Dans son roman 1984, Orwell écrivait :
« Ce processus de continuelles retouches était appliqué, non seulement aux journaux, mais aux livres, périodiques, pamphlets, affiches, prospectus, films, enregistrements sonores, caricatures, photographies. Il était appliqué à tous les genres imaginables de littérature ou de documentation qui pouvaient comporter quelque signification politique ou idéologique. Jour par jour, et presque minute par minute, le passé était mis à jour. On pouvait ainsi prouver, avec documents à l’appui, que les prédictions faites par le Parti s’étaient trouvées vérifiées. Aucune opinion, aucune information ne restait consignée, qui aurait pu se trouver en conflit avec les besoins du moment. L’Histoire tout entière était un palimpseste gratté et réécrit aussi souvent que c’était nécessaire. Le changement effectué, il n’aurait été possible en aucun cas de prouver qu’il y avait eu falsification. »
Donc maintenant, il est interdit de parler des vaccins : blasphème !!! Parce qu’évidemment on n’en parle que pour en dire du mal, puisqu’ils sont mauvais.
Depuis toujours, nous avions les religions. C’était bien commode.
Les gaulois, par toutatis, avaient peur que le ciel leur tombe sur la tête.
Les religions ont créé la peur de l’enfer.
Donc il fallait obéir ou risquer d’y bruler dans ses flammes.
Puis, la foi s’est émoussée. C’était pourtant commode : les arabes à quatre pattes 5 fois par jour, les catholiques à genoux...
Alors on a inventé la religion du terrorisme. Patriot Act, et début de la fin des libertés et des doits civiques.
Et puis là aussi, ça s’est effrité : benladen dans sa grotte, ça ne prenait plus trop.
Alors on a inventé la religion du CO2 : ça c’est au poil : c’est mondial, tout les hommes ont peur, tous sont coupables, et tous ils doivent payer.
Maintenant, c’est la religion du covid et de son vaccin : tous en taule à la maison et tout le monde est prié de crever de trouille.
Fin de toutes les libertés, y-compris celle de respirer.
Est-ce que les hommes vont enfin comprendre, cette fois, à quel point on se fout d’eux ?
Michalac, ta gueule.