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yann syz

yann syz

Maire adjoint de Lorient chargé de la santé, responsable des affaires extérieures de la fédération Morbihan de l’Union Démocratique Bretonne.

Tableau de bord

  • Premier article le 25/10/2007
  • Modérateur depuis le 11/06/2008
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Ses articles classés par : nombre de réactions












Derniers commentaires



  • yann syz yann syz 3 février 2010 18:16

    Marquis :

    la phrase concernée est maladroite mais se voulait claire :Mais parfois, on aurait envie que d’autres journalistes que Bernard Guetta et Quentin Dickinson, qui n’ont pas ce travers, sortent du huis clos de Paris

    Citer ces deux journalistes là était une manière de reconnaitre que certains sur l’antenne oeuvrent à faire connaitre les enjeux européen. J’’aurais effectivement dù m’en tenir à B Guetta, car effectivement, l’autre cité est dans une configuration géographique différente, et je le savais. Je voulais simplement mentionner dans une forme d’exception, deux voix qui infirme mon propos.
    Quant à dire qu’un bon journaliste doit-être de telle ou telle région, loin de moi ce propos. Je souhaitais simplement interpeller sur des travers récurent quin consiste à voir l’actu depuis le prisme « françilien »
    Le but n’est pas de blesser qui que ce soit.
    Cordialement
    Yann SYZ



  • yann syz yann syz 12 novembre 2009 09:58

    Bonjour
    une donée me semble absente du débat : l’identité est-elle unique ou plurielle ?

    Qu’est-ce qu’un Français ? C’est un citoyen de France, rien de plus, rien de moins. Que perd un Français s’il est en plus Auvergnat et Européen (ou Breton et Européen, etc.) ? Il ne perd rien, il gagne deux projets collectifs supplémentaires à la place d’un projet unique qui lorqu’il est en panne n’est qu’un passé déprimant.
     La crise du politique est avant tout une crise de projet. La vie collective française n’est plus structurée que par des références à un passé. Or pour construire le vivre ensemble et les dynamiques, les citoyens ont besoin d’entendre un projet d’avenir. Le succès d’Europe écologie tient à cela : énoncer que l’Europe est un projet d’avenir, avec un contenu, des espoirs et des exigences. La contrepartie du message européen, c’est d’assurer aussi le cadre de proximité. Le duo Europe-Région est donc le bon support pour redonner du sens à la politique, pour la tourner vers un futur auquel le citoyen s’identifie



  • yann syz yann syz 5 mars 2009 10:45

    J’ai reçu le commentaire suivant sur mon mail privé, qui complète certains de vos commentaires.

    Bonjour
    j’ai lu avec beaucoup d’attention votre article sur Agora vox. je ne suis pas un spécialiste de la fiscalité, mais il m’apparait évident que des impôts mieux définis et mieux répartis sont un plus. Et savoir pour qui et pourquoi on paye des impôts est toujours plus satisfaisant -et fait mieux passer la pilule !!
    En ce qui concerne le redécoupage administrative. Je suis d’accord avec vous sur l’inutilité des départements, que le regroupement en agglo est nécessaire voire indispensable, mais c’est certainement un des points où le bât blesse le plus. Les administrés des petites communes, qui auraient le plus à gagner dans ces regroupements, en sont souvent les plus grands ennemis. La crainte d’être avalés tout crus, la crainte de voir disparaitre une spécificité locale, les fait passer à côté de tous les avantages que peut présenter un regroupement.
    Nous Français, et donc les Bretons, avons la mauvaise habitude de voir la vie de notre clocher, et de n’admettre les évolutions qu’à la condition que cela ne change en rien nos habitudes, et surtout pour ce que nous prenons pour nos avantages.
    nous reprochons à nos élus d’être inefficaces mais quand on a la possibilité d’en réduire le nombre, nous poussons les hauts cris.
    Et chaque proposition est matière à ergotage, avant même qu’elle n’ait éventuellement vu le jour. Il suffit de voir les discussions sur la "capitale" d’une région Bretagne réunifiée. !!!
    Pour en revenir aux départements, quand je vois avec quelle force, et quelle détermination, de nombreuses personnes -élus compris- ont défendu bec et ongles la mention d’un département sur les nouvelles plaques minéralogiques, je me dis que ce n’est pas gagné.
    cordialement

    Alain http://www.errances.info


  • yann syz yann syz 3 mars 2009 09:59

    Je ne m’attarderais pas à commenter les déclaration du type Bruxelle=etranger, car il faut accepter la complexité du monde : on peut être à la fois breton, français et européen , c’est une vision plus riche que si je suis A je ne suis pas B.... je laisse à l’appréciation collective la phrase de commentaire qui parlent des gens interressants=ceux qui gagne de l’argent, surement inspirée par séguéla.

