Lorsque je travaillais encore (avant le 27/12/2013), un jour quelconque de la semaine , heure du café , un portable sonne, visible sur l’écran : « pilule » !. Portable d’une collègue. Pas le seul à avoir vu, le lendemain, même heure, même sonnerie, plusieurs voix (masculines ET féminines) se sont exclamées :« Laur..., pilule ! Elle avait comme un air gêné. Travaillant en face d’elle, je lui ai dit : ou tu te souviens de tes contraintes et tu n’as pas besoin qu’un truc te le rappelle ou tu vires les notifications qui t’affichent ce qui doit rester privé. Dont acte. Le lendemain, même heure, même situation (café), pas de sonnerie. Un GROS con demande : » Laur.. t’as pas une pilule à prendre ? Avant qu’elle réagisse (un peu perturbée), je suis intervenu : « Sa vie sexuelle te regarde ? » J’ai eu droit à un truc de genre :« Ah ben oui mais , comme hier ... » Re-intervention de ma part : « Hier comme aujourd’hui, tu n’avais rien à dire et encore moins à réagir. Divulguer ce qui s’affiche sur un appareil personnel relève de la violation du secret de la correspondance. C’est comme si tu avais ouvert une lettre qui ne t’était pas adressée. Et c’est un délit passible de la correctionnelle. Silence radio, harcèlement (parce que c’en est un) fini. Ce que je n’accepte pas dans cette affaire, nous étions tous une équipe qualifiée »d’experts« , dans des domaines très variés, informatique, commerce, juridique, mais que je fus le seul à réagir, sur une douzaine de personnes qui aurient dû avoir plus de compétences que moi, puisque d’origine des dits domaines alors que je n’étais que »technicien", électricité et électronique de puissance, en reclassement suite à la disparition de mon emploi.