Technicien reconverti dans le monde de l’éducation, je me passionne pour tout ce qui touche au savoir, à l’apprentissage, mais aussi à la philosophie, à l’histoire des religions et aux cultures humaines.
Plus vraiment jeune, pas vraiment vieux, je quitte l’âge des possibles pour aborder l’âge de raison :
Je m’excuse d’abord pour la verdure de mon vocabulaire d’en dessous ( mais sans porte-ja... oups) :
- en résumé, quand certains ont le pouvoir d’achat, les autres ont le pouvoir d’en chier...
« -cratie » sert à former un nom en rapport avec le pouvoir. Les voyous seraient donc détenteur d’un pouvoir, voir même d’un contre pouvoir. Anarchique balance de notre empereur de pacotille qui se veut napoléon et reste naboléon, malgré ses efforts et ses esbrouffes pour faire croire en ses capacités. Or les voyous ne sont nullement un pouvoir politique, ils ne revendiquent ni ne représentent personne, ils sont désorganisés car précaires, violents parce que peureux. La voyoucratie est un joli néologisme inventé pour les besoins d’un système politique qui méprise encore et toujours ceux qu’il est censé représenter.
« toute recherche d’un héros commence par ce qui définit un héros : un opposant, un enemi, une chimère ».
un enemi trouble est bien plus efficace, et la jeunesse grise, qu’elle soit blanche, noire ou brune elle est toujours grise, figure parfaitement cet autre insupportable que nous ne voulons pas connaître.
La violence est inacceptable. C’est une évidence. Mais la douceur, la bonté ne peut venir que d’en haut.
Seulement nous (sic) avons mis sur le trône un petit roquet pathétique qui croit à la génétique et non à l’éducation.
triste pays.
La mégalomanie du petit locataire de l’élysée nous rapproche petit à petit de la bêtise du bouffeur de bretzel.