"A chaque fois que la corrida avance, c’est l’Humanité qui recule.
Francis Cabrel.
Les corridas ne s’arrêtent pas aux arènes :
En France ou en Espagne, il existe en effet des « fiestas camperas », autrement dit des fêtes « champêtres », où des taureaux sont tués au cours de rencontres « amicales » et privées :
« Entre 1993 et 1994, j’ai tué soixante toros en privé. », a déclaré Philippe Delapeyre, (« San Gilen », de son nom d’arène), dans la revue Tendido d’avril-mai 1995.
La FLAC (Fédération de Liaison Anti Corrida) avait déposé une plainte à la suite d’un film clandestin tourné lors de ces tueries privés, le 15 juin 1995, à Franquevaux, dans le Gard.
Malheureusement, la FLAC a perdu le procès, dont le président du tribunal était le juge Gilbert Azibert, qui déclara au Midi Libre du 16 septembre 1995, parlant d’une autre corrida, qu’il l’avait trouvé « moyenne » :
"J’ai quand même passé un bon moment.
Vous savez, la corrida comprend des déceptions mais aussi de grandes satisfactions. Nous sommes, nous autres aficionados, toujours à la recherche de la corrida idéale."
Lire la suite des infos que j’ai récolté personnellement sur la corrida, dans la rubrique « Seigneur ( »saigneurs« ), pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font » :
http://www.wmaker.net/fximageswebzine/Je-ne-pensais-pas-qu-on-puisse-autant-s-amuser-br-autour-d-une-tombe-_a29.html
« Je ne pensais pas que l’on puisse autant s’amuser autour d’une tombe »...
Francis Cabrel.