Il est navrant de voir une telle situation, et la douleur d’une famille devant la perte d’un enfant. Mais, en France, il existe des lois qui règlent les procédures d’inhumation. Je vais prendre mon exemple : mon beau-père est décédé à son domicile, dans une commune proche d’Agen. Ma belle-mère a voulu qu’il soit inhumé à Agen, mais elle s’est heurtée à un refus catégorique. En effet, mes beaux-parents n’étant pas domiciliés à Agen, ni inscrits sur les listes électorales, l’Administration l’interdisait. Alors, une question se pose : la famille de cet enfant est-elle inscrite sur les listes électorales, et réside-t-elle à Champlan ? Dans la négative, l’administration communale n’a fait qu’appliquer la loi, qui est la même pour tous ! Ce qui ne signifie pas que le maire était au courant. De plus, dans cette affaire, on parle de roms, et non de roumains ! Même en Roumanie ou en Bulgarie, ils ne sont pas considérés comme des citoyens à part entière, car ils ont toujours refusé de s’intégrer. Alors, quand ces deux pays ont pu rejoindre la Communauté Européenne, ils en ont profité pour « se débarrasser » de cette population inassimilable venue d’ailleurs ( d’Inde, je crois ). Le véritable scandale, c’est de voir ces familles roms coucher sous les échangeurs d’autoroutes de la banlieue parisienne, et leurs enfants poussés à la délinquance par des mafias.