Cet article est assez ignoble en terme de propagande, n’hésitant pas à réutiliser les vieilles recettes de maquerelle.
D’autres esprits chagrins allant jusqu’à prôner un retour aux monnaies nationales
Forcément chagrins.....
N’en doutons pas l’euro est l’épouvantail des détracteurs de l’intégration européenne et des partisans du repli national
Le coup du « repli national », là il faudrait accorder la médaille de l’expression nocive la plus éculée et mensongère. Le repli national, pour échapper au bourrelet européen remarque...
Et « épouvantail », comme si la critique de l’euro s’arrêtait à une dénonciation de surface.
L’Union doit se doter d’un mécanisme permanent de gestion de la crise qui responsabilise les Etats et qui garantisse une gouvernance démocratique par l’intermédiaire du Parlement européen.
Là il faut arrêter de se moquer du monde, cela fait depuis sa création que l’on dit cela, et toutes les décisions sont parties dans le sens opposé. Si on veut, on peut continuer pendant des siècles.
Ce n’est pas comme cela que ça se passe.
- Déjà un gouvernement global même parlementaire n’est pas mieux, pas plus démocratique, même s’il fonctionnait correctement. En quoi une minorité de français et une majorité d’autres parlementaires auraient droit de dicter ce qui se passe en France ?
- La commission et les lobbyistes rédigent leurs lois, puis ils présentent cela aux « élus ». Signez là s’il vous plait, pas la peine de lire vous avez vu la taille du texte, avez vous aimer ce restaurant ?
Soit ils font le choix de restreindre leurs marges de manœuvre
nationales pour élaborer des réponses européennes à la mesure des défis
d’une économie mondialisée, ou bien
de limiter l’empreinte européenne sur les politiques nationales en
risquant de se soumettre sur le long terme aux choix économiques et
politiques des économies émergentes.
Conclusion : seulement 2 alternatives, dont celle souhaitée, fin de toute démocratie et des nations, subordination entière et totale à la dictature européenne. Et bien sur, totale impossibilité de sortir du racket monétaire de l’argent dette.
Et bien non, la solution la meilleure, c’est la troisième, celle du PROGRÈS : l’europe et la mondialisation sont des échecs, on reprend nos billes, et on reconstruit notre pays, encore plus abimé qu’après l’occupation allemande de 40.
Et on retrouve un essor comparable à celui des 30 glorieuses, oui, l’époque où l’Europe n’avait pas massacré notre souveraineté, notre économie et notre social.
L’époque où la France était indépendante.