Et voilà ce que pense certains communistes de Mélenchon
(assez d’accord sur ça même si je suis pas d’accord sur d’autres choses avec ces « communistes marxistes » notamment parce qu’ils sont anti ecolo, anti décroissance... )
http://www.lariposte.com/Les-principes-de-Jean-Luc-Melenchon-1176.html
http://www.lariposte.com/Les-elections-europeennes-et-le-Front-de-gauche-1175.html
Du front de gauche : http://www.lariposte.com/Les-faiblesses-du-Front-de-gauche-1188.html
Le rapprochement du PCF avec Mélenchon s’explique avant tout par l’ambition personnelle
de ce dernier – laquelle constitue, à vrai dire, la principale raison
d’être du minuscule Parti de Gauche (PG) ! L’écrasante majorité des
sections locales du PCF auront bien du mal à travailler avec les
structures locales du PG, pour une raison simple : ces structures
n’existent que sur une toute petite partie du territoire national. Dans
la plupart des cas, les militants du PCF constateront qu’il n’y aura
aucun adhérent du PG, dans leur localité – ou très peu. Si Mélenchon a
rompu avec le Parti Socialiste, c’est parce qu’il était marginalisé au
sein de l’appareil du PS. A force de trahisons et renoncements répétés,
au fil des années (soutien aux privatisations massives du gouvernement
Jospin, soutien à la participation de la France à l’invasion de
l’Afghanistan, ralliement systématique, lors des congrès du PS, aux
textes présentés par l’aile droite du parti, etc.), il s’est trouvé
avec des adversaires, en face, mais pratiquement plus personne derrière
lui. C’est pour cela qu’il s’est résolu à négocier une « place au
soleil » avec la direction du PCF – une place complètement
disproportionnée, au regard des forces qu’il représente.
C’est pas jolie de ma part, je partage pas forcément le communisme de ces communistes, mais bon c’est de bonne guerre, car tellement vraie