@ JPC45 :
Premier point, ma question mal formulée ? Je ne vois pas de différence entre ce que vous formulez et ce que j’ai dit : vous dites "les parts respectives", ai-je dit tout ou rien ?
Deuxième point : la solidarité intergénérationnelle ne veut rien dire pour des gens comme vous, j’en conviens, puisque c’est ce que vous cherchez à détruire.
Troisième point : ""Est-il normal que le système pénalise ceux qui ont une duré de vie courte ? "" Ce pb n’est pas rédhibitoire à un système et sa solution n’est pas spécifique à l’autre. Ce que l’on peut faire dans la capitalisation pour remédier à cette injustice, on peut le faire tout aussi aisément dans la répartition, c’est seulement une question de volonté politique.
Enfin sur la simplicité des systèmes : Dans un système basic par répartition, on a d’un coté des cotisants, qui achètent (capitalisent) des points ; de l’autre des retraités qui perçoivent une pension calculée au prorata de leurs points acquis. Les recettes et les dépenses s’équilibrent. On peut dire que financièrement, tout se passe en temps réel, la valeurs des points est réactualisée constamment. Seuls les points sont reportés d’une année sur l’autre. Grosso modo, le système étant en vitesse de croisière, il est relativement équilibré.
Dans un système par capitalisation, il y a un élément supplémentaire de complexité, c’est le capital investit. A qui appartient-il ? Aux cotisants ? Non, puisqu’à leur mort l’organisme ne doit rien aux héritiers. De fait, les rentrées d’argent de l’organisme de gestion sont de deux ordres : les cotisations d’une part, les dividendes des placements d’autre part. Comment sont gérés ces fonds ? Vous dites que c’est simple mais vous ajoutez qu’il faut être actuaire pour le comprendre. Vous faites de l’idéologie. Mais je n’en dit pas davantage, apparemment vous en savez plus que moi sur ce sujet et vous voulez tester mes connaissances, et j’ai mieux à faire. Ou peut-être vous ne savez rien du tout mais faites semblant.