Tu peux en rajouter si tu revisite l’iconographie massive.
J’avais remarqué, ailleurs (sur Come4news), que les combats « rue par rue » avaient pour arrière-plan le désert ou des terrains vagues.
Quant aux distances entre les villes, ou entre les abords des villes et les médinas, c’était pour le moins élastique, avec des variations allant du simple au double (en km, miles).
Divers commentateurs de la presse mainstream avaient d’ailleurs remarqué l’usage de gros plans, de photos cadrées serrées, voire de combattants du lointain arrière prenant des pauses guerrières.
Quant aux commandants toilettés, à la barbe soigneusement taillée, et aux uniformes immaculés, marquant les plis parfois, ce serait farce si… ces gens s’occupent davantage de leur carrière ou de leurs affaires que des blessés. Lesquels commencent à trouver qu’ils ne sont pas vraiment la priorité du CNT.