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Gregoire Macqueron

Gregoire Macqueron

     Je suis ingénieur écologue spécialisé dans le management de projet et je m’intéresse aux solutions pour la mise en place d’une société durable.
    J’aborde cette problématique par le biais de la gestion de projet et de la démarche scientifique, notamment à travers la gestion des espaces et de leurs ressources.

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  • Premier article le 22/01/2009
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Derniers commentaires



  • Gregoire Macqueron Gregoire Macqueron 4 février 2009 21:16

     Milles excuses pour cette erreur que je n’ai pas relevée. Mais je ne suis girondin que depuis quelques mois, aussi j’implore votre pardon smiley

     Plus sérieusement, la construction bois est effectivement un thème important, qui commence tout juste à être traduit concrêtement en France, avec des maisons préfabriquées en panneaux de bois, par exemple. Rappelons que ce type de construction est un des "must" de l’architecture durable : c’est une ressource renouvelable, réutilisable et biodégradable, qui stock du CO2, qui est saine et qui constitue un bon isolant thermique.

     Quant aux essences, il en existe de nombreuses qui poussent dans le sable, même si elles peuvent avoir une croissance plus lente, mais il faut rappeler que c’est la sélection qui a permis d’obtenir des Pins à croissance si rapide : 50 ans, c’est rien pour un arbre !
     Et il n’est pas obligé que toutes les essences soient exploitées en même temps, ni même exploitées tout court. Les forêts apportent bien d’autres services que la simple production de bois : loisirs (chasse, promenade, cueillette), protection des sols contre l’érosion, protection de la qualité des réserves en eau, cadre de vie (paysage, protection contre le vent), biodiversité, etc.

     Durablement,
    Grégoire Macqueron



  • Gregoire Macqueron GreG 23 janvier 2009 18:16

    C’est tout à fait vrai  smiley



  • Gregoire Macqueron GreG 23 janvier 2009 18:15

    Bonjour,
    C’est vrai que Macquarie est un lieu des plus secrêts ;)
    Mais il me semblait qu’ "entre Australie et Antarctique" était assez précis et visuel.

    Voici un lien vers une carte pour plus de précisions : http://recherchespolaires.veille.inist.fr/sites/anneepolaire/IMG/jpg/macqua rie.jpg



  • Gregoire Macqueron GreG 23 janvier 2009 11:36

    Bonjour,
    Tout d’abord, une idée mérite toujours qu’on se penche dessus, pour l’évaluer, l’analyser et ensuite choisir, en fonction de cet éclairage, si elle mérite d’être étudiée plus en profondeur ou d’être abandonnée.

    Par ailleurs, il s’agit ici d’un article de réflexion sur une actualité et non d’un dossier. Sinon, je l’aurais titré "Analyse prospective du recyclage des déchets issus de la consommation de café (marc de café) : forces et faiblesses"  smiley

    Les travaux scientifiques dont est issu ce billet sont retrouvables à travers les liens proposés dans le billet et les voici :
    http://pubs.acs.org/doi/abs/10.1021/jf802487s

    Ensuite, la question de l’impact environnemental global et des risques est justement abordé vis à vis de l’idée de ce recyclage, de même que la question du volume concerné.
    Les commentaires précisent en outre dans quels cas la conversion des déchets du café peut être envisagée.

    Enfin, la conclusion de ce billet insiste sur le fait que le café n’est pas la solution au problème du carburant, mais éventuellement un élément de solution.

    En vous remerciant de participer à ce débat et d’enrichir ce billet de vos réflexions,
    GreG, éco-citoyen sans appartenance à quelconques "mouvement écolos", scientifique curieux et pragmatique smiley



  • Gregoire Macqueron GreG 23 janvier 2009 00:40

    Bonjour,
    C’est en grande partie vrai, et je rappelle l’importance du cycle de la matière organique dans ce billet.

    Utiliser une plus grande part des productions végétales n’est pas en soi un problème, tant que l’on s’assure que l’exportation de MO d’un site n’est pas supérieure à la production primaire et que les écosystèmes du recyclage de cette MO ne sont pas pénalisés.

    Mais il est vrai qu’il existe un point de vue strictement économique qui propose de convertir 100% de cette MO en bois de chauffage, biocarburant et autres produits alimentaires ou industriels. Et là, il y a un réel risque de dégradation des écosystèmes, des paysages, des sols !


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