MERCI ! Monsieur Dugué pour votre article très pertinent sur la libération de Bertrand Cantat. Je dois dire que cela fait du bien de lire que tout le monde ne regrette pas la sortie de Monsieur Cantat. A voir les autres articles parus ci ou là, il semblerait que Cantat n’aura, à leurs yeux, jamais payé sa dette envers cette société (même si, nous le savons tous, lui, vis à vis de lui-même n’aura jamais fini de la payer cette dette). Quant à Madame Marquand, dite Trintignant, je pense qu’elle s’est fait assez de fric sur la mort de sa « fifille ». De plus, vous avez bien pointé que sans ce fait tragique , elle ne se serait jamais préoccupé des femmes battues ! Et cela, je le pense depuis le début de cette histoire
Que ce soit bien clair, j’admirais Marie Trintignant : actrice géniale, beauté incommensurable,personnalité attachante mais, et il faut le dire, une personnalité que l’on appelle « borderline ». cela, sa chère maman devait en avoir conscience, ou alors, elle connaissait encore moins sa fille qu’on ne peut le penser (les parents sont les derniers à savoir, c’est bien connu). Cette admirable femme (Marie), on le sait maintenant, avait de sérieux prolèmes avec l’alcool et les drogues (tout comme B.Cantat par ailleurs) Pour en finir, je dirait que la douleur de perdre un enfant fusse-t-il à 41 ans, est le pire des calvaires, mais je le répète,entre subir son chagrin dans sa propre intimité et en faire un « buziness », il y a un fossé qui ne devrait pas être franchi.
Bien à vous.
Muzaddict (c’est à la musique que je suis « addict », pour ceux qui pourraient penser à autre chose) VIVA BLACK DESIRE !!