@pemile

Je propose un paradigme de pensée en dehors de l’existence des virus qui restent des artefacts.

Le monde dans lequel je vis s’explique bien plus facilement sans virus. Vous n’avez aucune obligation de valider ce paradigme. Vous pouvez continuer à croire aux virus, à la vaccination qui sauve des vies. Bref, c’est votre choix.

Mais laissez aux autres le choix de la décision et de la réflexion. Il y a ici, sur Agoravox, de nombreux « non vaccinés », toujours en vie. Etonnant non ? 

Alors, figurez vous que ce paradigme de pensée, hors du champ des virus-artefacts, permet de réfléchir à santé d’une manière différente. En prenant en considération, par exemple, la stabilité de l’équilibre redox de l’organisme. Voyez vous, pemile, la vaccination et les virus, ne sont d’aucun intérêt pour réfléchir à l’équilibre redox, sans doute l’une des fonctions physiologiques à surveiller de très près et à « renforcer », le cas échéant, chez les personnes à l’immunité affaiblie. Parce que, pemile, les maladies métaboliques se signalent toutes par un équilibre redox rompu.

Permettez moi, dans mes interventions, d’attirer l’attention du lecteur sur ce sujet, si peu fréquemment discuté et encore plus souvent méconnu. Il y a même une « théorie du stress oxydatif » qui a été élaborée par le chimiste-biologiste Denham Harman dans les années 1950. Cette théorie a été perdue de vue pour diverses raisons. Mais cette théorie revient aujourd’hui en force à l’appui de nouvelles découvertes mais qui ne concernent pas les virus.

Exemple d’étude sur le stress oxydatif : 
... « Le rapport élevé neutrophiles/lymphocytes observé chez les patients gravement malades atteints de COVID-19 est associé à des niveaux excessifs d’espèces réactives de l’oxygène (ROS), qui favorisent une cascade d’événements biologiques à l’origine de réponses pathologiques de l’hôte. Les ROS (le stress oxydatif) induisent des lésions tissulaires, une thrombose et un dysfonctionnement des globules rouges, qui contribuent à la gravité de la maladie COVID-19. Nous suggérons que les piégeurs de radicaux libres pourraient être bénéfiques pour les patients les plus vulnérables. »...
... Un grand nombre de patients admis en réanimation après une infection lors de la COVID-19, présente une proportion de neutrophiles anormalement élevée ainsi que des défenses antioxydantes altérées. Ces cellules sanguines s’activent et produisent des radicaux libres (espèces réactives de l’oxygène)....
... Cette conception pourrait rendre compte des thromboses diffuses, des atteintes multi-tissulaires ainsi que du maintien d’une hypoxémie (diminution de la quantité d’oxygène transportée dans le sang) en dépit du fait que ces mêmes patients soient placés sous assistance respiratoire. Cette approche pourrait également expliquer pourquoi les enfants aux neutrophiles moins réactifs et aux défenses antioxydantes plus efficaces, sont moins concernés par les formes sévères de la COVID-19. La recherche de l’évolution de marqueurs biologiques de stress oxydant et de neutrophiles activés pourrait ainsi faire partie du bilan des patients afin d’identifier ceux susceptibles de s’aggraver.

... « Cette hypothèse permettra aux patients présentant ces caractéristiques biologiques de bénéficier d’un traitement piégeant les radicaux libres et inhibant les neutrophiles activés. Cette approche précoce et personnalisée des patients pourrait conduire à une diminution de la proportion de formes d’évolution sévères conduisant les patients en réanimation et, in fine, réduire la mortalité. »...

Pas un seul virus à l’horizon pemile ! Si vous le souhaitez je peux vous donner des pistes de réflexion pour améliorer votre équilibre redox ?