« jeune » ne rime pas vraiment avec « voyou »
Je rajouterais que je suis chef d’entreprise (20 personnes), et que je souhaite engager des jeunes qui n’en veulent.
Je les intéresse également au résultat de notre entreprise.
Je souhaite aussi témoigner de certaines personnes qui ne montrent que peu d’entrain au travail.
Je fais tout pour les motiver, je les conseille, je sais que s’ils ne se bougent pas, ils en pâtiront un jour.
Moi-même, je ne peux les garder, s’ils ne participent pas de manière efficace à l’entreprise, car effectivement, si je ne fais pas suffisamment de chiffre d’affaire, je ne peux plus les payer.
Je ne m’attribue pas de salaire mirobolant. Mais à la juste valeur de l’effort et du risque que j’ai pris en montant cette entreprise.
Je pense rémunerer mon personnel au mérite, et je surpaye largement les gens peu efficaces. Je leur donne leur chance.
Dans 1 ou 2 ans , je serai intraitable, s’ils n’ont pas progressé, je serai obligé de les « rendre » au marché de l’emploi. Ils pourront trouver une autre entreprise bienfaitrice qui les surpayera à son tour.
Ou est la justice là-dedans ? de mon côté ou du leur ? qui fait l’effort dans l’histoire ? Si eux ne le font pas, moi je continuerai à le faire, j’embaucherai d’autres personnes à qui je donnerai leur chance, même s’ils ne font pas d’effort au début, mais je ne garderai que ceux qui montre de la bonne volonté.
Je rappelle que « vouloir c’est pouvoir », et que même quand on est nul, si on veut on peut devenir productif, il suffit de le vouloir.