Tout comme il existe un droit au logement, il existe dans la constitution, un droit au travail :
Tout demandeur d’emploi sans emploi est un réfugié économique qui devrait pouvoir entrer dans n’importe quelle administration, quelles que soit ses compétences, et cela tant que le taux de chômage ne serait pas descendu en dessous d’un seuil fixé à bon escient.
Comment le paierait-on ? Si on considère que 10 000 euros suffisent par emploi, cela coûterait 30 mds d’euros.
Au moment où Nicolas SARKOZY annonce une loi sur les retraites visant à remettre en cause le droit au départ à 60 ans, nous vous proposons de lui rappeler solennellement le constat fait par la Cour des Comptes dans son rapport annuel et que les médias ont soigneusement occulté : « Le coût total de la multiplication des niches fiscales représenterait 146 milliards d’euros par an ». La vérité doit l’emporter : pour « sauver nos retraites », au vu des analyses de la très officielle Cour des Comptes,on peut affirmer qu’il suffit de rétablir la justice fiscale .
Je rappelle que le secrétaire du syndicat des restaurateurs reconnaissait que le coût de la baisse de TVA, 500 millions d’euros, avait permis de réer 5000 emplois dans la restauration : cela fait 100 000 euros, cent mille euros ! par emploi !!!
Par ailleurs, l’argent donné aux gens n’est pas perdu pour l’économie, puisque cela relancerait la consommation.
Tout le mal vient de ce Madame Lagarde et les autres ministres de finances de l’UE sont des émules des Choicago boys qui confondent profits privés et richesses collectives : ils préfèrent donner 30 mds d’euros à quelques dizaines de milliardaires qu’à 2 millions de citoyens !