"Je ne sais qu’elle est la qualité de l’air du Venezuela mais à voir la
forme olympique du retour d’Usain Bolt, pardon de Mélenchon, l’Usain
Bolt de la politique qui se balade vingt mètres devant les autres, on imagine que la saison va être chaude.«
Sachant que Bolt est un spécialiste du 100 et du 200 m, c’est à dire des distances courtes et que la politique tient plus du marathon, au bout de combien de temps Mémé va t-il exploser et finir comme le lièvre de la fable ?
»Il va lui suffire, très rapidement, de faire signer une loi organique
puisqu’il n’est plus nécessaire, d’après le conseil, coup de tonnerre du
9 août, d’inscrire cette loi dans la constitution. C’est une haute
trahison à l’égard de l’Etat-Nation.«
Le Conseil Constitutionnel statue en fonction des textes fondamentaux, non en fonction des intérêts partisans. LE CC n’a jamais été pris en flagrant délit de manipulation. Que vous n’aimiez pas la décision, c’est normal.
Mais il est inacceptable de votre part de juger cet organe étatique parce qu’il ne va pas dans le sens que vous voulez.
» Mélenchon dans un élan de gravité et de colère, l’ironie n’en étant pas
moins évidente, se demande comment un parti de « gauche » ne pourrait
pas soutenir un gouvernement Sud-Américain de gauche.«
C’est quand même culotté de sa part ! Assange n’est pas un martyr de la liberté d’expression, il est recherché pour un double viol ! Et il fait tout pour ne pas à en répondre devant la justice suédoise, qui est loin d’être la plus violente et injuste du monde !
Enfin, Mémé devrait se méfier de se fréquentations. Le gouvernement équatorien aime faire deux poids deux mesures. Il invoque le risque pour Assange d’être extradé vers les USA ou il risque la prison à vie mais il cherche à se débarrasser d’un ancien policier Biélorusse visé par Minsk pour trahison, et qui lui risque la mort...
Mais je suis certain que Mémé va tout arranger.
» Or l’Etat est actionnaire à 41 % de Thalès. Il était donc tout à fait
possible, comme les syndicats l’ont demandé, que les représentants de
l’Etat, lors du vote des actionnaires, arrêtent ce procédé de
liquidation."
Faux. L’ Etat ne contrôle que 27 % du capital, et le plus souvent de façon indirecte.