    Je souhaite simplement souligner un aspect de ma réflexion : pour réussir, l’évolution des institutions gagnera à ne pas être monolithique. Si on veut organiser toute la France de la même manière, les résistances seront trop fortes pour réussir.
    Ainsi, je parle dès le titre d’agglomération pour des facilités de lecture, mais dans des secteurs comme le mien, la notion de "pays" au sens des loi Pasqua et Voynet semble plus appropriée.

    "Pourquoi ?" demande des précisions. Je ne prétend pas détenir seul la solution. Mais on peut imaginer par exemple que agglo ou pays soit les coordonateurs des politiques de proximités avec une clause de compétence générale, que les régions soient chef de file des politiques d’aménagement du territoire, du développement économique, de l’innovation et de la recherche, bref que la région soit le pilote de l’anticipation et des équilibres infra régionnaux.
    Pour le coté recettes , il faut que l’impot ait un lien avec la compétence, pour qu’il soit compris et dynamique : le service au habitant= impot ménage, le développement éco= impot économique....
    Quelques que soit le degré d’autonomie locale, il est nécessaire surtout de maintenir des recettes d’intervention de l’Etat pour qu’il assure la péréquation de l’ensemble, mais au fur et à mesure que l’Etat se désengage des teritoires, comme l’a fait remarquer un intervenant, il garde la main sur lA TVA, l’impot sur le bénéfice des entreprises, l’impot ur le revenu, et redistribue une part déterminé par ses propres critères au local, plaçant les territoires dans une situation de dépandance. C’est cet équilibre aussi qui est à repenser, m^me si les manières d faire sont variées.
    De nombreux acteurs ont écrits des propositions variées sur le sujet, mais cher pourquoi, je vous renverrai bien la question, car les propositions politiques doivent aussi s’appuyer sur le dialogue avec les citoyens, car nul élu ne détiens la vérité vrai à lui tout seul. En tous les cas, malgré les nombreuses critiques que je pourrai formuler sur le résultat final, soulignons que la commission Balladur aura été un excellant moteur pour relancer ces débats. Je m’inquiète donc de lire ceux qui à gauche la rejette en bloc : faisons le tri , retenons les aspect positifs, travaillons les collectivement pour les améliorer vers plus de démocratie et desolidarité, et ne rejettons que les reculs de la démocratie locale. Certains leader de gauche risquent de n’apparaitre que comme des conservateurs si ils ne font pas de contre propositions constructive. Ce cet état d’esprit que je souhaite contribuer à favoriser, mais les solutions techniques ne peuvent être définis que dans le dialogue collectif.

    Yann SYZ
     



  • yann syz yann syz 2 mars 2009 19:06

    @lecanard

    Certes, mais les départements ont surtout été dessinés en fonction des contraintes de déplacement d’il y a plus de deux cent ans (autant dire à une époque pré-bonapartiste).

    Au XXI° siècles, les mobilités ont évoluées et les espaces de décisions avec. 80 % de la vie des gens se passent à l’échelle des pays (ou des agglos, en Bretagne celà se recoupe de plus en plus), et la région structure la plupart des utres mobilitiés journalières.

    Mettre en adéquation les espaces de décisions des aménagements de la vie des citoyens et leurs espaces vécus est une donné de base de la lisibilité démocratique et du sytème, et ne sera supportable par les contribuables que si les autres structures disparaissent.

    Si la région remplace le département comme acteur de coordination, l’égalité n’est pas en danger. Il suffit que les règles de péréquation entres régions soient efficaces. Aujourd’hui, le conservatismeest chez ceux qui ne jure que dans l’héritage des jacobins de la terreurs et de bonaparte.....

    yann syz


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