@njama
Un poison reste un poison, même à petites doses, et ce n’est pas en multipliant les obligations vaccinales sur des sujets sains...
Le vaccin a deux parties : l’une essaye de stimuler artificiellement un processus immunitaire, dans un organisme qui n’est pas forcément capable de faire face à cette sollicitation, soit parce qu’il est immature (avant deux ans pour le moins), soit parce qu’il est génétiquement incompétent. Pour ce faire, on utilise une voix d’abord (à travers la peau) qui ne ressemble pas du tout au processus naturel (qui sollicite les défenses des barrières cutanéo-muqueuses -sauf dans le cas du tétanos, qui d’ailleurs n’immunise pas). La réponse sera donc nécessairement non-conforme à celle du processus naturel, avec pour résultat un semblant d’immunité purement humorale (les anticorps) et aucune immunité cellulaire (d’où une protection très insuffisante et surtout peu durable).
Il est de plus logique de penser que si les organismes sains peuvent répondre au vaccin, ils répondront tout aussi bien la maladie, et n’ont donc pas besoin de vaccin.
Les organismes incompétents contre la maladie le seront en revanche tout autant pour réagir à la vaccination.
C’est-à-dire qu’on vaccine inutilement ceux qui n’en ont pas besoin, et inefficacement ceux qui en auraient besoin. Pour les uns comme pour les autres, il ne reste que le danger des adjuvants.
Le but affirmé des vaccins est d’obtenir la formation d’anticorps : ceux-ci ne représentent pourtant que 5 % des défenses acquises par la maladie, les 95% qui restent manquent et manqueront toujours.
Mais cela fait plaisir à voir : dans une société du spectacle, il faut avoir quelque chose à montrer...Ici, les anticorps font le show, comme la mouche du coche. Sauf qu’il n’y a même pas de coche. Un spectacle qui se réduit à l’affiche.
L’autre partie des vaccins est juste toxique, avec un choix parmi près de 80 produits, tous réputés dangereux, voire cancérigènes, sans compter maintenant les nano-particules, qui font fureur.
Et on voudrait que j’injecte ça sous la peau d’un nourrisson qui ne m’a rien fait ?