@CoolDude
Vous dites : Quand on veut parler des Chrétiens,
pour bien faire, il faudrait citer les deux testaments : L’ancien
testament pour ce qui a été dit et écrit... Et le nouveau, ce que le Christ en
a dit.
Vous devriez ajouter : pour bien faire il faut citer aussi ce qu’en dit l’église catholique
d’aujourd’hui. On constate alors que, pour elle, la « dureté » du Christ décrit par l’auteur
du présent article est une infinie « gentillesse ».
« Dans » le Livre de Josué
l’Église actuelle prétend, pas moins et très explicitement, que Jésus et Josué
sont en fait une même personne, et que Jésus viendra plus tard expliquer
pourquoi tous les massacres commis par Josué
à la tête de « l’armée de Dieu » sont de bons massacres :
Le Livre de
Josué raconte, certes, l’entrée des Hébreux en Terre promise, mais renvoie
surtout au Christ, le Sauveur, venu dans le monde pour combattre le mal au nom
de son Père, afin que l’homme ne s’éloigne pas de son amour. Ce qui doit en
effet conduire la lecture, c’est l’identité entre le nom de Josué et celui de
Jésus : deux noms qui n’en sont qu’un seul et unique qui signifie
« Dieu sauve », « Dieu le Sauveur ». L’ensemble du livre de Josué est une figure de la vie et de l’oeuvre
qui seront celles de Jésus Christ. (1). Le Dieu Sauveur fait entrer son peuple, l’humanité, dans la
Terre promise, figure du royaume à venir, le Royaume des Cieux.
Lire Josué,
c’est donc lire aussi l’histoire de Jésus qui n’est cependant livrée, dans son
intégralité, que dans le Nouveau Testament et dont on ne peut négliger
l’absolue nouveauté. C’est dans les évangiles que nous apprenons à connaître
l’Homme-Dieu.
(1) C’est moi qui souligne