@ambre « Nature et vie sauvage, une haine incurable pour Ouragan. » cf Amarok
La vie sauvage dans les parcelles de l’ONF qui a fait planté des pins noirs d’Autriche et autres espèces non endémiques par des esclaves harkis et qui loue ses terres au plus offrant après y avoir introduits des ongulés d’élevage, le rêve pour tous les simples d’esprit.
Grace à vos contributions et à celles de vos amis les lecteurs ont des arguments pour se faire une idée du mouvement écologiste pros loups. Et je doute fort que vous ayez les capacités d’identifier un loup.
@ Amarok "- Plus globalement : quel solde final arrêts/installations ?
Solde plus positif que dans la quasi totalité du secteur économique de notre pays.
@Amarok Comment expliquer ces nombreuses installations si le loup est le fossoyeur de l’élevage (ovin) ?
Ne pas confondre l’élevage intensif dont les produits sont moins valorisés et qui souffrent de la crise et de l’effet de mode et l’élevage extensif dont les produits sont de plus en plus prisé par les consommateurs.
Sans le loup la filière arriverait à satisfaire la demande en produit de haute qualité ce qui est loin d’être le cas aujourd’hui. Un tiers des nouvelles installations sont le fait d’élevages viandes et lait en vente directe et en bio, mais ils sont aussi les plus fragiles face à la prédation du fait de leur endettement comme nouveaux installés. Et ce sont les jeunes familles qui grossissent les rangs des abandons lorsque la pression exercée par les prédateurs devient intenable. Les anciens résistant mieux et ne pouvant plus se reconvertir ce sont souvent les enfants de ces jeunes couples qui demandent aux parents de tout arrêter, car ils subissent plus fortement la pression due aux attaques et vivent mal le fait que les parents ne soient plus disponibles à cause du surcroît de travail et de l’indisponibilité psychique conséquence du stress.