@Macondo
Si le moment adviendrait pour une éventuelle publication, je sais où vous trouver. Merci à vous. L’expansion est ce Tout nécrosé que nous sommes contraints d’accepter d’une sourde voix tout en lui refusant son utilité anthropologique car ceci n’a rien d’humain, c’est-à-dire plus admiré sous un libre-arbitre consciencieux de ce qui est sensible et non paternalisé par le sur-moi économique et son écrasant dispositif à faire perdre tout espoir de guérison mentale même au plus malchanceux. Je vois tout les jours s’effondrer les regards joyeux d’une vie à la campagne où les enfants font l’exemple de leur monumentalité future et leur capacité à pouvoir cultiver quelque poireau ou poivron. Aujourd’hui nous sommes contraints de leur individualiser leur sort par l’autorité marchande et de leur asperger par le regard chimique et j’y comprends plus rien. Le bien pire dans la chronologie qu’on continue à dessiner de vive main, c’est que les brèves aventures qu’on interprète sous les lumières des néons exhibant cette inoffensive physionomie du monde contemporain d’être seulement l’intelligence technique de l’être humain qui ne comprend plus rien de ses créations et qui commencent à devenir autonomes. Les cauchemars se poursuivent et le bureau appelle à la décence malgré le fait que la pointeuse à déjà proposé à la médiocrité de se pointer. Je vous le dis sincèrement, je me lasse immanquablement de ces tonnages de commentaires où l’on exhibe l’argumentaire « qu’il faut bien faire avec » et qu’il faut évidemment occuper les enfants non pas avec des paroles, d’une communauté ou ne fut-ce que du repos, non ! La tablette que ces maîtres névropathes élaborent derrière des portes scellées est appelée à l’achat, ouvragé quelque part là-bas où on se suicide par milliers. La domination de la civilisation aura atteint son paroxysme une fois que le dernier désordre sera archivé sur papier avec des tampons tel les porcs qu’on numérote au service de la traçabilité avant de goûter à leur inconséquence en se faisant abattre pour nourrir une population malade de ses promesses. Que nos vies ressentent la douleur elle-même remodelée. Comme j’ai mentionné plus haut, mon fil d’écriture est placé sur cet autel : Il n’y a pas d’issue.