@V_Parlier
Je vous rejoins sur cette opinion.
http://lesakerfrancophone.fr/trump-contre-la-fed-lamerique-sacrifiee-sur-lautel-du-nom
The Saker énonce dans cet article en lien :
Au contraire, l’Amérique est plus comme un hôte des parasites
globalisants, et une fois que l’hôte est vidé de toute vitalité, les
parasites partiront et passeront à des cibles plus grandes et
meilleures.
Et c’est le point clé. La symbiose (nations occidentales, globalistes) s’est transformée en
parasitisme au détriment de l’hôte : l’Occident (les nations).
Le parasite aura besoin
de nouveaux hôtes (la Chine, l’Inde, la Russie ...). C’est déjà ce qu’il anticipait en 1988 si l’on prend au sérieux un plan stratégique élaboré dans un contexte géopolitique fort distinct, notamment par la réussite manifeste du projet multipolaire mené avec brio par la Russie de Poutine qui s’est donnée les moyens de le soutenir contre le bras armé des globalistes : les USA parasités.
L’exemple de ce
cocufiage de l’Occident ainsi que le gap
civilisationnel permettront-t-ils aux nouveaux candidats hôtes de
développer une résistance ?
Affaire d’opinion mais probablement sauf s’ils sont demeurés, retiendront-ils les leçons de l’histoire.
Enfin j’assiste à l’expression de problèmes de ressources que la Chine aurait à rencontrer, comme si l’Europe ou les US n’étaient pas touchés. Le problème sera mondial, Certes la Chine doit subvenir à une immense population (qui surconsomme toutefois infiniment moins que le gâchis US) mais il faut se rappeler qu’ils ont un voisin aux ressources immenses avec lequel ils peuvent poursuivre une symbiose (pour le moment réussie). Le premier exportateur de blé est désormais la Russie par exemple et c’est extensible dans bien d’autres domaines.
Il faut remercier l’impéritie de la politique étrangère US des 15 dernières années et leur obstination à refuser la main tendue par Poutine.
On peut ainsi conclure : la Chine arbitre (économiquement), la Russie veille (militairement).