Je ne vois pas ce que « librement » ajoute. De quelle liberté parle t’on.
Allez y, critiquer mes fautes de frappe ou de syntaxe ,je ne suis pas un virtuose du clavier et sans doute m’arrive t’il de trébucher, mais vous, vous trébuchez de toute évidence autant que moi (un certain Pie vous l’a déjà fait remarquer).
Mais je reviens au sujet (ce dont vous avez une nette tendance a vous écarter lorsque l’on fait la mondre remarque sur le contenu de vos textes)
Entre autres :
Je ne vois pas quelles sont les contraintes imposées a Rembrandt dans ses autportraits.
Michel Ange a été le plus libre que l’on puisse imaginer.
L’imposition d’un thème n’a jamais été une contrainte pour l’intelligence. C’est le traitement du sujet qui révèle le degré de liberté.
Rembrandt peignant une compagnie (« Banning Cocq ») a bien surpris face aux banalités peintes par ses contemporains.
Quelle plus grande liberté que celle de Michel ange dans la Sixtine.
Croire que le choix libre du sujet est une preuve d’indépendance est un tarte a la crème.
Vélasquez malgré ses obligations de peintre officiel a traiter les sujets comme il l’a voulu, j’entend formellement et c’est l’essentiel. (« Ménines », « Arachne », « La rédition de Breda » en sont de beaux exemples). C’est bien pour cette raison que nous continuons a les regarder et absolument pas pour le thème.
Mais sans doute ne s’agit il pas de cette liberté dont vous parlez. Alors a quoi faites vous allusion ?