Bonsoir, Gabriel.
Superbe texte, mais cruel constat. Comment avons-nous pu en arriver là après des millénaires d’humanité, après une succession de civilisations remarquables, après autant de révoltes et de révolutions, après que tant de philosophes et d’écrivains inspirés nous aient montré la voie de la sagesse ?
La vie est décidément un combat permanent, et chacun de nous est bien démuni lorsqu’il s’agit de dénoncer la misère matérielle ou morale de ceux qui nous entourent, et plus encore lorsqu’il s’agit de mettre en oeuvre des solutions concrètes. En définitive, ce sont les beaufs qui s’en sortent le mieux : eux ne se posent jamais la moindre question !
Cordiales salutations.