Le problème, c’est la baisse quasi générale des offres d’emploi dans ce pays. 38.000 postes perdus en trois ans rien que dans le secteur du commerce, et notamment dans le commerce de gros. Pour un boulot d’acheteur, 50 candidats au portillon.
Les cabinets de recrutement ont le doigt sur la couture du pantalon et ils renforcent les critères par peur de perdre leur client.
Solution ?, prendre un poste plus accessible sans se braquer et continuer à postuler ensuite sur des offres d’acheteur. Un acheteur est en principe un très bon vendeur. Les employeurs ne vous feront pas tous le reproche de montrer une certaine souplesse pour s’adapter à une situation de pénurie.