Dans le registre des choses bizarres, Al Bahri s’est vu refusé l’entrée en France, ce qui laisse dans une profonde expectative son co-blablateur, Georges Malbrunot, du Figaro :
"Ce
refus a de quoi surprendre. Interpol et la DCRI ne s’opposaient pas à
sa venue.
Interrogés,
des échelons intermédiaires du Quai d’Orsay m’avaient également répondu
que « de leur point de vue, sa venue ne posait pas de problème, qu’elle
permettrait justement de montrer qu’on pouvait sortir de la mouvance
terroriste ». «
Mais alors :
» Le 3 avril, j’appris
que l’ambassade de France au Yémen avait reçu « la consigne de ne même
pas instruire le dossier de demande de visa » que Nasser al-Bahri
s’apprêtait à remplir. On me signala qu’il s’agissait vraisemblablement
d’un « ordre politique venu d’en haut ». "
Il est donc urgent que Nasser
al-Bahri reste au Yémen. Et Malbrunot d’étaler des tartines d’incompréhension.
Faudrait lui dire que les déclarations de quelqu’un ayant vraiment connu Ben Laden pourraient ébrécher le mythe officiel et ajouter quelques couches de doutes sur le véritable auteur du 11/9.
Une logique que Malbrunot a visiblement du mal à intégrer.