Quand Hollande dit : « J’ai décidé d’être le prochain président de la République », il sait tout ça. Il sait aussi qu’il aura le soutien de la droite libérale, et même nationale si Sarkozy est celui de la droite.
Le problème avec Hollande, c’est qu’il n’est ni Mélenchon, ni Joly, ni Montebourg, si vous voyez ce que je veux dire.