@ l’auteur
« ...il n’a jamais perdu ses solides compétences en matière économique et financière qui l’ont amené à devenir l’un des rares hommes d’État capables d’assumer pleinement un destin national en temps de crise mondiale. »
A propos des « solides compétences » du sus-nommé, s’agit-il de celles de l’ancien directeur du FMI où bien de celles du retraité du Sofitel ?
Parce que concernant la Grèce, il semblerait que le second soit partisan d’un défaut (faillite ?) que le premier avait totalement exclu...
Il est vrai que le nouveau « directrice » à lui aussi endossé un tailleur réversible...
Au moins on n’a pas vraiment besoin de se poser la question de savoir si nos politiques nous prennent pas un peu pour des demeurés.