanmoins on pourrait essayer avec l’espoir de le faire trembler de tous ses membres sur ses talonnettes. Gla-gla ! Les Français m’en veulent !-
Sarko le métisse vous dira que la violence c’est dans les gènes.
Il oubli un peu trop facilement les siens, héritage génétique assez lourd de conséquences.
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Si je comprends bien, la police est intervenue en réponse à une plainte des parents, la dite « connasse de mère », sans excéder son mandat.
J’aimerai croire que les violences dans les cours de récréation ne méritent pas l’intervention de la police. En fait, en Angleterre où j’habite, elles sont de moins en moins fréquentes depuis que les établissements scolaires ont mis en place des politiques pour lutter contre ces types de comportement. Je sais aussi qu’une des plus grandes difficultés est de faire comprendre aux parents que ces violences sont inacceptables, même entre garçons. Je ne parle pas de petites empoignades, mais de violences et de cruauté autant physiques que mentales à l’encontre d’enfants qui ne sont pas particulièrement combatifs ou qui portent des lunettes ou ont un cheveu sur la langue, (les prétextes ne manquent pas), et qui parfois en gardent des séquelles toute leur vie. Si l’école fait la sourde oreille et nie l’existence de ces comportements, les parents n’ont souvent pas d’autres recours que de s’adresser à la police ou de changer leur enfant d’école (assez dur en Angleterre). De là à en faire tous des connards ! On ne peut pas déplorer la violence dans la société et l’excuser dans la cour d’école.-
Je n’ai jamais parlé de simples coups de pied à la récré, et du risque de devenir pour cela un voyou. Relisez-moi, J’ai parlé de la protection des enfants et de tous les enfants qui doit être assurée. Comme je le disais, il est possible de le faire pour les établissements scolaires avec des mesures très concrètes et très efficaces, mais cela coûte cher, surtout sur le plan de la disponibilité du temps. Etant donné les coupes prévues dans le budget de l’éducation nationale, cela ne paraît pas réalisable.
En fait votre réaction n’est que trop prévisible. D’un côté vous dénaturez mes propos, pour que je puisse plus facilement être assimiliée à cette connasse de mère qui alerte la police pour un simple coup de pied, de l’autre, vous en appelez à la solidarité masculine, en demandant : qui n’a jamais donné un coup de pied ? J’ai deux fils, qui ont été parfois victimes de violence à l’école. Si je n’ai pas fait appel à la police, c’est parce que l’établissement scolaire a pris ses incidents au sérieux en n’en diminuant pas la gravité, et n’éludant pas ses responsabilités.
Maintenant je pourrai vous dire ce que je pense de la police et de Sarkozy, mais cela n’a pas beaucoup d’intérêt. Je ne pense pas toutefois que la police devrait intervenir dans les écoles. Mais cela voudrait dire reconnaître au départ qu’il peut exister entre enfants un problème de violence dans les écoles. -
Je suis d’accord avec cela, Sampiero. Mais je me demande comment aborder dans les écoles les problèmes de rackettisme dont parle Asinus plus loin. Je me limitais aux violences entre enfants, mais ce dont il parle et surtout les ramifications du rackettisme qu’il peut y avoir à l’extérieur de l’école exposent le corps enseignant à des risques très sérieux.
Le problème avec la police n’est pas qu’elle intervient auprès des enfants, mais la perception (et j’irai jusqu’à dire la réalité) qu’elle est au service de la politique sécuritaire d’un gouvernement en mal de popularité, et que cela l’autorise à passer outre les précautions que n’importe quelle police devrait prendre dans ses rapports avec le public, jusqu’à traiter des enfants comme des délinquants potentiels. -
Depuis que l’Education Nationale ne fait plus la police, les forces de l’ordre font la leçon.
Quand la rue, l’école et la crise jouent un vaudeville, personne n’est trompé, tout le monde est débiteur.
Entre les parents démissionnaires et le corps enseignant sclérosé, il reste la bavure policière.
