L’ouverture des frontières au commerce international a augmenté le volume des richesses mondiale, mais la répartition a été encore plus inégale, profitant de l’exploitation de la pauvreté et en même temps développant les mécanismes de crédits pour faire exploser les dettes dans tous les pays accédant au commerce international.
Les richesses sont bien plus élevés, ce qui devrait normalement dans les théories économiques classiques augmenter le niveau du PIB (produit intérieur brut) et du PNB (produit national brut), mais ce sont les multinationales et les banques qui ont vu augmenter de manière très élevée leurs profits, dépassant largement celui des Etats pauvres. Même la FIFA, entité footballistique, dépasse le budget de la France.
La répartition des revenus a été écrasé, elle n’a pas bénécifié aux populations, comme auparavant on parlait d’une société de loisir et de meilleure distribution des revenus pour vivre sans se soucier du lendemain.
Les populations ont vus leurs niveaux de vie se réduire, avec des délocalisations d’industries et de services, et des grandes multinationales détruisant peu à peu le tissu local, et aucune distribution des revenus pour compenser ses pertes. Au contraire pour amplifier ses rendements financiers, ce sont des contrats précaires et même à titre gratuit, c’est à dire que travailler devient déficitaire avec les paiements de la vie de tous les jours. Cet accroissement des richesses a finalement engendré une précarisation de la société par les contrats de travail, avec les délocalisations d’entreprises et la baisse des recettes publics qui s’en suivra de facto.
L’ouverture des industries et des services en Asie principalement n’a même pas bénéficé aux populations locales, avec des salaires de misères pour vivre, alors qu’ils sont dans de grandes sociétés côtées en bourse ou rentable à l’export. De nouveau, les profits de l’ouverture des marchés vont dans le même sens. C’est un problème qui concerne tous les secteurs d’activités.
Les dettes ont explosés même en Chine, qui est considéré comme une bombe financière à retardement, par ses investissements colossaux et la spéculation qui en a suivi. Les richesses mondiale ont augmentés, avec des taux de croissance de pays (sans importance auparavant) que même des spécialistes en économie évoquait pour montrer l’évolution de la rentabilité, et la redistribution n’a pas suivi et a même baissé, avec son lot de dettes non remboursables.
Les citoyens ne peuvent pas dans ce type de mécanisme financier, se projeter dans l’avenir, puisque le niveau de vie ne tient pas compte d’une redistribution des revenus pour la communauté.