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Commentaire de jjwaDal

sur Les riches ont peur, les peuples vont trinquer


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jjwaDal jjwaDal 22 juin 2013 19:36

Je ne suis pas expert en économie et je peux évidemment commettre quelques erreurs (bon d’accord eux aussi...) mais il me semble que les USA comme l’europe ont choisis d’alimenter une future bulle (certains l’appellent la « mère des bulles financières ») en créant en très peu de temps des sommes se comptant en milliers de milliards de $ et €. Ces sommes ont été pour l’essentiel dirigées vers l’économie virtuelle pour la sauvegarder au détriment de l’économie réelle. Millions d’habitations saisies aux USA, prise des peuples en ôtage en europe avec le piège de l’austérité généralisée symétriquement à l’accroissement de l’endettement des Etats (cautions du système financier).
  Pour les USA la fuite en avant (on se refera une santé demain et alors on paiera nos dettes) pour l’europe on se serre la ceinture et avec des revenus diminués on rembourse au plus vite nos (leurs) dettes.
  Mais ces sommes gigantesques qui ont marginalement servies à relancer l’économie doivent impérativement trouver une contrepartie dans le monde réel, ce qui implique un accès libre à des « marchandises » qui étaient inachetables jusque là. D’où la nécessité impérative de relancer l’AGCS pour rendre tout privatisable et donc marchandisable. La bulle immobilière aura bien saignés les primo acquérants un peu partout mais avait des limites intrinsèques. Quelle bulle vont-ils sortir de leur chapeau pour se « refaire » (si même c’est possible à ce niveau). Terres agricoles ? Agrocarburants ? Ressources minières et alimentaires ? Marchés des droits d’émission de CO2 ?
  Une chose me paraît plus que probable. Le partenariat USA/Europe en complot vise à arriver à la prochaine session AGCS en force pour imposer la mise à disposition des prédateurs de tout ce qui à une valeur.
  Toute la question est de savoir si nous serons assez nombreux et futés pour exposer ces vampires à la lumière avant que leur goût immodéré (du fric, pas du sang voyons) ne nous envoie tous un siècle en arrière. Pas gagné. Pas perdu non plus.


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