Quand les exceptions construisent les exemples, le législateur transforme l’épiphénomène en cas d’école.
La suite ici :
http://souklaye.wordpress.com/2009/05/21/post-it-police-scolaire/
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ASINUS 1er juin 2009 19:19heu salut les bisounours venez donc dans le college et les ecoles de ma zus ici a Marseille vous y verrez de tendres bambins de 8/9/10/11/12 ans qui sont quasi analphabetes mais qui connaissent leur droits, de bienpensants intellectuels voudrez nous faire croire que leurs jeux relevent que de « la guerre des boutons » marrant je n ai pas souvenir que " lebrac ptit tgibus laztec et consorts donnaient dans le racket
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le sarkozysme actif c’est bien ça ; une mère qui porte plainte parce que son fils se fait battre à la recrée .Les sarkozystes c’est rien que des gros boeufs chef !... tait toi et court
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La demande du public est incroyable, alors l’ange gardien, le politicien, répond à l’incroyable par l’incroyable, en promettant le monde sans rien apporter. Donc, qui est le plus grand menteur ? Le public ou le l’ange gardien ?
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Seul le Maire de la commune peut pénétrer sur le campus universitaire et dans un établissement scolaire. C’est l’officier de Police accrédité par loi de la République française. Alors ça n’a rien à voir avec ce qu’on voit dans les séries B américaines ni chez les voisins européens.
A ces 36 ooo chefs de « village » d’assumer la totalité des fonctions et des charges attribuées à leur nomination démocratique !
C’est cette démocratie de proximité qui foire. Chez nos voisins allemands, les élus locaux et leurs adversaires politiques sont sur le terrain tous les jours. Les établissements scolaires et universitaires publics sont ouverts largement aux activités associatives en après-midi soirées et week-ends.
Chez nous - bâtisseurs obligent -on construit des Temples dédiés au Temps Libre...-
Un regret dans cet article. La lettre « L » oubliée du verbe intransitif « pallier ».
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Bonjour.
Et bien moi, 46 ans, je ne me souvient pas avoir vu ce genre d’ intervention par les forces de l’ ordre pendant toutes la durée de ma scolarisation.Pourquoi ? Je vais vous l’ expliqué...Maintenant les force de l’ ordre ont ils eu raison d’ intervenir dans une cour de récréation, ou dans l’ école ? et bie je répondrais a la foi OUI, et, NON.NON car pour une simple bagarre de gamin de 8 ans soit les forces de l’ ordre sont trop zélés, soit ils ne savent vraiment quoi pas faire de leur journées ! ( Et pendant ce temps les vrais délinquant des quartiers sensibles commttent leurs exactions en toute tranquilité et en toute impunité....)Et si je dit a la foi OUI, et bien c’ est par-ce que lorsque j’ étais a l’ école primaire a mon époque, lorsque l’ on se bagarrait dans la cour de récréation l’ instituteur intervenait, nous séparait et nous donnait un bon coup de pied au c*l a chacun, ce que les enseignant ne peuvent plus faire de nos jour, car losqu’ un enseignant donne un coup de pied au cul a un élève de sa classe ou donne ne cerait-ce qu’ une paire de claques, c’ est l’ enseignant qui a affaire a la police, et que l’ on met en prison. Donc lorsque un enseignant constate que des élèves de sa classe se bagarrent, que peut-il faire a par appeller les flics ? RIEN !Alors voila l’ époque que l’ on vit, et nous serons de plus en plus souvent amené a voir des flics débarqués dans des écoles primaires, ou (élémentaires, mon cher wadtson ! )Si cela nous choque, alors retournons a bonne vieille méthode de l’ enseignant qui punit lui-meme ces élèves récalcitrants, et puis c’ est tout !(Et dissuadons aussi certains parents de porter des plaintes pour un oui, ou pour un non, afin de gagner de l’ argent a travers des misérable procès, c’ est hideux et grotesque ).Bien cordialement.VINVIN.
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