Dans cet âge d’or du cyclisme, les années 50, il ne faut pas oublier Gino Bartali, le seul à avoir gagné le Tour avec 10 ans d’écart entre les deux victoires, et sans la guerre, lui aussi aurait eu un palmarès extraordinaire., mais c’est vrai que Coppi survole, avec aussi ses innovations en matière d’alimentation et de soins, je crois qu’il a été le premier à avoir un masseur personnel.
J’ai aussi le souvenir de cette année 60 ; avec Géminiani sauvé par un médecin de Clermont, ex colonial, et quand la femme de Gem a appelé les médecins italiens de Coppi, personne n’a cru bon de prendre au sérieux sa communication. il s’en serait peut-être sorti..
Salut campionissimo !
et salut aussi à Anquetil, monstre sacré s’il en fût ... pour ses paris insensés, comme le Bordeaux Paris après le Dauphiné.. Merci Géminiani ...