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Ivan Gonçalves

Ivan Gonçalves

Homo sapiens né au début des années 70, accessoirement diplômé en physique appliquée et en Astronomie.
Signe particulier : cerveau dyslexique.
 
 

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  • Premier article le 24/01/2007
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Derniers commentaires



  • Ivan Gonçalves Ivan Gonçalves 17 septembre 2008 11:16

    Signalons également le système italien HAL9000 qui permet de scanner de très grandes surfaces peintes avec une très grande résolution (spatiale pas spectrale). Voir par exemple cette numérisation de la cène de Léonard de Vinci (16 milliards de pixels) disponible en ligne.

    Il existe également des scanners 3D pour numériser les sculptures, le David de Michel-ange par exemple a été scanné.

    Ce genre de technologie ouvre effectivement de formidables perspectives de conservation et de restauration virtuelle.

    La numérisation des œuvres d’arts aboutira peut-être un jour à un Google art…



  • Ivan Gonçalves Ivan Gonçalves 9 septembre 2008 19:20

    Quelques remarques :

    D’abord le chiffre 450 000 (valable pour la France) doit être comparé au flux de film vu à travers le système de diffusion le plus répandu à savoir le Téléviseur. Il y a à peu près 24 millions de téléviseurs en France qui passe au moins 4 films par jour, le téléchargement ne représente donc que 0.5% de ce flux. (Je parle ici du flux de diffusion, pas du flux d’argent). Ce qui représente en moyenne 1 film par internaute et par mois.

    Par ailleurs une bonne partie de ces téléchargements de films découles de l’utilisation du P2P comme d’un magnétoscope universelle (le format divX permettant une compression 3 à 6 fois plus grande que le format dvd des magnétoscopes du commerce).

    D’autre part il est évident que ces 450000 téléchargements ne se substituent pas à 450000 achats.

    Enfin le téléchargement permet de découvrir d’innombrables films inaccessibles ou rares, le réseau P2P est pour cela une médiathèque universelle inestimable, la réalisation d’une véritable utopie.


    Mais la question principale que pose le téléchargement est de savoir s’il enrayera l’économie de l’industrie du film au point de ne plus pouvoir rentabiliser leur réalisation. Cette question c’était déjà posé lors de l’invention de la TV, puis du magnétoscope…

    Pour éviter cela il suffit d’une seule chose : que le flux d’argent ne se tarie pas. Or lorsque les Majors agitent les chiffres astronomiques du téléchargement ils confondent volontairement flux de diffusion avec flux d’argent.

    La dématérialisation des œuvres associés au réseau Internet a donné naissense à une émergence technologique aux propriétées inédites permettant une diffusion totale de tout contenue numérique, c’est un outil de découverte sans précédent qui ouvre la possibilité d’une véritable démocratisation de la culture.

    Mais qu’en est’ il du flux d’argent ? Chaque individu possède son propre budget culturel, cette somme qu’il est près à lâcher pour se cultiver est une constante, elle constitue avec les impôts la source principale du flux d’argent qui permet de créer les œuvres. Il y a toute les raisons de penser que ce flux ne bougera pas car on continuera à fréquenter les sales obscures et à acheter des DVD, parce que voir un film au cinéma c’est incomparable et avoir un film qu’on aime dans une belle boite est naturel. Et même si, dans l’absolu, ce flux d’argent devait baisser, qui ne serait pas prés à verser cette somme (pondéré en fonction du taux de téléchargement) aux producteurs en échange d’un accès totale à toutes les œuvres ?

    Autre chose : l’accès total aux œuvres numérisés permet de rationaliser d’avantage ces préférences (ou ces achats) en évitant d’obéir à une pulsion dicté par un marketing agressif ou à un phénomène de mode, ce dernier point ne peut qu’améliorer la qualité des films en encourageants les créations les plus authentiques et originales.



  • Ivan Gonçalves Ivan Gonçalves 12 octobre 2007 00:24

    On peut effectivement imaginer une planète habitable autour d’une géante gazeuse mais tous dépendent en fait de la nature et de la taille de ces satellites. Il se trouve que le processus de formation des satellites est tel qu’il abouti sistematiquement à la formation de « planètes » de tailles inférieur à celle de Mars, par ailleurs si ces satellites se sont formés au lieu de naissance de la planète géante (au-delà de la ligne des glaces) elles sont très riches en eau, or, paradoxalement une trop grande richesse en eau (qui produirait un océans de cent km de profondeur) peut nuire à l’habitabilité d’une planète (et à l’évolution de la vie) car l’absence de continents émergés empêche la mise en route du cycle silicate-carbonate responsable, sur notre planète, de la régulation de la température de surface à très long terme.

    Ceci dit, dans le cas des systèmes planétaires possèdent des « Jupiter chaud » (Planète géantes très proche de leur étoiles, période de rotation de quelques jours), des simulations ont montrées que des planètes telluriques peuvent se former dans la zone habitable même après la migration de la planète géante, à condition que cette migration soit très rapide. Mais la aussi on abouti à des planètes très (trop ?) riche en eau.

    bref, il reste encore beaucoup d’observation et de calculs à faire avant d’y voir plus claire...



  • Ivan Gonçalves Ivan Gonçalves 9 septembre 2007 13:43

    Il me semble que l’avantage principal d’un e-book, par rapport au livre papier, est dans le fait qu’il offre la possibilité de trouver rapidement un texte à l’intérieur d’un livre. Il arrive souvenant qu’on se souvienne vaguement d’une phrase ou d’une réflexion particulière d’un auteur qu’on a récemment lu sans parvenir à la restituer complètement, la seul solution avec un livre papier est de le relire, avec un e-book et son moteur de recherche il suffit de quelque secondes. Cette « option » devient carrément indispensable lorsqu’on s’attaque à des documents tels que les carnets de léonard de Vinci, qui sont structurées comme des hypertextes.

    Je pense cependant qu’il sera toujours plus agréable de lire un livre papier (surtout un livre de littérature), mais avoir sa version numérique à porté de main serait un plus indéniable.



  • Ivan Gonçalves Ivan Gonçalves 27 août 2007 08:34

    Je voulais parler des appareils numériques compacts : trouver un appareil numérique compact avec viseur optique et débrayage manuel deviens de plus en plus difficile, alors que techniquement cela ne poserait aucuns problèmes aux fabricants. Il reste bien sur les reflex ou les bridges (de taille intermédiaire) mais un compact est bien pratique notamment en voyage.


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