Et de plus, j’ajouterais un point qui n’intéresserait que localement si ce n’était pas la municipalité sous contrôle du ministère de l’intérieur, qu’à ne pas vouloir mettre la vidéosurveillance là où elle aurait pu être demandée (notamment dans quelques sous terrains - de quelques mètres et grand ouverts sur l’extérieur ou à l’entrée de certains parkings - le vrai métier de Vinci), cette municipalité sans vrai scrupules, probablement d’extrême gauche (à ne pas respecter les propriétaires et les intellectuels), continue à spolier ceux qui ont choisi de vivre à Evry pour son environnement artistique.

Aussi, de ne vouloir mettre une vidéosurveillance dans un espace en site propre des transports urbains, l’oeuvre artistique des miroirs va être détruite, les riverains auront tous les bruits de ce lieu où s’arrêtent quasi toutes les lignes de la ville.

De n’avoir voulu écouter - probablement au profit des propriétaires de bureaux du bâtiment des miroirs (miroirs comme son nom l’indique) dont les syndics n’ont pas effectué les travaux d’entretien nécessaires plus encore durant ces 11 années collectant pourtant des charges (ont même prétendu que c’était « bourré » d’amiante alors qu’il n’y en a pas sur ce quartier en montrant des joints de carreaux en désagrégation. Le mensonge à Evry est une pratique et même un sport !), la mairie étant il me semble un peu propriétaire là-dedans va récupérer les indemnités et autres rachats, de ce lieu dévasté avant d’être détruits, voués aux géhennes.

Ainsi, l’équilibre habitat/artisanat et tertiaire ne sera plus respecté.

Ceux qui ont construit la ville humaine d’Evry saluent ce conglomérat indigeste qui amènent des tours carrées, disproportionnées les unes par rapport aux autres, de plus de 20 étages dans son centre ville...ce qui sidère tous ceux qui entrent dans la ville.

Enfin, dans ce marasme économique, le complexe du grand stade de rugby de la FFR qui apportera sa part pour le stade (200 millions d’euros) coûtera au total 550 millions d’euros que paieront ces richissimes d’Evry et du département de l’Essonne - qui donne 50 millions de nos sous (localement : impôts locaux = impôts nationaux et les deux s’additionnent) et du département, en vue d’une hypothétique fréquentation par les gens qui auront les moyens : de se payer une place dans le stade et de fréquenter cette « usine à bien-être » à 30 km de Paris.

Sans doute suis-je « mauvaise langue » car la municipalité a reçu le premier prix de la concertation/démocratie participative, tout en mettant de côté un président du Conseil Général que les essonniens adoraient, pour preuve, il a été élu au sénat où il a été contraint de se présenter un candidat libre...

Vive la liberté des candidats libres ! vive Berson !