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Commentaire de ZEN

sur Le dernier péplum iranien : Dieudonné


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ZEN ZEN 14 décembre 2009 18:34

Mcm
Un canular auquel croient pas mal d’Israëliens...
Et la police ment ?
Mais ce n’est qu’un détail, pardon de vous avoir dérangé... smiley

"...Depuis le début des années 2000, de nombreuses associations israéliennes, comme Rabbis for Human Rights ou encore Association for Civil Rights in Israel, dénoncent les abus et la violence de la part des colons, au moment de la récolte des olives, période clé pour l’économie des villages palestiniens.

 
Selon la police israélienne, une moyenne de plus de 500 accidents de ce type est enregistrée annuellement en Cisjordanie. Seule une partie des 121 colonies israéliennes est concernée par ces accusations. qui mettent en cause une frange extrémiste de leurs habitants...Selon Vera Reider,mem mbre de Coalition of Women for Peace en Israël, ces terres sont convoitées pour assurer l’extension des colonies israéliennes. Les colons les revendiquent en tant que zones de sécurité, mises en place autour des colonies durant la seconde Intifada (2000-2006) à la suite de la mort de plusieurs dizaines de civils israéliens en Cisjordanie.
Abandon des terres : Depuis les accords d’Oslo de 1993, l’armée israélienne assure le contrôle des terres en bordure des colonies. « Chaque année, nous devons demander un permis à l’armée pour récolter nos olives dans ces zones. Il nous faudrait 13 jours pour la récolte, mais nous n’y avons accès que 3 jours. Ensuite, les colons viennent ramasser le reste », raconte Walid. Selon l’organisation israélienne B’Tselem, ces permis délivrés au compte-gouttes contribuent, avec les actions violentes de certains colons, à un abandon forcé des terres par les Palestiniens. « Les paysans n’ont accès à certaines zones que trois jours par an. Ils ne peuvent travailler la terre ou élaguer les arbres, qui deviennent alors malades », témoigne Maggie Foyart, de l’ONG anglaise Zaytoun. Les récoltes deviennent alors moins bonnes, ce qui entraîne un manque à gagner pour les familles. Selon Vera Reider, les terres seront abandonnées et éventuellement annexées au bout de quelques années."

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