Le nucléaire, c’est le summum de la connerie humaine.
Faim énergétique qui le justifierait ? moi, individuellement, je n’ai pas faim de cette énergie-là : seulement, tout seul, je ne peux rien inverser, rien corriger ; que mon propre comportement. Mais je ne fais pas corps avec les autres humains qui m’imposent le leur, et ses néfastes conséquences.
L’ homme scientiste, si fier des produits de son intelligence au point de révérer le summum qu’elle a produit, ce nucléaire-là, s’invente à coup d’arguments d’une raison dévoyée des justifications permanentes et sans cesse auto-ajustées pour continuer à toujours vanter ce qu’il croit être une marche en avant, quand elle en est l’inverse.
« Vanité, tout est vanité », disait un roi ancien
« Connais-toi toi-même »,disait un autre ancien
Mais non, cette approche de la vie doit être trop ennuyeuse....
Notre monde n’a promu que les cons.
Faîtes-donc, messieurs, faîtes-donc...
Développez toujours plus avant vos sciences de la gestion humaine, vos systèmes économiques imbéciles, lovez-vous dans le sillon de votre évolution suicidaire, accumulez vos richesses illusoires, gérez vos guerres d’épuration de toute contradiction, enfantez les imbéciles de demain que vos écoles structureront à votre image.
Il est bien trop tard pour vous en empêcher, car des siècles se sont accumulés derrière les empreintes de vos pas, et votre sillon est désormais trop profond pour pouvoir être comblé.
Il est même à douter, bien que certains l’espèrent, qu’un sage puisse naître ici et se faire entendre, réveillant la sagesse enfouie en chaque être : la terre ne nous a jamais appartenu, et la compréhension du mécanisme qui la meut, elle et nous, se trouve dans nos têtes bien avant que nos pensées y prennent naissance ; le mystère se résoud en observant ce que l’on est de l’intérieur, pas en le quittant pour en quêter l’explication à l’extérieur.
Nul besoin de livres pour y répertorier une Histoire illusoire, simple accumulation d’une suite perpétuelle de Présents.
Mais la sagesse est ennuyeuse pour nos esprits modernes.
Tant pis...