Excusez moi Gorgonzola, vous êtes un de mes fromages préférés, avec Parmiggiano reggiano et Mon d’or, mais si UPR s’arrête à de telles considérations sur la question démocratique...
Vous connaissez tout de même les conditions dans lesquelles Berlusconi a été « élu » ; allez, un fil d’ariane, un seul, Mediaset. Quant à Sarkozy, ou Hollande d’ailleurs, bien que les circuits ne soient pas les mêmes, c’est la même chienlit.
Alors fonder à ce jour une critique ou une défense sur l’élection, mmmh, en plus des brèches rhétoriques ouvertes pour les Judas, ça me semble moyen.
Remarque amicale et respectueuse à François Asselineau, qui n’en déplaise aux collabos (si si, collabos) effectue un travail d’information citoyenne essentiel et de très grande qualité. Il n’y a pas d’équivalent dans ce pays devenu une insulte à la démocratie et à l’information via media de masse.
Vous ouvrez des brèches dans vos textes qui ne sont pas forcément nécessaires pour asseoir le propos central que vous tenez.
Dans ces brèches viennent s’engouffrer comme vous le lisez plus haut ceux qui donnent la nausée au peuple, les « .... » choisissez le terme.
Personne ne s’y ait engouffré encore, mais autre exemple il ressort de votre papier une sorte de valorisation de Berlusconi, de manière indirecte. Comme vous savez très bien qui il est et de quelle manière il a pourri jusqu’à la moelle ce pays, hum hum, c’est « glissant ».
Tenez bon, vous avez RAISON et vous DÉVOILEZ le sens des choses à ces pauvres français que les journalistes et la très grande majorité des politiciens professionnels tentent tant bien que mal de continuer à abrutir de mensonges malgré ce terrible internet dont les règles leur échappent.