Merci. Je suis d’accord sur vos constats suivants :
"Le niveau de développement économique actuel est une résultante de l’histoire du peuplement et de l’insularité .
Ces départements sont considérés comme des département de seconde zone où on a laissé se perpétuer des traditions qui n’auraient pas été tolérées en métropole ; tout comme on fait des Antillais des Français de seconde zone assimilables à des émigrés d’Afrique noire quand ils viennent en métropole.
Les gouvernements ont continué à favoriser la partie de la population qui l’était déjà parce qu’ils ne négocient qu’avec des gens considérés comme leurs égaux, creusant un peu plus le fossé des inégalités et infériorisant et paupérisant le reste de la population."
Et "Pour conclure je dirais que les Antillais sont extrêmement patients car le système qui est dénoncé actuellement ne date pas d’hier."
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J’ai été, comme beaucoup, parfaitement scandalisé par les propos de ce Béké (0h.18 mn et ss) et par les manoeuvres de leur lobby, notamment protectionnistes (j’ai écrit un commentaire).
Sur les solutions que vous proposez, je ne suis pas d’accord parce que je pense que cela va amplifier les problèmes plutôt que de les résoudre. Encore une fois, les gros patrons peuvent se payer des augmentations de salaires mais les petits, qui sont très largement les plus nombreux, non. Sur le contrôle des prix, on sait historiquement ce qu’il donne. Je pense donc qu’il vaut mieux s’attaquer au système institué de quasi-monopoles.