Borloo recalé en chansons de Souchon (Borloo commence sa traversée du désert à Colombo-les-deux-églises) :
C’est le remaniement : « Y’a de la rumba dans l’air. »
Mais « C’est pas toi qui y es, c’est pas toi qu’es beau. »
« On peut pas être gentils tout le temps.
On peut pas aimer tous les gens. Y a une sélection. C’est normal. »
« Quand j’serai KO, poussé dehors par des plus forts que moi. » Alors, ce sera « l’ultra moderne solitude… »
Comme il est parti, Jean-Louis a les nerfs
Jean-Louis boit du gin dans sa Chrysler
La presqu’île, le boulevard de la mer est con
Comme il est parti, attention : Jean-Louis tourne en rond
« J’ai perdu tout c’que j’aimais. C’est une mélancolie banale, Vodka orange et Gardénal. »
« Tant d’angélus. Ding. Qui résonne. Et si en plus. Ding. » Je n’étais personne.
« J’suis bidon. »
Nicolas : « Tout ce que tu m’as dit, c’était menti. »
J’suis compétent. « Si tu m’crois pas hey ! Tare ta gueule à la récré. »
« Passez notre amour à la machine. Faites bouillir pour voir si les couleurs d’origine
Peuvent revenir. Est-ce qu’on peut ravoir à l’eau de Javel des sentiments, la blancheur qu’on croyait éternelle, avant ? »
- « Tu vois pas qu’on s’aime pas. »
« Ecoutez d’où ma peine vient. »
« Tu verras qu’un beau matin fatigué, j’irai m’asseoir sur le trottoir d’à-côté. Tu verras bien qu’il n’y aura pas que moi assis parterre comme çà. »
« C’est comme vous voulez. Où vous irez, j’irai » (reprise du tube de Kouchner).
Rétines et pupilles,
Les garçons ont les yeux qui brillent
Pour un jeu de dupes :
Voir si Jupé s’défile.
Et la vie toute entière,
Absorbés par cette affaire,
Par ce jeu de dupes :
Voir si Jupé s’défile.
Remaniement bobo : han han, c’que tu m’a fait c’est pas beau.
« Les cadors on les retrouve aux belles places, Nickel. Les autres, c’est Saint-Maur, Châteauroux Palace, plus de ciel. » Jean-Louis se sent « comme dans ces nouvelles pour
dames de Somerset Maugham. » Tu verras qu’il finira sur la « Rive gauche à Paris »...
« Oh, oh, oh, et je rêve
Que Soudan, mon pays, soudain, se soulève...
Oh, oh, rêver, c’est déjà ça, c’est déjà ça. »
Mais on avance, on avance, on avance. C’est une évidence, j’ai pas assez d’essence pour faire la route dans l’aut’ sens.
Papa mambo. On est foutu, mon Borloo. Qu’est-ce qu’on f’ra quand on s’ra gros.
« Elle dit que je suis carrément méchant, jamais content. » Pourtant je plais aux « foules sentimentales. » Oui, je sais, tout ceci n’est qu’une « banale song ».
Alors, « saute en l’air ! » car...
« La vie ne vaut rien, rien, rien, la vie ne vaut rien
Mais moi quand je tiens, tiens,
Là dans mes mains éblouies,
Les deux jolis petits seins de mon amie,
Là je dis rien, rien, rien, rien ne vaut la vie »