Aucune loi de genre n’est acceptable. Une loi de genre est équivalente à une loi raciste, ou aux lois antijuives par exemples, c’est-à-dire des lois qui désignent un grouper en tant que criminel potentiel.
C’est une dérive grave, il faut en prendre conscience. On veut nous faire avaler cela l’air de rien. Il n’est pas légitime de défendre des lois de genre.
Ceux et celles qui ne le comprennent pas devraient se remémorer le code Napoléon ou l’étoile jaune.
Si l’on veut criminaliser les hommes dans leur ensemble pour les meurtres conjugaux dont les femmes sont victimes, alors prenons la suggestion de Paconform et donnons une raison autre que le genre : rétablissons par exemple l’homme en chef de famille !... Ainsi tout crime aggravé sur une femme le sera non à cause du genre, auquel on ne peut rien changer et par lequel on est condamné d’avance, mais par un abus de fonction comme l’adulte sur un mineur. A défaut de cet ascendant juridique, homme et femme doivent être considérés comme égaux et la loi ne doit faire aucune distinction entre eux du fait de leur genre.
Le féminisme montre ici la nature de son idéologie : suprémaciste,
communautariste, équivalente raciste, élitiste, essentialiste : une
idéologie digne des années 1930.
Il se joue sur un décalage : des femmes subissent des discriminations
et de la violence, et c’est en leur nom que le mouvement prétend se
battre. Mais les leaders bourgeoises du mouvement ne réclament que des
postes à pouvoir. Elles se servent du peuple pour se placer. L’égalité
des fonctions dirigeantes ne servira en rien les femmes et les hommes du
peuple. Les caissières de supermarchés ne sont pas les copines des
grandes bourgeoises riches formées dans les université qui dirigent le
mouvement et disent ce qu’il faut penser.
Quand aux filles tuées, comme en Inde, personne ici ne dit que c’est normal.
Et corriger des injustice ne signifie pas en créer de nouvelles.