Personnellement, je suis absolument convaincu que le programme Apollo était une arnaque.
Bien sûr, je ne doute pas de la terre sphérique qui tourne sur elle-même et autour du soleil, je ne doute pas de l’existence des satellites, et je suis convaincu que la terre plate sert à couvrir l’arnaque du programme Apollo, en la décrédibilisant par association avec une théorie complètement débile et retardée.
Je l’intéresse au programme Apollo depuis 2009, et je ne me suis pas seulement intéressé aux photos et vidéos d’Apollo (qui, quoi qu’en disent certains, contiennent bel et bien plein d’anomalies), mais aussi à sa technologie, en lisant plein de documents techniques disponibles sur la librairie en ligne de la NASA.
Savez-vous que les commande de roulis et de tangage de l’interface de commande du RCS décrit dans le manuel technique du module lunaire activaient des réacteur latéraux verticaux directement opposés l’un à l’autre, et je veux dire sur la même grappe, pas sur deux grappes différentes ; comment cela pouvait-il marcher ?
Ne parlons pas du système de désignation du point d’alunissage, dans lequel un astronaute disait à l’autre sur quelle graduation de l’échelle graduée de la fenêtre l’ordinateur voyait le point courant d’alunissage, le second astronaute regardait sur quelle graduation il voyait le point d’alunissage désiré, et disait à l’autre la différence en nombre de graduations, et le premier astronaute faisait autant de manipulations sur la manette de contrôle que cette différence.
A mourir de rire, avec ce système l’ordinateur avait toutes les chances de louper le point d’alunissage désiré, alors qu’il aurait suffi d’utiliser un pointeur de visée et l’astronaute aurait pointé la mire sur le point d’alunissage désiré et appuyé sur un bouton pour indiquer à l’ordinateur où était le point d’alunissage désiré ; et ce n’est pas parce que la technologie ne permettait pas de le faire, un tel système était utilisé pour la visée d’étoile (c’est d’ailleurs le principe de fonctionnement des souris mécaniques).
Dans tout ce que j’ai vu, il n’y avait rien qui marchait :
- Un modulateur FM qui ne pouvait marcher tel que montré (la fréquence des deux branches de la PLL était abusivement divisée).
- Un convertisseur analogique/numérique qui ne pouvait marcher tel que montré (les sorties indiquées n’étaient même pas les bonnes).
- Un multiplexeur digital qui ne pouvait pas marcher tel que montré (à cause de diodes manquantes).
- Un registre à décalage qui ne sortait que des zéros (par ce qu’il manque la commande de chargement parallèle).
Et puis l’ordinateur du module lunaire n’avait aucune chance de marcher, sa mémoire cumulait les anomalies (en particulier le circuit RC de mémorisation manquait sur le secondaire du transformateur de transmission du bit lu à l’amplificateur de bit), en plus d’erreurs (intentionnelles) évidentes dans le montage de l’amplificateur ; et, dans la memoire dynamique (RAM), le circuit d’écriture et le circuit de lecture partageaient une partie commune, ce qui est une totale hérésie.
Et puis la manière dont l’ordinateur fonctionnait était une grosse rigolade, avec l’utilisateur qui devait insérer lui-même des séquences répétitives de test de changement de tâche dans son programme, parce que le système n’était pas capable de le gérer automatiquement, séquences qui sont d’ailleurs totalement absentes dans un exemple de programme d’Apollo donné par la NASA.
Par contre, l’ordinateur IBM de la fusée Saturn était un ordinateur parfaitement normal, je n’y ai rien trouvé à redire.