Mon Dieu, comme vous vous excitez tous sur cette élection qui ne changera RIEN, que ce soit n’importe qui au deuxième tour.
Ils nous tiennent par les c...les.
Le seul moyen, c’est de faire comme en Argentine : refuser de rembourser cette dette dans laquelle nous ne sommes pour RIEN !
Ce n’est pas le candidat élu, quel qu’il soit, qui prendra cette décision, on le sait bien.
(« si les élections servaient à quelque chose, il y a longtemps qu’on les aurait supprimées » - Coluche).
Attendons que ça pète vraiment. Car ça va péter très fort... Après, longtemps après, on verra ce qu’on peut faire avec les survivants...