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danielle bleitrach

danielle bleitrach

danielle Bleitrach, sociologue, universitaire, militante, spécialiste des questions internationales en particulier l’Amérique latine et la Chine. A écrit une quinzaine de livres, dont trois sur la classe ouvrière et l’urbanisation, trois sur l’Amérique latine. Licence de lettres, d’histoire et de sociologie, diplôme d’Etudes supérieure avec Duby sur l’iconographie médiévale. Thèse sur les politiques urbaines des élus locaux français. Prépare actuellement une licence de chinois. Ancienne respondable politique (PCF) n’est plus membre d’aucun parti, ni aucune association. A été rédactrice en chef adjointe de l’hebdomadaire Révolution et par ailleurs membre du Comité national du CNRS. Conseillère régional PACA, responsable aux questions culturelles. Par goût et par profession a travaillé en Afrique, puis en Amérique latine et Caraïbe, le tout sans jamais pratiquer le tourisme... mais beaucoup le taxi-brousse et le campement... Et je continue...

Tableau de bord

  • Premier article le 11/05/2010
  • Modérateur depuis le 20/07/2010
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • danielle bleitrach danielle bleitrach 7 juillet 2010 23:41

    préjugés pour préjugés les votre sont tout aussi massifs que les miens, vous pensez que les trusts de l’armement sont de bonnes personnes, certainement pour leurs familles et leurs amis, beaucoup moins selon moi au plan de l’intérêt général, celui de la REPUBLIQUE... Quelques boucheries en sont la preuve... Comme d’ailleurs les budgétivores, le fait que désormais le système est de plus en plus privatisé, mercenaire... Quant aux relations de monsieur dassault et de Thales, il n’y a que vous pour nier leur réalité...
    Donc si je reprends chacune de vos remarques elles sont totalement iséologiques... Et vous passez d’une affirmation à l’autre et quand votre mauvaise foi est démontré vous vous en sortez par une pirouette « les budgets ne sont jamais executés »... ou encore quand je fais allusion au rôle historique que l’on a fait jouer à la grèce face à l’URSS et qui s’est traduit pour elle par mille et une souffrances, par exemple le régime des colonels, nouvelles pirouettes « je parle d’aujourd’hui » de qui vous moquez vous ?
    Donc le mieux est d’arrêter là et de laisser les lecteurs juger... J’apporte des faits, et vous insultez à défaut de jamais démontrer... Laissons donc le lecteur juger du texte et de vos « argumlents » (sic)
    Danielle bleitrach



  • danielle bleitrach danielle bleitrach 7 juillet 2010 21:06

    je suis navrée, il ne suffit pas d’affirmer qu’un article est bourré d’erreurs et de préjugés pour le démontrer. Il y a erreur quand il y a erreur sur les faits et tout ce que vous soulevez ce sont des divergences d’interpétation de faits. Ces faits existent et on les trouve dans les rapports que j’ai cités. J’ai signalé effectivement qu’il y avait une croissance des bufget chinois et russes, mais votre critique me parait porter excluisivement non sur l’article mais sur la photo qui l’accompagne.

