Je me joins à la dénonciation de la violence.
Cela dit je ne défends pas la Presse.
Je soutiens les personnes victimes de la violence.
Je soutiens les journalistes et photographes qui sont victimes de ce genre d’attaques.
Je soutiens aussi les victimes innocentes des bombardements, en Libye ou ailleurs, provoqués par la Presse. Les dizaines de milliers d’enfants déchiquetés entre autres au seul et unique motif des mensonges de la Presse.
La Presse ne mérite certainement plus d’être défendue contre quoi que ce soit. Seules les victimes directes de la violence le méritent. Espérons que ça ouvrira les yeux de la Presse sur ce que sont réellement les crimes qu’ils soutiennent et font commettre, car ils sont directement responsables de centaines de milliers de fois ce qu’ils viennent de subir.
En attendant que les journalistes soient libérés du joug dictatorial et totalitaire de la Presse, et que l’information redevienne libre, nous ne pouvons que soutenir toutes les victimes... mais pas la Presse qui est bien plus responsable que victime de presque tout les problèmes de notre pays ou que notre pays cause un peu partout dans le monde.
La violence est la dernière des solutions. Peut-être bien que cette attaque n’est pas politique ou même vengeresse mais simplement le fruit d’un déséquilibré... mais si la Presse croit qu’elle échappera longtemps à la colère du peuple, elle se met le doigt dans l’œil. Elle n’échappera à cette colère que si elle recommence à faire son travail plutôt que de faire l’inverse, sinon elle attisera la colère de TOUS et immanquablement la haine puis la violence de certaines de ses victimes.
Libérons l’information du joug de la Presse ploutocratique, sauvons la démocratie.