    Je ne critique pas les grecs, si vous lisiez mes écrits, vous sauriez que depuis le début de la crise j’analyse la manière dont ils sont spoliés, dupés, y compris par les banquiers français et allemands. En ce qui concerne leur armée, je dis au contraire qu’il y a des incursions turques mais j’affirme que l’hostilité entre grecs et turcs est largement entretenue, et que le surarmement grec a été réclamé en particulier par les Etats-Unis du temps où il s’agissait de lutter contre l’URSS. On a beaucoup parlé de corruption, de gaspillages, en particulier dans l’immobilier mais voir du côté de l’armement n’est pas inintéressant et dans les deux cas ce ne sont pas les salariés et leurs « primes » qui sont en cause mais bien des corruptions au plus haut niveau. Et je dis qu’il est tout même étonnant que l’Allemagne qui s’est montré si réticente à aider les grecs ait été moins intéressée à freiner leur budget de la défense.Je donne des chiffres et des faits que vous êtes incapables de contester résultat vous faites du brouillage en feignant des compétences sur des sujets que vous maîtrisez mal. Ainsi identifier l’enseignement supérieur et la recherche n’est pas nécessairement exact. Il est vrai que l’université est le parents pauvre de l’éducation nationale, en tant qu’universitaire je connais la grande misère des Universités mais je sais hélas à quel point le budget a peu évolué et combien dans ma propre université il demeure difficile de payer les heures complémentaires, voir les factures de chauffage...
    Mlaheureusement en finançant Thales et monsieur dassault, en doublant le nombre de troupes en Afghanistan dans une expédition catastrophique, et enfin en installant une base dans les Emirats, et en favorisant les mégatonnes nucléaires je ne crois pas que l’on développe l’Université, c’est-à-dire le véritable avenir de la france... les budgets restent sans commune mesure... Mais l’essentiel de la démonstration, c’est-à-dire une interrogation sur un fait : malgré la crise et les crises d’austérité imposées à tous, partout les complexes industrialo militaires (pour employer la terminologie d’Eisenhower qui mettait en garde sur la dictature de ce complexe sur les etats-unis) s’étendent, leurs budgets croissent...
    Bref, vos commentaires sont non seulement peu courtois et peu démonstratifs mais semblent souvent hors sujet et bourrés de « préjugés ».
    Danielle Bleitrach



  • danielle bleitrach danielle bleitrach 12 mai 2010 11:58

    Excusez-moi, comme il y a peu de renseignements sur moi dans la page de présentation, je voudrais signaler l’existence de mon blogqui traite de ces questions et de bien d’autres, en particulier sur la Chine. il est impossible d’inscrire un lien aussi je vous conseille de chercher soit à mon nom, soit à « changement de société », mais peut-être est-ce un problème pour Agora Vox ? Auquel cas il suffit de supprimer ce post.
    danielle Bleitrach



  • danielle bleitrach danielle bleitrach 12 mai 2010 10:56

    je n’avais rien de pertinent à ajouter à la plupart des interventions précédentes, mais celle de drlapiano me pose problème.

    En effet je crois qu’il y a une confusion sur le néolibéralisme et même le capitalisme en général et sa relation à l’Etat. C’est le même genre de confusion, et elle est souvent liée avec celle qui dit qu’il faut privilégier la concurrence, vous remarquerez que l’une des missions que les économistes néo-libéraux attribuent à l’Etat ou aux structures étatiques comme l’UE est justement la « régulation » des concurrences. En effet le néo libéralisme repose sur un mythe : à savoir que le marché qu’il prône serait « la main de Dieu » rétablissant les équilibres par la somme des individus. Mais comme par hasard le dit néo-libéralisme c’est aussi l’ère des monopoles financiarisés, donc la concurrence constamment biaisée par le poids des dits monopoles financiarisés.

    cette première contradiction en sous tend une autre tout aussi essentielle : les monopoles financiarisés ont besoin de l’Etat ou mieux d’institutions étatiques complètement antidémocratique comme la commission européenne parce qu’ils ont besoins de décisions et de capitaux étatiques pour se développer par la privatisation des fonctions régaliennes.
    Deux exemples permettent d’illustrer mon propos. Le premier est celui de l’école, qu’elle soit privée ou publique, elle est assurée par les capitaux étatiques et c’est au plan international actuellement 2000 milliards qui sont dévolus à ces fonctions d’enseignement. Donc toute la politque néolibérale consiste non pas à supprimer la fonction étatique d’un point de vue budgétaire, mais de détruire l’école publique pour bénéficier du marché.
    Autre exemple, l’armée et ses multiples secteurs de plus en plus privatisés avec des mercenaires désormais y compris dans le renseignement, voir dans la torture...
    Tant que l’on ne perçoit pas ce fonctionnement je crois que l’on a du mal à percevoir ce qui se joue, il ne s’agity pas de suppression de l’Etat mais de transformation profonde de son fonctionnement vers moins de démocratie et moins de servixce public.
    L’Union européenne en est l’illustration.
    danielle Bleitrach

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